Compte-rendu par Concertandco et extras
Publié le 15 Novembre 2011
On avait connu Pierre Andrieu assez critique dernièrement... et c'est donc avec plaisir qu'on lit ses impressions très positives sur le concert du trianon:
http://www.concertandco.com/ville/paris/jean-louis-murat-jp-nataf/critique-concert-1-1-40901.htm
A l'heure exacte annoncée, 20h25, Murat et son groupe (Fred Jimenez à la basse et aux chœurs, Stéphane Reynaud à la batterie et Slim Batteux à l'orgue, tous les trois à saluer pour leur prestation) montent sur les planches avec la ferme intention d'enchainer – en guise d'entrée et de plat de résistance – les titres du dernier album, le léger, intense et long en bouche Grand Lièvre... Toujours facétieux Jean-Louis, puisqu'il décide de dérouler son oeuvre la plus récente à l'envers et en omettant de jouer l'une des meilleures nouvelles compositions, Je voudrais me perdre de vue. Pas bien grave puisque le disque est globalement très bon et que les titres choisis sont joués avec foi et concentration... Seul gros hic, un son de basse bourdonnant qui couvre le reste des instruments au début du set. C'est énervant d'autant que les chansons sont superbes, que les lumières sont réellement admirables (et parfaites pour l'univers muratien) et que Monsieur Bergheaud est en forme vocale... la suite à lire sur concertand co...
A part ça, une petite annonce du concert au Botanique:
http://www.moustique.be/culture/botanique/59294/murat-au-bota
Après son album "Le cours ordinaire des choses" enregistré en grande partie à Nashville, ville mythique de la country, Jean-Louis Murat est revenu à la campagne, dans son Auvergne adorée.
"Vous pouvez appeler ça un retour à la terre. J’assume ce vrai cliché de l’artiste qui a besoin de retrouver ses racines pour créer." Il a donc mis son nouveau disque, "Grand lièvre", en boîte au milieu des champs. Après une prestation électrique et sans faux col à Liège voici un mois, il revient, cette fois à Bruxelles.
La prestation comprendra forcément une large représentation des balades bucolico-dépressives de "Grand lièvre" où l'artiste s'est "amusé à superposer des textes très noirs à des mélodies vachement légères", mais aussi une série d’anciens titres. "Je ne prépare pas vraiment de liste de morceaux à jouer avant un concert", nous a-t-il expliqué. "Pour l’enregistrement des disques, je me fixe de vraies journées de travail bien carrées - comme si j’allais au bureau - mais
les prestations sur scène doivent laisser place à une certaine improvisation pour gagner en spontanéité et donc en intérêt. Pour résumer: je ne sais pas encore ce que je ferai au Bota, mais je promets de bien le faire." Message reçu.
> Le 20/11. Botanique, rue Royale 236, 1210 Saint-Josse. À partir de 20 €. www.botanique.be
Quant à la nouvelle du jour : l'écriture d'un titre pour Indochine et le petit compliment adressé à Nicola Sirkis (cf les articles précédents)... Ellle est bien relayée sur twitter par les fans d'INDOCHINE..
Au milieu de ceux-là, ce twitt:
Je vous laisse y réfléchir...
LE LIEN EN PLUS :
http://www.rue89lyon.fr/2011/11/14/florent-marchet/
Mon prochain concert... (Florent Marchet se prononce contre HADOPI... )