Le compte-rendu de LEW sur le show case de la FNAC...
Publié le 2 Octobre 2011
Ayant bien peur que les commentaires ne soient pas très lues (je rappelle que je ne sais pas comment les faire apparaitre d'office derrière l'article), je me permets de mettre à l'honneur celui de LEW sur la belle soirée parisienne de Vendredi. Merci à lui, et aux quelques autres qui prennent le temps de donner leur avis ou de me faire des petits coucou...
A noter une petite voix discordante, Solange... elle râle... mais elle le fait souvent :
Bon, allez, c'est moi qui m'y colle, celle qu'est jamais contente, comme Murat, grognon quoi ! Il m'a gonflé sévère l'animal à longues oreilles, hier à la FNAC. Oui, les chansons étaient belles mais 3 chansons seulement, minimum syndical nous a prévenu l'homme à chemise à fleur. Trop de désinvolture tue la .... 10 min de chansons, et 20 min de parlotte sans aucun intérêt, il se foutait presque de nos gueules. Parfois je ne vous comprends pas ...
Solange, qui garde son orange cette fois
Et la réponse de Lew:
Solange, nous connaissons Murat, nous savions un peu par avance quelle tournure pourrait prendre une telle rencontre.
disons que JLM s'est montré un hôte à la hauteur, après tout nous pouvions poser les questions que l'on voulait, je pense qu'il n'aurait pas éludé le débat, ni qu'il s'en serait tiré par une pirouette (comme il le fit un peu, c'est vrai).
dans ce genre de rencontre le public est souvent dans l'émotion, dans l'expression de sentiments personnels qui le touche intimement, ou au contraire dans la blague, la plaisanterie, rarement dans le vif du sujet, c'est à dire sa passion, la musique.
Murat avait alors un boulevard devant lui, face à un tel registre de questions.
il y a longtemps que nombre de ceux qui le suivent le prennent comme il est.
rien n'est forcément statique et coulé dans le marbre avec lui, tenez, hier par exemple, il avait décliné qu'on le prît en photographie, beaucoup voulurent quand même immortaliser l'instant et lui redemandèrent l'autorisation ; ce qu'il accepta.
cela dit j'avais une ou deux questions qui me brûlèrent les lèvres (y'en avait même une qui commençait par : "__bon assez déconné, pourquoi ne pas avoir etc..")
j'ai préféré la fermer pour ne pas casser l'ambiance qui finalement ma plaisait (peut-être pour ne pas me faire casser aussi, tout simplement par sa réponse).