L'interview du jour: Sud-Ouest
Publié le 24 Mars 2013
L'interview est très intéressante, mais encore une fois, on n'insistera pas sur le titre... parce que sinon, j'aurai l'impression de me réveiller avec le besoin de me pommader le popo... après ma soirée d'hier.. sérieusement électrifiée et notamment ponctué d'un petit hommage improvisé à Ten years after... Mais vous comprendrez en lisant que ce n'est qu'un mot...
"...Épris des contrastes et pourfendeur de la langue de bois, Jean-Louis Bergeaud, alias Murat, est un artiste d’une intégrité rare, un héraut en quête d’absolu, aux colères homériques".
Là, encore, on avait déjà croisé la plume de Stéphane Jonathan précédemment. Il publie sur son blog l'interview intégrale qui fera ou a fait l'objet j'espère d'un article dans son journal.
Où on y apprend les raisons de sa forme physique actuelle (poids de forme?), et que Jojo en prend pour son grade (on s'étonne?), et où on évoque Robert Wyatt, Lennon, Camus, Mélenchon (trouvez l'intrus) et on verra que les chansons "instinctives et légères" de Toboggan révèlent son "inconstance et le goût de la destruction [...]. Comme il n’y a pas de chansons d’amour, de textes sur les rapports humains, je me suis rendu compte combien tout ce disque parle de mon rapport au nihilisme, et de combien je suis finalement le produit de mon époque. Je casse, je brûle, j’explose…" ("le nihilisme que je passe mon temps à dénoncer dans pratiquement toutes mes chansons").
A LIRE:
http://musique.blogs.sudouest.fr/tag/jean-louis+murat