"grand lièvre" dans les albums de la rentrée... et les ROUGES SOULIERS.
Publié le 8 Septembre 2011
Ca bouchonne du côté rock anglo-saxon, mais du côté francophone, je n'ai pas l'impression que la rentrée soit très chaude. Quoi que... J'ai interrogé Sylvain Zimmermann de TETU (via twitter) qui ne sait pas encore s'il chroniquera l'album vu le nombre de ses coups de coeur... et en point de mire, on voit le CLERC (et du Manset dedans), et le SOUCHON pleins de soucis, arriver... sans parler du DUTRONC Thomas.. cheri des médias... ou pas.
Du côté de Polydor, on fait plus de pub dans les réseaux sociaux pour Mauranne, l'éternelle espoir, et pour la "maison bleue"... que pour JLM...
Enfin, soit... En attendant la sortie de l'album, on lit quand même quelques trucs..
Notamment du côté de LA CROIX:
On avait aussi patienté deux ans pour entendre un album de Jean-Louis Murat . Cela valait la peine, tant son Grand Lièvre (Polydor/Universal), attendu le 26 septembre, est un bel album où l’on entend poindre les silhouettes inattendues du champion cycliste Federico Bahamontes ou du cinéaste Andreï Tarkovski.
Pas si sûr qu'il s'agisse de Federico...
Dans les Inrocks de cette semaine (en ligne d'ici deux, trois jours je pense): Booba précède Jean-Louis Murat..
"Du 9-2 au 6-3...il n'y a qu'un pas"...mouais... suivi de quelques phrases piquées dans le dossier de presse, "une réussite attendue le 26/09" . Il est évoqué ensuite Louise attaque (si!), Miossec (en interview dans le même numéro), Orelsan et le petit Lulu qui est devenu gros.. euh, grand... il se portait déjà bien sur la scène du Zénith.
Encore un autre petit article:
Et pour finir, tiens: le texte des ROUGES SOULIERS que l'on trouve déjà sur le net. Le titre fait débat, mais quand même... il offre quand même à penser.... "CE SOIR Qu'est-ce que tu fais?"... Plus qu'un clin d'oeil à "16 heures"... même si cette fois, l'homme semble ne pas pouvoir restiter à une escapade et aux rouges souliers...
Etre amoureux de toi
Pour qu’on s’occupe de moi
Les choses à vivre ici
N’ont jamais nom de paradis
De la neige où j’ai grandi
A l’idéal tout petit
Quelle fourrure tes yeux
Sans remède quel lieu
Oh oh oh voilà les rouges souliers
… Quelle couleur inégalée
On croit connaître l’amour
Mais rien ne vient au secours
Ce soir qu’est-ce que tu fais
Malgré moi je t’aurais quitté
S’éloigne le canoë
De notre gourbis privé
Dans la maison de l’âme
Quels visages pâles pâles
Oh oh oh voilà les rouges souliers
… Quelle couleur inégalée
Toute idée qui m’élève
Ressemble alors à la forêt
Je devine tes pensées
Pas la peine de m’engueuler
Toute éponge gorgée d’eau
Se croit la forme du beau
Je pense à cette idée bleue
Je vole dans la nuit des dieux
Oh oh oh voilà les rouges souliers
… Quelle couleur inégalée
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