actu-promo sept 2012 a...

Publié le 14 Octobre 2014

YESSSS!! J'écoute BABEL!!! C'est disponible en Allemagne...

je file directement aux titres que je ne connais pas (plus tant que ça)... Ah, oui, moi, je l'aime bien cette chèvre... et ce chamablanc, très Doloressien... avec ce clavier.

Allez, je vais prendre le temps de digérer tout ça... En attendant, voici la livraison d'Olivier NUC dans le figaro, via PIAS. On retrouvera Olivier prochainement via un live j'espère... et pour un autre événement.... Impatient...

Dans le Figaro
Dans le Figaro
Dans le Figaro

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #Actu-promo sept 2012 à...

Repost0

Publié le 6 Octobre 2014

Interview intéressante... où certaines du premier rang se reconnaitront, on repérera peut-être Calogero également (à confirmer)....

A lire sur la page:

http://www.telerama.fr/musique/jean-louis-murat-je-ne-suis-pas-un-chevalier-blanc-je-vois-juste-la-pourriture-du-systeme,117546.php

Jean-Louis Murat : “Je ne suis pas un chevalier blanc, je vois juste la pourriture du système” Musiques |

A l'occasion de la sortie de “Babel”, le chanteur revient entre autres sur ses relations avec les médias, sur l'évolution du métier de chanteur et sur le rôle de la chanson. Le 01/10/2014 à 17h56- Mis à jour le 06/10/2014 à 12h32 Propos recueillis par Valérie Lehoux

Comme tous les ans ou presque, Jean-Louis Murat sort un nouveau disque. Le cru 2014 est exceptionnel : Babel, double album de vingt titres, est la plus belle production française de cette rentrée. Il l'a écrit, composé, arrangé lui-même, et y a convié le Delano Orchestra, groupe originaire d'Auvergne – comme lui –, aux cuivres et aux cordes chaleureux. Quelques jours avant la sortie de Babel (le 13 octobre, chez Pias), nous avons rencontré le chanteur lors de l'un de ses passages à Paris. Murat, à la réputation de taciturne infréquentable, auteur récidiviste de déclarations provocatrices, revient longuement sur sa vision du métier, et des médias. Nous voici face à face pour une interview.

Vous n'aimez pas trop ça…

Non. Parler de soi, faire la vedette, donner son avis, dire « j'ai pensé qu'il fallait faire ceci ou cela »… C'est dégoûtant. Ça m'intoxique. Il devrait être suffisant de chanter, sans bla-bla autour. Les cuisiniers ne prononcent pas de discours avant que les gens se mettent à table. La promo, c'est la mise en avant, le paraître. Il faut « paraître » chanteur… Vivement que ça s'arrête : plus de disques, plus de journaux, plus de promo. On serait débarrassés ! De toute façon, le système craque de tous les côtés, il va se recomposer et nous devrons travailler différemment. En attendant, nous nous trimbalons les oripeaux d'un vieux monde. En tout cas, si je reste un artiste marginal, c'est parce que je n'ai jamais pu digérer physiquement le phénomène promotionnel.

Il vous rend malade ? Malade, oui. Cette nuit, je n'ai presque pas dormi. Ce n'est pas naturel de réfléchir sur soi et sur son travail. Ou alors, il faudrait se mettre sur rails, en pilote automatique, et je n'y arrive pas. Je fais des chansons d'incertitude, je ne suis sûr de rien. Si on essaye de coller sur moi un carcan de certitudes, ça ne tient pas, ça déborde dans tous les sens. Tout un fond un peu parano en moi ressort sous forme d'arrogance. Ça me pose même des problèmes relationnels. Je vois bien les dégâts que ça provoque.

Vous faites tout pour, en tenant régulièrement des propos provocateurs, misogynes, misanthropes, homophobes… Quand je suis face à un journaliste, je suis un peu comme un gamin qui n'est pas en confiance, et qui dit n'importe quoi. Je n'ai toujours pas réussi à contourner cet écueil-là. En ce sens, je ne suis pas pro pour deux ronds.

Paradoxalement, vous êtes devenu un très « bon client » pour les médias : le sale mec qui dit des horreurs… Peut-être. Je viens d'un milieu où on ne fait pas le malin ; or, faire de la promo, c'est faire le malin, presque au sens étymologique du terme. Laisser le malin prendre possession de soi. Moi, j'ai un côté auvergnat, paysan, taiseux. Je me sens à cheval entre ces deux mondes. Quand je donne des interviews, je me demande souvent : « Pourquoi fais-tu ce métier-là ? » Pourquoi, alors ? Parce que j'aime écrire des chansons, enregistrer des disques, monter sur scène, et que pour cela, j'ai signé un contrat dans lequel je m'engage à faire de la promo. C'est curieux… J'ai toujours bien aimé lire les interviews de Proust, même de Céline. Leurs réponses étaient réfléchies ; ils avaient les questions quinze jours à l'avance. Maintenant, vous, les journalistes, ne vous intéressez qu'au débraillé de la personnalité… Et dire que c'est le rock qui nous a en partie menés là, c'est dingue. Aujourd'hui, une sous-musique, qui nourrit la mondialisation, tue le meilleur de ce qu'étaient nos vies. Moi, je suis un sous-produit de la culture américaine : quand j'étais adolescent, à La Bourboule, le salut, c'était Dylan ; comme il existait, tout n'était pas fini, il y avait un avenir. Mais cet avenir est devenu un enfer, un bruit de fond qui accompagne une avalanche continue d'images ; toute cette merde qui nous entoure… On n'arrive plus à respirer. “La musique n'ouvre plus de perspective, tout comme le cinéma : le petit ressassement des drames bourgeois, on s'en fout.” Vous continuez pourtant à aimer la musique américaine… Et j'assume. En France, avant 1914, les plus gros cachets dans les cabarets allaient aux pétomanes. Puis sont arrivés des orchestres de la Nouvelle Orléans, qui nous ont montré qu'on pouvait faire autre chose. La musique américaine nous a sauvés. D'ailleurs Brassens ou Trenet en ont été fans, voilà pourquoi je n'ai jamais été gêné de l'aimer moi aussi ! Malheureusement, nous n'avons pas su inventer ensuite une musique européenne, ni même française. Autour de moi, j'entends trop de petits singes sous-doués, qui chantonnent dans un anglais de cuisine qui fait rigoler la Terre entière…

Vous avez tendance à noircir le tableau, non ? C'est un constat d'échec de nous tous. La musique n'ouvre plus de perspective, tout comme le cinéma : le petit ressassement des drames bourgeois, on s'en fout. Il faut malgré tout macérer dans ce chaudron, faire comme si de rien n'était, et tenter d'accrocher le chaland… Pour ma part, je sais que je n'ai pas de nouveaux auditeurs à gagner. C'est cuit avec les nouvelles générations. Il me reste juste à essayer de convaincre quelques cinquantenaires amateurs de chanson française que chez ce pauvre Murat, il y a des trucs pas mal. Même s'il est insupportable et qu'il a une réputation de sale con.

Vous avez un public certes restreint, mais très fidèle… Pour quelques centaines de personnes, ce que je fais est en effet important. Mes disques les remettent en selle. C'est le versant positif de l'histoire. Les gens du premier rang, je les connais. Je les reconnais. Je sais leur histoire personnelle. Une dame me suit depuis vingt ans, elle a perdu une petite fille, je lui envoie des messages. C'est une amitié en chanson, où chacune fonctionne comme une sorte d'encouragement. Je rencontre aussi des gens qui me disent que je fais la B.O. de leur vie. Ou qui sont tombés amoureux sur une chanson… D'un seul coup, des choses se tricotent entre mon imaginaire chanté, et, souvent, leur déshérence.

N'est-ce pas cela, la grande vertu de la chanson par rapport à d'autres formes d'expression ? Bien sûr, et c'est à peu près la seule chose qui me tient. Vous dites que la chanson n'ouvre pas de perspective. Mais doit-elle à tout prix le faire, ou juste consoler de vivre, ce qui est énorme ? Je suis d'accord avec vous, elle peut consoler, et c'est beaucoup. Mais si la seule fonction de la chanson est consolatrice, c'est que nous sommes dans une société malade. Dans l'absolu, le rôle de la chanson devrait être de créer ou d'accompagner des mouvements collectifs de confiance en soi. Comme nous sommes dans une société de défiance, il est devenu très difficile de chanter. Je me sens en divorce avec l'époque. C'est un peu bêbête mais je me demande si Hollande ne pense pas la même chose ! Dans une défiance généralisée, les personnalités fonctionnent à l'envers, créent de l'amertume. Peut-être que le dernier grand moment où on pouvait être chanteur en France, c'était pendant le Front Populaire. Ou à l'époque des yé-yé.

Parce qu'il y avait des espérances collectives ? Oui. C'est pour ça que les gens aiment tant les yé-yé et Johnny Hallyday. Quand Johnny est apparu, le PIB français progressait comme aujourd'hui celui des Chinois. La chanson, c'est lié aussi un peu à l'économie : quand on est complètement amorphe, c'est comme si on était aphone. D'ailleurs beaucoup de jeunes sont tellement aphones qu'ils se sentent obligés de changer de langue. La défiance est si colossale qu'ils ne chantent plus dans la langue de leur mère, qui a forgé leur cerveau et leurs pensées. C'est terrifiant.

Et quid des explications plus prosaïques : l'anglais sert de cache-misère pour dissimuler de mauvais textes en français, et c'est un outil pour qui rêve de carrière internationale… Mais ça n'existe pas, les Français qui font des carrières internationales ! A New York, les Daft Punk ne représentent pas grand-chose. Charles Trenet ou Yves Montand, au moins, représentaient quelque chose car ils incarnaient une France qui avait confiance en elle. Moi, j'essaye d'utiliser la langue comme si elle était encore intacte, et qu'on pouvait faire des choses avec. C'est aussi pour cela que je vis à la campagne : je n'ai pas de portable, pas d'ordinateur, je ne regarde pas la télé… Je ne suis à peu près au courant de rien ; sinon, je n'écrirais pas de chansons. Quand je me retrouve à Paris, entouré d'écrans et de presse, l'anachronisme de ce que je suis me saute à la gueule. Vous fustigez la défiance des autres, mais ce repli sur soi, on le sent aussi dans vos propos… Très juste, je n'y échappe pas. Je ne m'exonère d'aucun des défauts de l'époque. Je m'isole un peu géographiquement mais je suis aussi pourri que les autres. La seule chose, c'est que j'ai commencé avec Suicidez vous le peuple est mort (premier 45 tours, en 1981, NDLR), qui reste sans doute ce que j'ai fait de mieux. A l'époque, mes 30 ans approchaient, et je voyais déjà que ça n'allait pas le faire. C'était au tout début des années Mitterrand… Je sortais des groupes punk. Dope, overdose, j'étais pris là-dedans. J'étais déjà une sorte de rescapé. Les séjours à l'hosto, les trucs extrêmes, j'ai donné. Théoriquement, je n'aurais pas dû m'en sortir… Et je m'en suis sorti avec ce Suicidez-vous le peuple est mort, qui était une façon de dire : à quoi bon chanter, le public n'existe plus. Il n'y a plus d'oreilles pour toi. Trente ans après, c'est encore pire.

Vous parlez avec fougue de l'importance de la langue maternelle, et sur votre dernier disque, vous travaillez avec le Delano Orchestra, qui chante en anglais… Je n'arrête pas de les emmerder avec ça. Eux, comme les Cocoon and co, trouvent complètement tocard de chanter en français – à Clermont, je ne connais guère que Mustang qui le fasse. Et puis il y a tous ceux qui chantent en français… mais en déplaçant l'accent tonique, sous prétexte que ça sonne mieux. Dans les années 60, on a fait beaucoup de copies de chansons américaines, et on a trafiqué la langue. Moi, j'aime la poésie du XIXe siècle, qui a une puissance incroyable. Le reste du monde a longtemps été à genoux devant. Puis petit à petit, nous sommes devenus des colonisés. Les harkis des Américains en quelque sorte. Et on a décalé rythmiquement notre langue. Je n'ai pas fait d'études, je n'ai pas les outils pour l'analyser, mais je sens bien que c'est extrêmement grave, cette défiance de la langue maternelle… Qu'est-ce qui vous a poussé alors à travailler avec le Delano Orchestra ? France Inter, et plus précisément Didier Varrod, son directeur de la musique. En décembre 2013, ils fêtaient les 50 ans d'Inter et ils ont organisé un concert à Clermont-Ferrand. Didier m'a suggéré de jouer avec un groupe de la région puis il a essayé de nous aider à trouver d'autres dates. De mon côté, j'ai recommencé à écrire des chansons. En avril, nous sommes entrés en studio. Nous avons enregistré vingt titres. C'était simple. Une histoire heureuse. Que vous ont apporté les musiciens du Delano ? Leur savoir-faire et leur technique. Plusieurs d'entre eux savent lire et écrire la musique, ils ont fait le conservatoire. Moi qui ne défends que la musique non écrite, en grande partie improvisée, j'ai vu qu'ils parvenaient à maîtriser cela. Ils amènent aussi de la chaleur au disque… Sans doute, par la nature même des instruments, la trompette, le violoncelle. Et puis humainement, ça s'est vraiment bien passé. Vous vous êtes donc rencontrés aux 50 ans de France Inter. Vous avez joué le mois dernier aux 60 ans du Monde… C'est amusant, de la part de quelqu'un qui se sent si mal face aux médias ! J'avais aussi fait les 30 ans de Libération. Si j'y vais, c'est qu'on me le demande. Pias, ma maison de disques depuis Toboggan (2013), a été bien sympa de me recueillir. Tous les deux ans, je me retrouve sans contrat parce que je ne vends pas assez de disques… Mais la marginalité ne m'a jamais intéressé. J'ai toujours trouvé qu'elle était un échec. Je ne suis pas un pur esprit. Je ne veux pas être l'idéaliste de la chanson qui fait des cassettes autoproduites que tout le monde trouve géniales, et qui se vendent à quatre exemplaires. Non, je n'ai pas envie de vivre comme un con. Comment vivez-vous votre statut ? Je n'en ai pas. Bien sûr que si… Je chante dans des villes où des tocards remplissent le Zénith du coin, tandis que moi, j'ai beaucoup de mal à attirer 250 personnes.

Vous referiez, par exemple, un duo avec Mylène Farmer comme vous l'avez fait en 1991, pour mettre du beurre dans les épinards ? Non, ça me ferait honte. Je connais un chanteur qui cartonne en ce moment, et qui m'avait demandé un texte. Sauf qu'il a voulu changer un mot, et j'ai refusé. J'aurais pu aussi écrire pour Johnny et prendre la caillasse, mais je ne fais pas ma carrière en fonction de mon compte en banque… Il paraît que les choses vont mieux pour Miossec ou Dominique A depuis qu'ils écrivent pour de gros vendeurs. Je ne vois pas les choses ainsi. Pour moi, il y a même une certaine noblesse à faire les choses simplement. Je pars en tournée avec un seul musicien, je fais le chauffeur, je m'occupe d'un tas de trucs, je me sens très paysan dans ce sens-là. Mais si j'étais fidèle à ma logique, je ne devrais même pas en parler. Depuis les années 60, on associe souvent le chanteur à une vedette, qui gagne beaucoup d'argent, ce qui est très récent au regard de l'histoire des musiques populaires… Le chanteur n'a pas spécialement à être miséreux, la question n'est pas là ; mais il n'a pas à revendiquer un statut social particulier. Si demain ma bagnole tombe en panne et que je ne peux pas la réparer, ce ne sera pas la fin du monde. Bon, je ne veux pas non plus faire le supervertueux, je ne le suis pas. Je suis dans un entre-deux : je veux me sentir bien, en travaillant convenablement. D'ailleurs la chanson me permet quand même une sorte de vie de luxe : je passe des heures à lire, à peindre, à dessiner, à écrire, à faire de la musique…

Dans votre dernier disque, le thème de la mort, et même du meurtre, revient plusieurs fois. Cela vous intrigue, voire vous fascine ? Quand je vois des scènes de décapitation, je suis à la fois horrifié et fasciné. C'est un sujet de chanson. J'aime beaucoup les murder songs que peuvent faire des gens comme Nick Cave. Des chansons de meurtre. La guerre de 1870 est très présente chez Rimbaud… Alors oui, j'ai écrit quelques textes là-dessus. J'ai aussi esquissé des choses sur la maltraitance des enfants, ou sur l'Alzheimer de mon père (c'est intéressant, cette décomposition de la mémoire, qui fait écho à un pays qui semble lui aussi atteint par un Alzheimer). La chanson n'est pas seulement faite pour accompagner nos émois amoureux. Nous connaissons tous des gens capables de couper la tête à quelqu'un. Si nous étions dans une société vigoureuse, la chanson pourrait porter cela, au lieu de servir de bande-son à des publicités ! Car aujourd'hui, c'est devenu un but pour beaucoup : placer des chansons sur des pubs télé. C'est une façon de gagner de l'argent avec ce métier… Nous sommes devenus les esclaves de la consommation. Les petits groupes français fournissent, fournissent, fournissent des musiques pour la pub. Dans les années 60, Ford avait acheté Light my Fire aux Doors. Jim Morrison était à Paris. Quand il est rentré de Los Angeles, il a fait rendre le pognon et a interdit l'utilisation de la chanson. Je suis très admiratif de ça. Maintenant, même les Stones vendent Satisfaction pour faire la pub d'une bagnole ou d'un parfum ou d'une crème solaire. C'est la fin des haricots. Mais encore une fois, attention à ne pas se méprendre : je ne suis pas un chevalier blanc. Je vois juste – et vous aussi, j'en suis sûr –, la pourriture du système. On est bien obligé de le dire ! Après, on me traite d'emmerdeur… Mais c'est important de savoir où on se situe. Pour revenir à la discussion du début, je sais que je peux dire parfois n'importe quoi, mais pas quand ça touche à l'évolution du métier. Sur ces sujets-là, je suis même plutôt content d'être énervant.

Interview télérama

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #Actu-promo sept 2012 à...

Repost0

Publié le 29 Septembre 2014

Une chronique dans KR-Home studio

C'est dans une revue fêtant ses 300 numéros et qui nous livre "les enjeux de demain" (et personne n'en a parlé! C'est dingue) que nous est livré une des premières critiques de BABEL. Au programme: un "immense", un "fascinant", un "envoûtant", un "insaisissable"... C'est tout?

A part ça, Denis Clavaizolle ou Florent Marchet liront sans doute les tests du Moog sub 37 special édition.Le moog SUB 37 est une édition limitée qui inclut une plaque avec la signature de Bob Moog et des flancs en bois. Version plus grande et plus complète du Sub Phatty, le synthé présente un clavier de 37 touches sensibles à la vélocité avec aftertouch et peut opérer en modes mono ou duo-paraphonique, lequel permet de jouer les deux oscillateurs indépendamment. L'oscillateur, ça a rapport avec l'homéopathie?

Une chronique dans KR-Home studio

A part ça:

A 8h16 au Canada, certains se réveillaient avec "il faut vendre les près". Radio Canada

Et puisqu'on parle du Canada, Pierre Lapointe est décidé à réussir en France... la preuve, il chante de quoi plaire en France: "je déteste ma vie".

http://videos.leparisien.fr/video/la-sensation-quebecoise-pierre-lapointe-en-live-je-deteste-ma-vie-26-09-2014-x26oq42

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #Actu-promo sept 2012 à...

Repost0

Publié le 26 Septembre 2014

Y'a de quoi faire un petit article?

Voyons voir... On a eu quelques nouvelles des activités parisiennes de Jean-Louis, alors puisque l'attente est longue autant que ma tante est rude, et que ma tente est rêche (...n'importe quoi... mais c'est pour vous aider à ne pas craquer avant le 13 octobre)... parlons de ce que j'ai pu récolter hier... et..et... pour finir, deux nouveaux rendez-vous parisiens programmés!! Va valloir tout lire avant de les connaitre!

Jean-Louis est donc en période de promotion intense... Il fait le tour des popotes et des non-potes... Récapépitulation ci-dessous:

- Après Skip the Use diffusé hier dans Alcaline, c'est The Delano Orchestra qui bougera sans doute un peu moins sur la scène de cette émission... Mais ils ont enregistré pour le cadre de l'émission classique, et non pour "alcaline le concert"... Dommage. 3 titres + interview. Photos? Photos:

A PARIS... A PARIS, les Clermontois parlent à la France.
A PARIS... A PARIS, les Clermontois parlent à la France.
A PARIS... A PARIS, les Clermontois parlent à la France.

-  Certains ont donc pû enchainer un 3e rendez-vous avec Murat après la maroquinerie, l'Olympia... C'était hier à la Bellevilloise.... Enregistrement de l'émission le RING diffusé sur France ô. Mini concert de 5 titres.  Ca devrait être diffusé le 24 octobre. Compte-rendu?  et bien compte-rendu!  Par Pierre K, plus que jamais enthousiaste... notamment par la présence féminine  :

 

C. PIE a été adorable après le concert et je suis très content d'avoir pu un peu échanger avec lui
Le concert fut très court (5 chansons) mais Jean-Louis Murat et le The Delano Orchestra ont été excellents comme d'habitude.
Murat, bougon comme jamais n'a pas mené la vie facile à la présentatrice et au caméra-man mais il a été d'une très grande gentillesse avec ses fans après le concert. c'est à peine s'il a pas pris un verre avec eux.
Je suis toujours autant amoureux, -"comme tout le monde" me dira un ami de passage qui m'a ensuite présenté à Marie Audigier et que je remercie vivement- de Morgane Imbeaud qui est toujours tout sourire pendant les concert. C'est un vrai ravissement de la voir danser et sourire avant, pendant et après chaque chanson.

Murat par Berberian

Murat par Berberian

- En télé, pour rappel, Murat sera également dans l'émission d'infos culturelles de France 5, "entrée libre". Interview

C'est tout pour l'instant.

 

- Mathieu Gatelier du mag Francofans m'a averti qu'il avait interviewé Murat... Ca sera dans le numéro de Novembre... et la chronique de l'album dans le numéro d'octobre. "l'album est très bon" me dit-il. 

Pas un seul commentaire négatif pour l'instant de la part des critiques... Une remarque  m'a même agacé, je ne l'ai pas noté, mais c'était du genre : "du meilleur Murat, des titres du niveau jamais atteint depuis Mustango..."... Et lilith? et CODC? et... et... !!   Enfin soit...

 

- Sur twitter, on notera que JLM est passé du côté du Figaro, Figaro-ci, Figaro-là ... On espère que ce n'était pas que pour dire bonjour à Olivier NUC (son inter-Vious ET MURAT), mais que c'était bien pour le live (dernière session)... On notera, après la remarque de Pierre K., qu'il tardait sans doute à JLM de retrouver ses terres...

 

:

Tu as mis Jean-Louis d'excellente humeur pour son passage dans nos murs. Merci camarade !

On sent l'ironie ou c'est moi?

F.Vergeade de Magic twittait lui:

en forme olympique.

 

ET ENFIN, but not least!

-  Pierre K. a appris hier soir qu'un concert parisien était programmmé: au NEW MORNING. LUNDI  24 NOVEMBRE.

 

- Et c'est reparti pour une rencontre à la FNAC des ternes!!  JEUDI 16 Octobre... JL n'en a pas fini avec PARIS décidemment!!

infos là   

La Fnac des Ternes vous invite à une rencontre avec Jean-Louis Murat à l'occasion de la sortie de son album Babel, enregistré avec The Delano Orchestra

Nouvelle pierre dans la carrière irréprochable de Jean-Louis Murat, « Babel » (double album), est une œuvre orchestrale, harmonieuse, éblouissante & bouleversante. Un nouvel album de 20 chansons qui confirme la place unique & indispensable de Jean-Louis Murat dans le paysage musical français. Depuis l’enfance, Jean-Louis Murat construisait ce grand œuvre, seul ou en bande, dans son Auvergne natale ou dans la poussière de l’Amérique vénérée. Derrière des guitares sèches ou tordues d’électricité, il a parcouru des contrées où personne ne s’aventure, chaque année ou presque. Ne jamais s’arrêter de façonner, bâtir, et pour longtemps, pour sûr. « Babel » est le chaînon manquant, le lien qui unit le monde et l’Auvergne, l’infiniment proche et l’universel. Ce double album a été enregistré avec The Delano Orchestra groupe clermontois qui oscille entre folk gracile et pop tendue comme un arc. Leurs chemins se sont croisés sur les ondes de France Inter, un matin de décembre, pour un concert mémorable presque inventé de toutes pièces. Sachant les vertus des belles guitares, des rythmiques enjouées et des arrangements savants, Murat l’Arabe, Murat le paysan, le grand Murat reste cool et espiègle en toutes choses, caressant de sa voix unique ce Harvest arverne éblouissant. De là est née « Babel », une œuvre de cartographe fou d’amour, de géographe retourné par les souvenirs, l’Histoire, les paroles et les senteurs d’un pays nourricier, où la poésie cède souvent la place au franc-parler des campagnes, une étonnante et sublime confrontation que personne d’autre n’aurait pu réussir. « Babel » est tout cela, et bien plus encore. Il est le voyage invisible de l’âme aux confins du monde, ici et là-bas, définitivement.

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #Actu-promo sept 2012 à...

Repost0

Publié le 22 Septembre 2014

J'avais publié durant quelques jours en juillet les photos servant à la promo... courcircuitant peut-être les exclusivités à la con promises à la grande presse... au prix d'une planque harassante de 30 secondes...  un heureux hasard.  Ces photos sont désormais publiées... et je vous les partage donc à nouveau. Et avec plaisir parce qu'elles sont très belles. Vous respecterez bien-sûr l'auteur en le mentionnant si vous les diffusez    ©Julien MIGNOT

 

 

Après la réussite des clichés sur Toboggan, voici les photos qui doivent servir pour BABEL... dans la même veine. Prises au COL DE DIANE...  

Et comme promis par Murat, elles sont faites par un clermontois JULIEN MIGNOT. site personnel de Julien MIGNOT (on y voit des portraits d'Izia, Babx, Patti Smith, Lana del Rey...).

 

 

julien mignot murat

 

julien mignot murat 2

 

murat alex mignot

 

murat mignot voiture

 

murat brouillard mignot

©Julien Mignot

 

Julien Mignot avait déjà pris la photo fameuse de Murat sortant de scène, comme d'un bain:ici



En voici encore d'autres:

 

 

Shooting promo!
Shooting promo!

LE LIEN EN PLUS:

Des nouveaux clichés de Frank Loriou sur son site:

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #Actu-promo sept 2012 à...

Repost0

Publié le 18 Septembre 2014

Murat dans MAGIC!

C'est déjà paru depuis quelques temps... et toujours en kiosque pour quelques jours... Les promos se suivent et se ressemblent... C'est quand même sympathoche... Dommage que Magic soit si mal distribué... D'ailleurs, je n'ai pas pu encore le palper... Merci donc à M. pour les scans. Il s'est enfin rendu utile celui-ci.

Murat dans MAGIC!

Mais on n'a beau être dans un journal pointu, dans un article écrit par un journaliste réputé qui a l'immense honneur d'être mentionné juste en dessous d'un certain P.V. dans la bible "Le top 100 des chansons que l'on devrait tous connaitre par coeur" du camarade Baptiste Vignol... il y a quand même une erreur... qui me chagrine.... puisque c'est la preuve, renouvelée, que ce blog ne sert à rien...

On apprécie vraiment que Christophe soit mis à l'honneur... mais la référence au LP MURAT de 82 est une erreur le concernant, erreur induite par les crédits figurant sur jlmurat.com notamment... et c'est ce que MICHEL ZACHA nous avait révélé dans son inter-ViOUS ET MURAT (partie 1). La vérité se trouve là et nulle part ailleurs sur le web... même si en réalité... pour le nom du batteur... Zacha avait un doute...

C'était la séquence gros melon s'auto-flagellant... (ou ne pas se prendre trop au sérieux, jamais).

Bon week-end...

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #Actu-promo sept 2012 à...

Repost0

Publié le 17 Septembre 2014

Après la nouvelle de la soirée à l'Olympia, celle de la prestation annuelle ou presque (plus d'une fois, donc) au BOTANIQUE de Bruxelles, voici une nouvelle date:

Ce n'est pas encore annoncé sur le site caramba:

vendredi 10 avril à 21h le chanteur Jean-Louis Murat... et puisque je suis gentil je vous dis où ça sera... à MONCEAU, près de CHALON sur saône. C'est d'ailleurs dans l'INFO-CHALON.com que la nouvelle est dévoilée... Et oui, y a pas que le New-York post, le canard enchainé ou Closer qui dévoilent des scoops.

http://www.info-chalon.com/articles/saone-et-loire/2014/09/17/8561-la-culture-arme-de-persuasion-massive-portee-aux-nues-pendant-le-bapteme-de-la-saison-a-l-embarcadere-de-montceau.html

Et les billets sont en vente : http://www.embarcadere-montceau.fr/

L'Embarcadère est bien plus qu'une salle de spectacle ordinaire. Fort d'une salle de 900 places assises et d'une autre de 1000 places debout mais aussi d'une galerie d'exposition et d'un bar, c'est un véritable pôle culturel à lui tout seul. Rares sont les villes de taille modeste comme Montceau à bénéficier d'une telle installation, il serait dommage de ne pas en profiter

Jouer dans une telle salle, ça m'étonnerait pas que ça le mine! Mais Dijon qu'il n'y sera pas Autun.... Sur ce, compagnons de la table ronde, mieux vaut m'éclipser... Je vais me préparer un steak de charolaise avec un passe-tout grains.

EDIT: grâce à l'intervention de "moi"... Voici donc le site officiel qui nous dévoile à son tour une nouvelle date: RENNES...

Voici donc le récap... ET IL EST BIEN PRECISE DESORMAIS LES DATES SANS LES TDO!


23 septembre 2014 / L’Olympia - Paris (75) - Le Monde Festival

14 nov. 2014 / Centre Culturel Athena - Auray (56)
22 nov. 2014 / L’Astrada - Marciac (32)


sans The Delano Orchestra :

30 jan. 2015 / Trianon Transatlantique - Sotteville-lès-Rouen (76)
31 jan. 2015 / Les Botaniques - Bruxelles (BE)

1er fév. 2015 / L’Alhambra - Mons (BE)
7 fév. 2015 / Centre Culturel - Noisiel (77)
27 fév. 2015 / Le Carré d’Argent - Pontchâteau (44)

6 mars 2015 / Théâtre du Crochetan - Monthey (Suisse)
7 mars 2015 / Théâtre Jean Dasté - Rive de Gier (42)
14 mars 2015 / Théâtre - Etampes (91)
20 mars 2015 / Le Trident - Cherbourg (50)
21 mars 2015 / Les Arènes - Valencienne (59)

8 avril 2015 / Festival Mythos - Rennes (35)
9 avril 2015 / Festival Mythos - Rennes (35)
10 avril 2015 / L’Embarcadère - Montceau-lès-Mines (71

PS: 20/03/2015 - Théâtre à l'Italienne, CHERBOURG (50) (France)

Est-ce qu'il était déjà indiqué celui-là? Je ne sais plus...

Et un concert, un!

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #Actu-promo sept 2012 à...

Repost0

Publié le 16 Septembre 2014

Allez, je n'avais pas encore eu le temps de vous partager les quelques actualités tombés durant mes congés.... On commence par une curiosité....

 

1) Dans la série, "on croit rêver quand on croise un fou qui vit d'espoir" : Un autographe à vendre... Espérons qu'il le reste encore longtemps.

http://www.xpautographes.com/autographe-jean-louis-murat-25777.html

ah, j'avais pas vu quand j'avais partagé sur fb, mais il y'en a plusieurs...

 

 

2) Dans la série, reprenons notre sérieux en lisant les échos...

http://www.lesechos.fr/week-end/culture/0203736060118-rentree-rock-chanson-cest-deja-noel-1038642.php

"le stakhanovistee Jean-Louis Murat est toujours aussi brillant, plus rock peut-être cette fois en compagnie du Delano Orchestra".

 

3) Dans la série, "les inrocks ont encore palpé"... Avant que le single ne soit diffusé dans leur compil de la rentrée 2014:

http://www.lesinrocks.com/2014/09/02/musique/concerts/les-concerts-pas-manquer-paris-au-mois-septembre-11521871/

"Le prolixe Jean-Louis Murat revient à ses premières amours avec Babel, son nouvel album prévu pour le 13 octobre. Enregistré avec The Delano Orchestra, ce double format opère – à entendre le premier single J’ai fréquenté la beauté – un retour aux sources roots. On pourra le vérifier le 10 septembre à la Maroquinerie, soit un mois avant la sortie du disque".

 

4) Dans la scierie "hiver très rigoureux", chez le camarade Kemper, on avait été dur avec Murat après sa prestation dans le 4.2.... Cela n'empêche pas de revenir aux classiques:

http://www.nosenchanteurs.eu/index.php/2014/09/02/jean-louis-murat-et-isabelle-huppert-entre-deux-draps/

 

5) Dans la série, "je partage l'affiche avec une petite pisseuse"...

http://focus.levif.be/culture/musique/christine-and-the-queens-l-interview-de-rentree/article-normal-216803.html "mes parents écoutaient Murat".

On en profite donc pour rappeler que MURAT est en concert avec l'Olympia... Et en plus de Christine, il y aura Arnaud Fleurent-Didier... Je suis tellement vert de l'avoir raté sur sa précédente tournée.... L'annonce d'un nouveau disque pour AFD l'anti-stakhanoviste? En tout cas, une rencontre Murat/AFD serait passionnante... puisque le deux n'ont pas peur d'être antipathique!

 

6) Dans la série "Pierrot fait du remplissage"...

http://www.chartsinfrance.net/Jean-Louis-Murat/news-93360.html 

Mais ça m'a bien fait  marrer ! M. Hamard, redressez la barre! Vous faites des honorables efforts pour sortir du dossier de presse (sauf pour Otis Redding etc...)... mais votre phrase m'a tué.  Quant à la Bourboule, c'est une légende rurale...

"A 60 ans, Jean-Louis Murat a décidé qu'il était temps pour lui de revenir à ses racines, comme l'a fait Cali avec son disque "Vernet-les-Bains" (2012), qui porte le nom de la ville où le chanteur a passé sa jeunesse. Natif de La Bourboule , commune d'Auvergne, l'interprète de "Vendre les prés" a enregistré un double-album baptisé "Babel", avec The Delano Orchestra, un groupe rock-folk originaire de Clermont-Ferrand. De quoi laisser présager une évolution vers un son différent, marqué par la musique que Jean-Louis Murat apprécie mais qu'il joue trop peu, celle d'Otis Redding, de Gladys Knight and the Pips et des Tindersticks. Un premier extrait fraichement mis en ligne sur SoundCloud confirme ce virage vers un son plus roots mais toujours aussi classieux. La chanson "J'ai fréquenté la beauté" prouve également que l'artiste, malgré les années, ne perd rien de son talent de poète, même si - et c'est tant mieux -, il devient beaucoup plus accessible. ~Entièrement écrit et composé par Jean-Louis Murat, l'album "Babel" a été enregistré avec des proches collaborateurs tel que le batteur et percussionniste Christophe Pie. On retrouvera également aux crédits le nom du trompettiste Guillaume Bongiraud, vu aux côtés de Corson sur scène au printemps, ainsi que celui d'Alexandre Rochon, à la guitare électrique et aux synthés. Jean-Louis Murat lui avait d'ailleurs filé un petit coup de pouce au printemps en relayant la sortie de son "Cahier Bleu, instan(ané)s de baignades en Auvergne", un recueil d'anecdotes, récits, lieux connus et moins connus de la région. Comme toujours, la sortie d'un nouvel album de Jean-Louis Murat s'accompagne de l'annonce d'une nouvelle tournée. Le chanteur se produira en premier lieu à La Maroquinerie le 10 septembre (Paris), avant de jouer à Marciac le 22 novembre, Pontchateau le 27 février 2015 ou encore à La Petite Forêt le 21 mars. La billetterie est ouverte. Jonathan HAMARD En savoir plus sur http://www.chartsinfrance.net/Jean-Louis-Murat/news-93360.html#ZdCCV3oA8VQCulOX.99

 

7) Dans la série, je ne sais plus ce que c'est ce lien

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=dmf20140826_00518681 

"Jean-Louis Murat livrera un nouvel album le 10 octobre («Babel »). En prélude, sort un premier single intitulé «J’ai rencontré la beauté ». Un beau titre où l’Auvergnat se fait accompagner des excellents musiciens du Delano Orchestra. Beau.

Murat et le Delano, c’est une histoire de respect mutuel et de proximité géographique, les deux revendiquant leurs racines en Auvergne. Ce respect, il s’est transformé en collaboration appuyée grâce à une série de concerts qui les a notamment fait passer par les Francos de La Rochelle en juillet dernier.

L’aîné donne donc un coup de projecteur sur ses cadets. Et on ne peut s’empêcher de mettre en avant cette petite phrase lâchée au magazine Moustique, l’année dernière: «Quand j’ai commencé, deux pages dans Libé, deux dans Le Monde, quatre étoiles dans Télérama et on vendait 150 000 albums. Là, mes amis de The Delano Orchestra, un groupe de Clermont, avec tous les médias à leurs pieds, ils ont fini avec 5 000 exemplaires!»

Après la scène, la collaboration va donc s’épanouir en album. Si celui-ci est à l’image du single, ça promet. C’est beau. Ample. À la croisée, du rock, du folk, du blues et de la chanson française. C’est du Murat pur jus mais avec un petit supplément d’âme. On aime. Et on en redemande".

Beau travail de recherche!

 

8) Et on termine par ... dans la série "puisque tout a une fin" ou mieux  dans la série "ce monument quand le visite-t-on?"  :     

un petit compte-rendu du concert de Pully avec 3 photos:par Lise Poupon // Photos : Julien Berberat

http://www.lordsofrock.net/pully-for-noise-4/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=pully-for-noise-4

 

Malgré une scène avec des techniques intéressantes et des bons musiciens n’est pas Jean-Louis Murat qui veut ! Alors parfois mieux vaut juste ne pas chanter en français, sinon la langue a mal !

img0165 Pully For Noise

Le vendredi sera mélancolique ou ne sera pas avec Jean-Louis Murat and the Delano Orchestra. Il est là Jean-Louis Murat fidèle à lui-même, figé dans le temps, étriqué sur son coin de scène. Le regard perdu au loin, il parle ses textes à la beauté indemne. Car c’est là que réside son talent des mots à la poésie délicate. La dépression nous guette mais dans cette ambiance, il y a quelque chose d’irréel : l’homme et son groupe au milieu de la forêt : paradis ou enfer originel. Le public est figé lui aussi, saisi. On est bien loin de l’Auvergnat de Brassens, Jean-Louis partage le lieu pas l’humeur. Si on tente une photo-portrait en gros plan, il ne faut pas compter sur un sourire. Jean-Louis Murat a invité avec lui The Delano Orchestra qui alterne avec ses propres chansons. La voix de Murat est restée intacte avec ses vibratos incontournables. Une question me quête pendant tout le concert : Mais pourquoi est-ce qu’il n’écrit pas de livres ? En tous cas, il représente encore fièrement la place d’auteur-compositeur-interprète français ayant échappé à la pop et aux paroles tout faites et rien que pour cela, il vaut le déplacement. Un monument culturel qui tient debout.

img0167 Pully For Noise

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #Actu-promo sept 2012 à...

Repost0

Publié le 5 Septembre 2014

  • 23/09/2014 - Le Monde Festival - L'Olympia, PARIS (75) (France)
  • 14/11/2014 - Centre Culturel Athena, AURAY (56) (France)
  • 22/11/2014 - L'Astrada, MARCIAC (32) (France)
  • 30/01/2015 - Trianon Transatlantique, SOTTEVILLE LES ROUEN (76) (France)
  • 07/02/2015 - Auditorium Jean-Cocteau , NOISIEL (77) (France)
  • 27/02/2015 - Le Carré d'Argent, PONTCHATEAU (44) (France)
  • 06/03/2015 - Théâtre du Crochetan , MONTHEY (Suisse)
  • 07/03/2015 - Salle Jean Dasté, RIVE-DE-GIER (42) (France)
  • 20/03/2015 - Théâtre à l'Italienne, CHERBOURG (50) (France)
  • 21/03/2015 - Parc Lavoisiers - Arènes de Valenciennes, PETITE FÔRET (59) (France)

Les dates en gras sont nouvelles! Infos du site caramba.fr

Merci Jean-louis R

DE NOUVELLES DATES EN 2015!

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #Actu-promo sept 2012 à...

Repost0

Publié le 4 Septembre 2014

J'avais trouvé datant du 2/09... une page publiée puis effacée par LE MONDE.FR, qui annoncait un concert de JEAN-LOUIS dans le cadre d'une petite sauterie de deux jours organisée par le journal.

Je n'avais pas publié l'info ici, mais tâté un peu le terrain sur fb.... et sur twitter où Véronique Mortaigne me répondait "il parait"....

Et ce jour... Cela a été officialisé!

MURAT JOUERA DONC A l'OLYMPIA!!

Avec CHRISTINE AND THE QUEENS... et une surprise....

Christine qui a parlé récemment en Belgique de Jean-Louis.... dans la série "coup de vieux" : "Cela dit, mes parents écoutaient aussi pas mal Christophe, Jean-Louis Murat"...

http://www.olympiahall.com/rock-electro/le-monde-festival.html

http://www.lemonde.fr/festival/article/2014/09/04/concert-a-l-olympia_4480666_4415198.html

Jean-Louis Murat

A la fois campagnard et urbain, folk et électrique, composant ses chansons depuis sa ferme du Puy-de-Dôme qu'il a transformée en lieu de vie et studio d'enregistrement, Jean-Louis Murat est une de nos grandes voix, poétique et bucolique, chaude et inimitable. L'Auvergnat au caractère tranché et au geste généreux, admirateur de Neil Young, de Bob Dylan et de Gérard Manset, a publié une bonne vingtaine d'albums. Il se transforme sur scène en rockeur unique et volcanique.

J'ai retrouvé trace d'un concert en 2000 à l'Olympia (Françoise Hardy nous a raconté qu'elle était à ce concert)... mais il me semble que ce n'est pas une salle qui apprécie particulièrement.

A L'OLYMPIA...

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #Actu-promo sept 2012 à...

Repost0