Juste quelques mots...

Publié le 25 Juin 2023

bonsoir,

Je suis un rien épuisé...  alors pour ce soir, je vais faire vite. Mais c'est un peu dur de vous quitter et je prolonge donc le week-end comme je peux.

Que d'émotions pendant deux jours... Découvrir les titres au balance, voir que Julien Quinet des The Delano Orchestra va participer à une version magique de LA FILLE DU CAPITAINE avec les Belfour,  entendre vos rires devant "mlle personne" et Jean-Louis dans toute sa splendeur et sa mauvaise foi, voir votre enthousiasme devant les artistes dont j'avais fait le pari de vous faire découvrir les chansons (Alain Klingler et Le Flegmatic),  Antonin criant "l'absence de Jean-Louis" pour finir un morceau avec une énergie folle, le clin d'oeil d'Eryck e. par dessus  son piano, vos larmes comme vos sourires éclatants, vos silences et vos explosions, et tant d'autres choses dont on parlera plus tard... et vos Merci, vos accolades, vos étreintes... 

Dimanche, à la Bourboule, en me trouvant devant la gerbe de fleurs organisée par Amparo, "Pour la St-Jean vos fans se rejoignent comme avant",  après un instant, j'ai eu la larme à l'oeil... Oui, j'ai participé à ça, et je suis très reconnaissant envers tout ceux qui se sont mobilisés...  Et ça faisait plaisir à Jean-Louis : j'ai en effet annoncé à l'assistance du samedi qu'il avait prévu de venir nous faire la surprise de  jouer avec ses musiciens. Je l'ai appris en rentrant des obsèques.  Après ça, on peut dire ce qu'on veut, mais  il aurait été avec nous, il était avec nous, il est avec nous.

Alors "Merci Bernard, Merci Bernard, Merci Bernard"... et Merci Anne-Marie P., Merci Bruno B et Merci Didier V. (faut toujours les remercier)... mais merci à TOUS les autres, anonymes, d'avoir été là ce week-end...  et tous les artistes qui nous ont fait vivre tant d'émotions, et fait vivre l’œuvre de Jean-Louis, au delà de lui, mais toujours au dedans de lui... 

 

Je voulais terminer par une première vidéo mais ça prend trop de temps à charger. Ça sera pour ce soir. 

 

Rédigé par Pierrot

Publié dans #2023 après, #2021 Aura aime Murat

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A
Cher Pierrot, tu as pu te rendre compte de tout cet amour partagé grâce à Jean-Louis depuis des années, cet amour que tu as contribué à faire revivre, à renforcer ce week-end avec ces merveilleux artistes et que tu continueras à faire vivre dorénavant parce que l'histoire muratienne va perdurer jusqu'à notre propre disparition et au-delà... mille fois merci!
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N
merci pour ce retour
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F
Merci pour ce moment exceptionnel ! Tout était parfait. Un hommage à la hauteur de l'artiste ❤️
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J
Cher Pierrot, oui cher car grâce à toi nous avons pu communier ensemble autour des chansons de Jean-Louis, oui communier car sans connaitre tous ces fans, nous partagions je pense, cet hommage avec la même intensité , je l'ai vu les regards que j'ai pu échanger ça et là, en tout cas c'est ce que j'ai ressenti. Bravo à tous les artistes qui ont participé, ils ont su me surprendre et m'émouvoir, merci à toi Pierrot du fond du cœur, je repense à tous les concerts auxquels j'ai pu assister un peu partout depuis les années 90,les Koloko à la Coopé, le bonheur d'avoir découvert ton blog, et la chance d'avoir pu converser avec Matthieu bref je n'ai plus de mot...
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P
Merci pour ce retour qui nous fait imaginer ce que nous avons manqué, nous qui n'avons pu venir.<br /> En attendant de découvrir la suite, les vidéos, les photos prêtées par sa dernière compagne.<br /> Courage à vous tous.
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S
Merci à vous pour ce blog, vos mots, moi qui habite en région parisienne et aurais tant voulu être là, mais discret , dans un coin le jour des obsèques. Et ma maladie chronique rend ma santé moins vaillante au fil des années. Années passées avec les chansons de Jean-Louis Murat. Encore et toujours. Le lien défait me met toujours les larmes aux yeux. Encore sous le choc de sa mort. Je l'ai autant pleuré qu'un membre de ma famille, certes un peu lointain. C'était un très grand, puisse un nombre croissant de gens s'en rendre compte. C'est toujours un très grand, les Murat, Ferré et autres Brel ne meurent jamais. N'empêche, la vie est si moche parfois.