"NANA (je vois ton ombre)", version live!
Publié le 9 Octobre 2021
C'est en ligne depuis 22 heures... Comme pour le premier titre en écoute "Battlefield", on nous permet d'écouter la version disque et une version live, enregistrée au studio de Denis Clavaizolle, avec ce dernier au clavier et son fils Yann à la batterie. On ne sait pas si c'est ce trio qui enchaînera lors des concerts du printemps, mais ça sonne plutôt bien.
La version live de NANA me parait plus fidèle à la version studio (malgré la 12 cordes à la place de l'électrique) qu'alors que Battlefield sonnait plus rock et blues. Par contre, c'est une version écourtée, puisque sur disque le titre est de ceux qui dépassent les 3 minutes (vous retrouverez la version studio dans l'article précédent).
1) En tout cas, il semble que les "fans" ou "amateurs" soient partagés, notamment par rapport au texte. Ne nous pressons pas pour donner un avis.
En tout cas, puisqu'il semble que cela soit, faire référence à Proust dans une chanson (à part notre ami Dave), c'est pas donné à tout le monde. En tout cas, j'ignorais ce terme: http://vendangeslitteraires.overblog.com/2015/07/baiser-faire-catleya-ou-battre-le-briquet.html
Ps: Dans Baby love, il parlait déjà de Balbec...
2)
Mon antépénultième article ayant fait l'objet d'incompréhensions et de débat sur facebook, vous pourrez vous reporter à cet article intéressant qui donnera des éléments. J'imagine qu'on reviendra sur cette question de format.
"et oui, Nana, je me cache un oeil mais je vois ton ombre quand même". photo Lara Herbinia
LE LIEN EN PLUS DANS LA SERIE "MAIS PUISQUE ON VOUS DIT QUE JEAN-LOUIS EST GENTIL"
Laurence Boccolini-Jean-Louis Murat? Aréopage curieux?
Non... Elle a été la partenaire de Sieur Bernard Lenoir durant deux saisons sur Europe 1 et elle nous dit ceci:
Souvenirs de cet amour absolu de la musique qui ne me quitte pas. Souvenirs de ces groupes et artiste qui venaient discuter le soir avec nous. Parmi tant d’autres : Oasis, Simple Minds, Willy Deville, et Jean Louis Murat qui ouvrait ses bras et son sourire et sa gentillesse et sa voix… Je n’ai jamais oublié tout cela me manque énormément...", Europe 1 de la magnifique époque avec le génial Bernard Lenoir : l’inrockuptible ! [...]. Le bonheur absolu : la radio le soir tard, du rock du rock du rock et nous deux avec des rires magnifiques quand il ne fallait pas. Souvenirs de cet amour absolu de la musique qui ne me quitte pas. "