J'ai fréquenté la beauté
Publié le 1 Septembre 2014
J'ai un peu trop fréquenté ma beauté... et j'avoue, je n'ai pas été pressé d'écouter les fréquences de "j'ai fréquenté la beauté". Mais c'est aussi que j'apprécie de découvrir un album dans son intégrité... même si on a découvert des versions live des titres par ailleurs... parce que le live, c'est... autre chose.
Mes chers commentateurs pleins de beauté ont aimablement entamé le débat là (attention: cliquer sur charger plus de commentaires pour tous les lire).
Pour ma part, je dirai que le format court de ce titre a dû plaider décisivement en sa faveur... à moins qu'il y ait eu une version "edit radio"; mais effectivement j'attendais une chanson plus "delano-isée"...expression sur laquelle il ne faut pas se méprendre: il ne faut s'attendre à autre chose qu'à du Murat! Je veux juste indiquer qu'on s'attendait à entendre du violoncelle, de la trompette.. Et là, le plus de M. Bahlsen (oui, je peux utiliser cette référence au vu de l'âge de mes lecteurs), c'est de la flute... M. Matthieu a certes identifié, à juste titre, un peu de violoncelle, mais il faut tendre un peu l'oreille (ah, pas tant que ça: c'est très joli sur le refrain et sur le couplet). Par contre, la deuxième guitare elle est bien présente et ça donne une belle densité à l'orchestration. J'ai souvent indiqué que j'aimais bien quand elle était présente chez Murat (en live, ou sur "le parfum d'acacia" par exemple).
A part ça, je trouve le titre assez accrocheur avec son intro aux beaux riffs et son accélération finale, et son texte assez accessible et imparable rythmiquement (pas le temps de lanciner le Murat, ou du moins juste ce qu'il faut... notamment sur les rimes en -our... Murat au top au niveau du chant donc). Muse indiquait quelques réserves sur le texte... mais je ne trouve pas cela sombre... et loin du Murat de "vendre les prés". Y'a même un côté "carpe diem".
Bon, j'en suis à ma quinzaine d'écoute au moins en rédigeant mes impressions... et j'accroche de plus en plus... excepté sur la flute. Au coeur des couplets (à partir de 36', puis à 1'14, puis à 1'58), je trouve ça magnifique par le texte, l'intervention du violoncelle.
.... J'ai dû dépasser les vingts écoutes... et je rate même l'amour est dans le pré.... c'est dire.
Alllez, c'était dans la série "c'est mon avis du 1/09, et je le partage à peu près, et vous avez droit d'en vous en foutre ". I'm back (apparemment, je suis parti pour traiter de ma 4e campagne promo).