Publié le 29 Juin 2013
On entend bien les problèmes de son...
A l'accordéon:
Surjeanlouismurat.com, le blog de Pierrot
L'actualité et l'histoire de Jean-Louis Murat, Site non officiel.
Publié le 29 Juin 2013
Publié le 26 Juin 2013
J'ai eu finalement droit à mon bon petit week-end auvergnat cette année... enfin "finalement" bon, pour dire que j'aurais pu être victime d'une attaque thermonucléaire ou un truc tout bêta de dernière minute. Je suis même arrivée vendredi, avec une vague excuse de la fête de la musique pour commencer à débriefer le concert du lendemain avec mon correspond local Matthieu. Le tout devant une prestation honnête de PEAKS (Morgane Imbeaud)... une pop assez efficace, même si le public se montre peu chaleureux. J'ai beaucoup aimé le lendemain entendre un gars raconté qu'il avait discuté un long moment avec la chanteuse de Peaks, et voir sa tête quand son copain lui a dit qu'il s'agissait de Morgane... "ah, bein, mince, je ne l'ai pas reconnue"...
Je me réveille trop tôt... et part dans la montagne. On a annoncé des éclaircies... On va y croire... mais plus je monte, moins mes espoirs sont fringants... Inutile de se presser du coup pour chausser les godillots, je passe à Pessade, avec une petite idée derrière la tête, et me demande dans quelle petite maison Murat et Marie habitaient. Et comme tous les chemins mènent à Orcival, me voilà vers le Servières. Gris gris. Mais d'un coup, une idée de clair. En voiture! Par acquis de conscience, m'en vais saluer les deux potos T et S... mais impossible de les retrouver dans le brouillard vers le Guery. Col de la Croix Morand. Sentiment d'abandon... mais le ciel s'ouvre...
Et je vous raconterai la suite de ce samedi plus tard avec quelques clichés ... Mais je vous avoue que, saoulé de vents (c'est fou l'effet que ça fait l'effet Venturi), mon corps en carton fragilisé par l'humidité des gouttelettes de St-Diery, maltraité par les ficelles de mon sac à dos transformés en fouet par le souffle sur les crêtes, puis asséché par le soleil de fond de vallée, et au bout du compte, ayant laissé sur place, devant tant de beautés, une partie de mon capital sensations, je me retrouvais sur le bitume devant la coopé à "flotter" un peu... Alors, oui, avant de me replonger dans le concert, j'avoue que je n'étais peut-être plus dans les meilleurs conditions pour vivre le concert. Mais point de regrets... je viens le voir, gardons l'innocence*, patacoufin...
* Référence à la chanson d'"Alvin et les chipmunks" (et hop, j'en profite pour rattraper le retard d'actu ni vu ni connu...)... Faut dire que ça ne mérite qu'un entre-filet.
On dit "hello, hello" à tous les camarades présents, ceux qui aiment le "collectif"... Je reconnais d'autres "followers" fbkiens, mais je respecte leur discrétion... par timidité mais aussi comme j'aime qu'on respecte la mienne... Ce qui est un peu raté : On se moque de moi quand je m'écarte du groupe pour aller acheter un billet... Bein oui quoi? Etait-ce donc un risque insensé? Et bien, oui, on entendra plus tard que la salle affichait complet! Helas, pas la grande coopé... comme l'année dernière.
Mes visiteurs réguliers de la zone commentaires sont présents: Matthieu, JLL, King Arthur, Rhiannon, Armelle,Isabel... et on se demande que devient Lew... Lew n'y est pas, mais il repassera par là j'espère. Sans doute occupé à vivre des expériences chamaniques dans quelques grands espaces....
La salle se remplit rapidement... et le concert débute à l'heure je pense.
Première partie : Murat et Stéphane Reynaud, la configuration dobro + batterie de la tournée actuelle (qui s'est enrichie d'une bonne fournée de dates automnales).... mais les projections vidéos en moins, même si la lumière est assez réussie (Murat a oublié de citer et remercier les techniciens-bénévoles-, alors, je le fais... c'était parfait).
Murat fait son entrée, et annonce le programme de la soirée... puis s'accorde longuement dans le calme (même si le bar de la salle reste ouvert durant le set)!
Ca débute idéalement avec le premier inédit de la soirée, le premier d'une longue série, "l'eau de la rivière" qui devrait figurer sur la nouvelle édition de Toboggan dont Murat a parlé chez Pascale Clark. C'est un excellent titre, joué à chaque concert de cette année, avec un excellent riff sonnant comme une percussion... et accompagné avec des grosses mailloches tom de Stéphane... J'aime quand ça démarre avec une chanson rythmée: on est au moins directement dans le vif du sujet, on ne perd pas de temps, pas de round d'observation... J'ai dis lors de mon compte-rendu de Macon ou de Grenoble qu'il me semblait que Stéphane n'avait jamais tapé aussi fort sur la batterie, là, le "son" m'apparait moins en force mais c'est très réussie, un peu court peut-être... "boum boum". Le public, tout acquis, apprécie. Une excellente chanson...
On reconnait ensuite rapidement "le coureur espagnol". Longue intro, qui ralentit... Ca sera finalement plutôt down tempo. L'absence de basse se fait peut-être sentir sur ce titre, et je m'en lasse un peu, même si je l'aime beaucoup.... Après la tournée "grand lièvre" et celle-ci, le cycliste n'a pas seulement besoin de produits.... mais de repos! J'aurais préféré un "qu'est-ce que ça veut dire" ou "sans pitié pour le cheval" pour endiabler le concert...
Ensuite, vient "J'ai tué parce que je m'ennuyais"... Et Murat a-t-il un trou ou se refuse-t-il finalement à dire son texte devant ses enfants qui faisaient leur premier Koloko?, mais comme il se déconcentre, je me déconcentre également... Murat se rattrape comme il peut en emballant le morceau... mais le mal est fait. Les versions que j'ai eu la chance d'entendre étaient nettement meilleurs.
Ensuite, "il neige". Là, la vidéo de flocons dans la nuit me manque, car elle permet vraiment de s'immerger dans l'ambiance et la chanson. Là, Murat est plutôt très bon et juste dans l'interprétation. Long pont musical presque ponctué de silence, avant que le chant ne reprenne... Le public ne s'y trompe pas et réapplaudit fortement.
Longue intro calme... C'est "le sniper", inédit internet, joué sur toute la tournée... Le morceau s'anime sur la fin... mais pas de solo très endiablé...
Puis surprise "agnus del babe" qu'il rechigne à chanter habituellement... mais il semble qu'il se soit souvenu des demandes de fan... Il leur fera d'ailleurs une petit clin d'oeil au cours de la chanson : " et bein, alors, je croyais que vous la connaissiez par coeur...". Jolie intro, puis belle envolée, bel atterrissage, puis emballement... Version punchy. Les titres de Toboggan passent plutôt bien à l'électricité, même si on aurait bien retrouvé sur scène quelques surprises d'orchestration de l'album (de l'acoustique, du sample...). Peut-être dans une autre vie.
Passage ensuite au "Michigan", autre titre inédit de la tournée.
Puis, le final, comme lors des dates de tournée, "extraordinaire vaudou"... Grand moment comme toujours. Murat se donne bien, sur tous les tons comme on l'apprécie: du murmure au cri... Le public est à fond, à fond... et la première partie s'arrête là au bout d'une petite heure... C'est passé très vite.
Je vois le camarade David qui est une nouvelle fois très déçu par le set en duo, JLL qui n'avait pas adhéré à Paris nous dira peut-être s'il a préféré ce soir-là... L'ambiance est agréable, détendue, mais l'intensité de l'interprétation, des gros solos de guitare, n'est pas aussi forte que dans un concert classique. Murat joue aussi devant sa famille, il se retient peut-être un peu. J'allais écrire que la set-liste ne se prêtait pas à des débordements électriques, mais tout de même, mise à part "il neige", les morceaux étaient assez "enlevés".
Et dans la famille Audigier, c'est François qui est présent ce soir, pour représenter la coopé, et qui remet un chèque de plus de 6000 euros aux Pompiers (pas si loin du montant de l'an dernier)...
ET c'est la deuxième partie que Murat nous présente comme la reformation de Clara... avec à ses côtés Alain Bonnefont et Christophe Pie... qui me disait l'année dernière n'avoir pas été vraiment du groupe Clara... mais soit.
Après une courte pause, elle débute par un très chouette moment: le visionnage de quelques photos vintage... Murat commente, tourné vers l'écran, et il est très touchant : pour une fois je dirai, sans artifice, et ironie, vrai et je crois assez ému quand il évoque Jean-François "qui est mort en moto" ( l'ami dont la mort a tant hanté Murat (Taormina, Alexandra...).... Avant cela, le public riait de bon coeur devant les petites casseroles des looks de l'époque... Pie nous racontera que le seul impératif était juste de faire chier le bourgeois bourboulien... Murat raconte que les répét se déroulaient dans un buron, avec un autre groupe, un groupe électrogène (je ne sais pas quel essence de musique ils jouaient, mais c'était des électrons libres sans doute). Le nom de Clara s'affiche sur l'écran, avec tous les musiciens qui ont fait partie du groupe.
Murat indique qu'il y aurait de quoi faire 4 albums avec le stock de titres... et annonce qu'ils projetent de sortir quelque chose!! Nouvelle étonnante! Murat accepte enfin d'exploiter un peu la malle du grenier! L'émotion qu'il avait à projetter ces photos révélait-elle une vraie envie de se tourner vers le passé? Est-ce aussi une façon de faire jouer à ses côtés ses vieux amis (Alain a dû prendre un job, comme l'autre ranchero Jérome Caillon -qui était présent-) ?
Dommage que le groupe s'installe assis... la scène n'est pas très haute, et la visibilité n'est pas excellente...
"Une femme".... Chanson efficace de "Passions privées" premier album de Murat mais enregistré avec "la bande" dont Alain et Christophe Pie...
"Encore une chanson d'amour, je tombais amoureux tous les 15 jours"
Un vrai inédit... "manque de toi"... Matthieu y voit un prémice de "si je devais manquer de toi"... Chanson avec une guitare efficace, rythmée... Le "manque de toi" scandé régulièrement est accrocheur.
Autre inédit de chez inédit (oui, bein, c'est bon, Bayon, oui, je sais, toi, tu connais...) "l'amour fou".
J'adore la partie de guitare entrainante entre les couplets plus calmes (dans un style assez rare je trouve chez Murat). ... Avec deux guitares ou un clavier, ça sonnerait très bien... Ma préférée, et ça applaudit beaucoup... Même si on constate qu'on ne retrouve pas encore le parolier que l'on aime dans ses chansons de "deuxième jeunesse": trop explicite ("donne nous un bébé, je veux te garder pour toujours mon amour"). D'ailleurs, on peut remarquer qu'il n'a pas encore trouvé sa voie unique : "manque de toi", "l'amour fou" sont des titres de nombreuses chansons d'autres artistes. On la trouve sur youtube la vidéo de ce titre.
Puis, "la louve"... de Passions Privées, chanson très appréciée de certains, avec son rythme si particulier, l'année dernière, jouée avec percussions et harmonica des frères Mikaelian, ça faisait un peu plus riche (forcément avec Le Prince de Montlosier)... mais Murat semble avoir plaisir de chanter ses vieux titres... Il est très concentré et libre une belle interprétation.
Ensuite "Johnny frenchman" (Passions privées). Décidemment pas ma préférée, surtout dans cette version lente, même si ça s'excite un peu sur la fin.
"Je traine et je m'ennuie"... précédée d'une petite explication autour de la rue Montlosier où habitait Les Mikaélian (au 17, faudra penser à la plaque commémorative, mais sans mentionner tous les groupes dans lequel Stéphane et son frère ont joué, faudrait 10 mètres carrés)... Murat cite aussi l'ami Jean-Pierre présent dans la salle qui prêtait le local de répétition, le dit Buron...
Depuis l'année dernière, je suis dingue de cette chanson, même si certains la trouvent "facile"... Belle version, avec les choeurs de Christophe, avec une bonne partie musicale, même si ça ne s'enflamme pas tout-à-fait suffisamment (c'est assez court). Ca enchaine d'ailleurs rapidement sur autre chose, avec un sifflotage de Jean-Louis, accompagné de Christophe, avant que la guitare n'arrive: "Je rêve autant" (inédit). On retrouve bien Murat sur ce titre avec ce début tout calme, puis de parties plus fortes, avec une grosse guitare, et un retour au calme, le tout sur plus de 6 minutes. A réécouter... mais quand?
On s'envole ensuite sur "Lindberg buziness", déterré l'année dernière et que Murat a choisi de jouer sur la tournée de printemps. Pas de surprise d'intrerprétation, version rock et tendue.
J'ai regardé sur la Sacem si on trouvait trace de ces titres inédits, mais je n'ai rien trouvé, mise à part "l'empire du nord" qui était le seul titre présenté comme du CLARA qui avait été diffusé.. mais qui date bien des années 80. Ce titre, car c'est bien par celui-ci que le concert se poursuit, débute doucement... Le refrain sonne très années 80, avec ses choeurs "oh ohoh", même si les couplets sont joués plutôt "cool", créant une rupture un peu brutale avec le refrain. Pas un titre que j'apprécie particulièrement... les répétitions de "dans l'empire du nord" me lassent.
Une des rares photos (Clara canal historique), avec celles du blog de Guy Forgeois, que nous connaissions de Clara paru dans une BD, .
Le dernier titre sera "Typhon" (inédit)... et on apprécie d'avoir un peu de clavier et de sortir du "trio rock". C'est une chanson dont la musique est signée Alain Bonnefont. Même si la partie piano est toute simple (surtout dans cette configuration live), la mélodie est très accrocheuse... et ce titre avait sa place sur un des albums synthétiques de Murat. On espère là encore réécouter rapidement.
C'est fini, une deuxième partie d'une heure également... Le public est très chaud, mais pas de rappel, même si Murat revient saluer... en disant "à l'année prochaine".
A la différence de l'année dernière, on retrouve l'ambiance des Kolokos précédent en after : on papote sur le trottoir, on prend des nouvelles des rancheros et de la vieille toyota (je fais dédicacer mon album par les membres que je n'avais pas eu encore), on voit Stéphane Reynaud heureux et ça fait plaisir, Murat s'occuper de ses enfants et discuter...
Un koloko comme on l'apprécie donc : des inédits à foison (8...), un Murat détendu, des rencontres... Avec des pieds plus vaillants pour ma part, une prestation debout en deuxième partie, ça aurait parfait... Est-ce que j'aurais l'air d'être un éternel insatisfait si je disais qu'on avait juste un peu l'impression de reprendre là où on en était l'année dernière (avec la prestation en duo en première partie et "passions privées" en deuxième), alors même qu'on aurait pu faire un saut de 10 ans pour fêter Lilith? Pour Murat, le koloko semble plus que jamais le rendez-vous des copains, l'occasion de jouer avec ses amis du 6.3... même s'il faut rester prudent concernant une édition discographique autour de Clara... Prochaine reformation en juin 2014.
Dans "la montagne", le lendemain (article sans intérêt: "murat a repris les moments forts de sa carrière", mais jolie photo).
LE LIEN EN PLUS :
L'Auvergne, le pays de la chanson?
Une raison de plus de le croire... avec l'ouverture d'un musée à Montluçon...
JT du 21/06 : http://auvergne.france3.fr/emissions/jt-1920-auvergne
Avec un reportage sur la coopé...avec Morgane Imbeaud, et Kaolin en plateau.
Publié le 18 Juin 2013
Publié le 12 Juin 2013
Avant de se replonger dans MURAT avec le concert du samedi 22 juin où je serai présent, à Clermont (les répét ont déjà commencé à Orcival... avec Christophe Pie! Ca promet des surprises), je vous propose un peu de photo....
C'était la semaine dernière... 5 juin... Enfin, du beau, du temps... et la neige qui a enfin fondu... mais jusqu'à quel point, c'était la question. Pas question d'aller sur Belledonne avant quelques semaines, puisque les 7 laux a même failli réouvrir pour le week-end (ça n'a finalement pas été possible), je me décide pour un petit vallon et col... que je n'avais pas encore découvert... même s'il se situe tout près d'itinéraires que j'avais déjà effectués : la Croix de l'alpe.
Pas de levée très tôt... mais la nuit a été courte (le thé vert dans la bouteille a pour fonction de me maintenir réveillé)... Je pars vers 8 heures du hameau des Varvats, au dessus de st-Pierre d'entremonts. Belle journée, même si le ciel annonce déjà quelques chaos pour le soir.
Vers 1200 mètres, je laisse sur la droite le sentier allant vers l'alpette de la Dame que j'avais emprunté l'année dernière pour continuer le sentier montant tout droit vers le chalet de l'alpe.
A 1300 mètres, on tombe déjà sur de la neige... au mois de juin etc! etc!...
La barrière de l'alpage...
J'avance prudemment sur la neige, pas envie de me retrouver dans un trou... Difficile de voir le balisage, mais apparemment, on m'a précédé, et je suis des traces. Sans cela, j'aurais peut-être rebroussé chemin...
Petit replat charmant qui marque le début du vallon de Pratcel
Je tergiverse un peu... sur la gauche, le pas de l'échelle pour monter au chalet et en hors sentier, la poursuite dans le vallon... Allez, je pars tout droit, malgré la crainte de poursuivre dans la neige... C'est le bon choix: cela s'ouvre et la neige est moins présente sur l'alpage... Et le vallon est superbe...
Des crocus partout, partout... aucune jonquille...
Le col... avec les bornes savoyardes...
Le Mont-Blanc, les Hurtières au premier plan... Et encore un gros gros nevé qui empiète sur une bonne partie du col....
Grand carrefour en bas : Grésivaudan, Combe de Savoie, et la Maurienne...
Je flanne un peu là-haut... J'adore ces paysages de la Réserve des Hauts de Chartreuse, avec les pins, les recoins de ces pentes abruptes, les vires et les sentes... J'observe à la recherche de chamois ou de bouquetins.... mais pour une fois, aucune observation (sauf des marmottes dans le vallon).
Je redescends par le chalet... avec la vue sur le Pinet, et le Granier....
granier
PInet (ou TRUC) (très belle randonnée aussi)
Col de Bonnefont, Grand Manti... très enneigés... Le vallon que j'avais parcouru en long et en large l'année dernière http://www.surjeanlouismurat.com/article-randos-4-hauts-de-chartreuse-suite-108184532.html
Je retrouve la neige vers le chalet. Elle cache parfois les trous dans les lapias... et randonnant seul, je suis très prudent... Là, encore, des traces me permettent de me maintenir sur le sentier... jusqu'au pas de l'échelle, sans difficulté... et dégagé.
Dans le bas, j'ai même retrouvé un peu de courage... et l'envie de nouveau d'en découdre avec la neige... Je prends l'option Gr9 permettant de rejoindre l'alpette de la dame... Je me glisse là encore dans des traces... Et les deux kilomètres s'effectuent quasiment intégralement dans la neige... Je ne m'enfonce qu'une seule fois jusqu'au genou... et mes chaussures me permettent (presque) de me maintenir au sec.
Un Z qui veut dire... rien du tout... mais l'hiver a été rude pour les animaux également, et a entrainé une surmortalité des chamois et bouquetins...
Beau vide au dessus du cirque de St-Même... I'm learning to fly une prochaine fois....
14 heures, retour aux Varvats....
Parcours sympatique grâce à deux petites boucles... sans difficulté en période estivale... et vallon de Pratcel vraiment sauvage... avant que les vaches et les chevaux n'arrivent pour l'estive.