2023 apres

Publié le 19 Avril 2024

bonjour,

1)  Il semble que tout le monde ait un avis comparable au mien sur "les jours du jaguar" de Pierre Andrieu que vous êtes en train de recevoir au fur et à mesure : un joli livre !

Michel Troadec le fidèle lui fait l'honneur d'un petit article dans le plus grand journal français : Ouest France dans l'édition du 18/04

          Le chanteur Jean-Louis  Murat vu de l’intérieur, dans  un très beau livre

Grand auteur, compositeur et interprète, l’artiste auvergnat est décédé il y a un peu moins d’un an, en mai 2023. Un beau livre du journaliste Pierre Andrieu lui rend hommage, avec de nombreux témoignages.

 

Presque un an que Jean-Louis Murat nous a brutalement quittés, à 71 ans, nous laissant une prodigieuse discographie, l’une des plus foisonnantes de la chanson française : 31 albums et près de 500 chansons en un peu plus de quarante ans (1981 à 2023) de carrière. L’ironie veut qu’après avoir longtemps refusé de publier une compilation, il avait accepté, décédant la veille de sa sortie. Pour ceux qui connaissent mal son œuvre, son best of de vingt titres est un beau panorama. Pour ceux qui ont le plaisir d’avoir suivi son parcours, ce livre est l’occasion d’en apprendre un peu plus sur le poète auvergnat, bourru et provocateur vu de l’extérieur, infiniment attachant quand on le connaissait un peu.

Journaliste clermontois, Pierre Andrieu le raconte surtout par sa musique, par ses disques clés, se focalisant sur sa période la plus prolifique, de Mustango (1999) à Taormina (2006), débordant sur Toboggan (2013, le plus intime) et Babel (2014, le plus auvergnat). Mais il fait aussi parler ceux qui l’ont côtoyé, notamment des proches : Marie Audigier, Denis Clavaizolle, Laure Desbruères, Fred Jimenez… Un riche livre pour un immense artiste.

Les jours du jaguar, Éditions Le Boulon, 200 pages (50 photos), 32 €.

 

Pierre Andrieu est plutôt un lilithien, et ses choix font un peu parlé du côté de Benzine Mag:

A LIRE SUR LE SITE 

 

« Jean-Louis Murat – Les Jours du Jaguar » de Pierre Andrieu : Garder ses chansons près de nous.

Signé de Pierre Andrieu, Jean-Louis Murat – Les Jours du Jaguar vaut autant comme recueil de témoignages sur Jean-Louis Murat que comme relecture du « virage électrique » de ce dernier.

 

« Jean-Louis Murat – Les Jours du Jaguar » de Pierre Andrieu : Garder ses chansons près de nous.

Signé de Pierre Andrieu, Jean-Louis Murat – Les Jours du Jaguar vaut autant comme recueil de témoignages sur Jean-Louis Murat que comme relecture du « virage électrique » de ce dernier.Lors des dernières Victoires de la Musique, l’hommage à Jean-Louis Murat fut un moment aussi plein de bonne volonté que raté. Il y eut d’abord Léa Salamé déclarant que tout le monde avait été touché par son décès. Elle évoquait bien sûr le public mais les mots paraissaient décalés au vu du parterre présent. Un parterre représentant un show business hexagonal auquel Murat avait un rapport pour le moins compliqué. Quant à Raphaël, d’ordinaire honorable dans l’exercice de la reprise, il foira Si je devais manquer de toi en voulant absolument se caler sur le murmuré de Murat. Heureusement, la sortie du (beau) livre de Pierre Andrieu, rédacteur sur le site concertandco, est là pour offrir un hommage plus digne à un grand de la chanson française contemporaine. Préfacé par Jennifer Charles d’Elysian Fields, Jean-Louis Murat – Les Jours du Jaguar est d’abord constitué d’interviews de divers collaborateurs/collaboratrices racontant leur Murat : les musiciens de studio, le directeur de communication de la Coopérative de Mai, la cinéaste qui l’a filmé au travail (Laetitia Masson), les femmes partenaires dans l’intimité qui furent tout autant ses conseillères artistiques… Et les admirateurs tels que Bernard Lenoir ou l’écrivain Eric Reinhardt. Et enfin des interviews de Murat données à l’auteur. Le tout illustré d’une mine d’or de photos remontant jusqu’à l’avant-notoriété. Si les premières interviews peuvent être touchantes ou intéressantes, celles de Murat rappellent que le Murat distributeur de phrases à l’emporte pièce était nettement plus plaisant à l’oral, au milieu d’un talk show trash, qu’à l’écrit. A côté de cela, Andrieu passe en revue la biographie d’un artiste qui, tel Bashung, a décollé sur le tard. Il évoque l’engagement humanitaire discret, les concerts, la place du sexe et de la mort dans les textes de Murat. Et offre la partie la plus débattable et la plus intéréssante du livre : une vision de la discographie pas forcément partagée par tous les fans de l’Auvergnat. Les synthétiseurs, éléments datés de Cheyenne Autumn ? Il sont pourtant moins pénibles à mon oreille que ceux de I’m your man de Leonard Cohen. Et dans les deux cas le plus important tient toujours debout : les (grandes) chansons. Au nom de ce parti pris, l’âge d’or discographique de Murat se situerait selon Andrieu entre Mustango et Taormina. Je tiens personnellement Mustango pour son chef d’œuvre. Un alliage du Blues/Rock et de la chanson française que Bashung avait effleuré sur certains morceaux d’Osez Joséphine. Et une rencontre entre deux Far West : celui personnel de Murat (l’Auvergne) et l’ombre du vrai. Résumée par ce Jim murmurant à cheval. A ma gauche la littérature de l’Amérique profonde (l’écrivain Jim Harrison). A ma droite l’ombre du western (à cheval). Et au milieu ce murmuré dont Murat disait qu’il se mariait mieux à la langue française que certaines voix gueulardes. Mais surtout un album contenant relativement peu de morceaux confondant le spontané et le bâclé.  Ensuite, Murat s’est souvent réclamé comme le rappelle le livre du caractère prolifique d’un Dylan ou d’un Neil Young. Je vois plutôt dans beaucoup de ses albums post-Mustango une incapacité à faire le tri. Mais l’intérêt d’Andrieu est de faire de Mustango un point de rupture, un moment où Murat passe à la guitare. On peut débattre de cette césure en évoquant les moments pop ligne claire à guitare de Vénus. Ou ne pas réduire le Murat post-Mustango à cela. Mais cela fait sens quand on pense à ce que le morceau Nu dans la crevasse représentait : la première fois que Murat ouvrait la porte à une longue cavalcade électrique avec Neil Young et son Crazy Horse en ligne de mire. Une approche « canadienne » qu’il appliquera sur scène à une partie de son répertoire. Le livre s’achève sur une playlist imaginaire basée entre autres sur les goûts de Murat et les morceaux qu’il a repris. Peut-être pas la meilleure manière d’achever un livre réussi. Dans un numéro de Reporters où l’on entendait des maquettes de son alors pas encore sorti The Future, Leonard Cohen déclarait construire ses chansons comme des Mercedes, pour qu’elles durent. Là où son fan Murat souhaitait que ses chansons « soient comme des meubles anciens : solides, fiables, familières. Qu’elles résistent à l’érosion. ». Une résistance au moins avérée s’agissant de titres comme Fort Alamo. En attendant, le livre est un bel objet et une bonne manière de se souvenir de l’auteur de ces chansons solides, fiables et familières.

 

Pierre sera aux Vinzelles le 27/4 avant MATT LOW

Il a causé du livre sur France Bleu hier. A écouter:  A 17h04 dans "on sort en Auvergne"  (le pauvre Pierre, on lui a infligé du Vianney). Il y a une dizaine de minutes à écouter (sur une émission d'une vingtaine). On savait par exemple qu'il était un fidèle du bouquiniste de la Bourboule, mais Pierre raconte qu'il passait également chaque semaine aux Volcans pour des livres.  

Il y a eu un autre rendez-vous  un peu plus tard dans la journée avec le "club de la presse auvergnat" et même si Radio Campus était associé, je ne trouve pas de podcast.

Rappel : il sera aux volcans avant la soirée à la coopé et avec nous le samedi 22 juin au Fotomat pour une séance dédicace.  

PS: Magic! a également publié des bonnes feuilles.

 

A propos de  l'autre livre qui sort (Foule Romaine, d'A. Couder) qu'on chroniquera prochainement, une sacrée pointure YANNICK HAENEL donne son approbation dans le CHARLIE Hebdo de cette semaine:  "une rêverie émotive, un éloge scrupuleux, un commentaire savant et insolent... sur le plus grand chanteur depuis Gainsbourg et Bashung".

 

 

2) Le pape papi Gérard MANSET sort un nouveau disque. Il était invité de L. Goumarre hier sur Inter... J'adore son côté absolument insupportable (il dit qu'il n'écoute rien, ne voit rien alors qu'on sait qu'il se faisait inviter dans la décennie précédente, aux concerts ou en festival... par exemple par Dominique A) mais soit. 

A 24 minutes, il raconte sa version de sa rencontre avec Jean-Louis Murat... "le gars là qui vit dans le cantal" (il a un peu du mal à se rappeler des noms dans l'interview, Higelin également).  Jean-Louis Murat aurait mal pris que Gérard lui dise qu'il n'avait besoin de producteur pour enregistrer,  qu'il fallait qu'il se débrouille".  Peut-être est-ce Hebey qui avait organisé la rencontre en 1981, mais pour Dejacques et Zacha chez Pathé, la priorité était d'éviter de lui faire faire du Manset (interview de Zacha). 

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/cote-club/cote-club-du-jeudi-18-avril-2024-9671420

 

Pour rappel, Jean-Louis a indiqué qu'il n'avait pas aimé le regard porté sur les filles par Gérard... Ce n'est pas le seul épisode de la relation : outre la reprise "entrez dans le rêve" sur route Manset, ce dernier a raconté avoir tenté de téléphoner à JL (à moins que ce soit Jean-Louis qui ait raconté qu'il n'a pas rappelé Manset suite à un message -je ne retrouve pas la source, c'était peut-être avant 2009). 

Pour le plaisir, je ressorts cette petite anecdote qui figure sur le blog: 

Sur un blog à vocation littéraire sous forme de journal, JL Bitton nous parle d'une petite anecdote qui me ravit, moi qui compile les petites infos concernant Murat et Manset.

"ACTE 1

Depuis quelques années, Guillaume D. organise des dîners dans la grande tradition dix-neuviémiste du salon littéraire et artistique. On y croise musiciens, écrivains, connus ou méconnus, mais également des lecteurs, collectionneurs et passionnés. Je ne suis pas très friand de ce qu'on appelle les dîners en ville, qui sont la plupart du temps ennuyeux et prétentieux, mais chez Guillaume D., la simplicité est de rigueur, ses dîners sont sans chichi ni falbala. Il y a quelques invités récurrents comme le voyageur solitaire Gérard Manset : "- Que pensez-vous de Jean-Louis Murat, Gérard? - Nos univers sont proches, mais lui est vraiment triste." 

Moi, ça me fait rire. 

 

LE LIEN EN PLUS 

Petit petit petit lien en plus, mais on a vu les derniers propos de Biolay (sur sa reprise en main)  repris un peu partout, et sur le site pleine vie on peut lire: 

"Totalement sevré à ce jour, l’ex-gendre de Catherine Deneuve et grand admirateur de Jean Louis Murat dont le décès l’a particulièrement affecté, affirme ne plus avoir d’alcool chez lui afin d’éviter de replonger" .

 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #2023 après, #bibliographie

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Publié le 11 Avril 2024

Nous vous avons déjà recommandé et parlé du livre ici...   Christophe Basterra de Section 26 fait de même aujourd'hui.

Je me permets de reproduire ci-dessous la partie Chronique comme toujours joliment écrite (Pour rappel, Christophe a parfois écrit des textes promos pour les albums de Jean-Louis), puisqu'il faudra vous rendre sur la page de  Section 26 pour y découvrir des photos, et quelques pages du livre: la chronique sur le Best of, et l'interview de Bernard Lenoir, qui sont proposés en exclusivité et en avant-première. 

https://section-26.fr/jean-louis-murat-les-jours-du-jaguar-par-pierre-andrieu-le-boulon/

 

Je me souviens très bien de cet instant-là. Quelques semaines à peine après m’être installé à une dizaine de kilomètres de Clermont-Ferrand, attablé à la terrasse d’un bistrot de la capitale arverne, mon ami Hervé – un gars vraiment du coin – m’a dit à peu près ces mots-là : “Tu verras, tu n’écoutes pas Murat de la même façon quand tu roules sur les routes auvergnates un jour d’automne… Il faut avoir vécu ça”. Quelques semaines plus tard, je crois qu’il m’avait dit à peu près la même chose au sujet du Steve McQueen de Prefab Sprout… Mais surtout, il avait raison – d’autant plus raison que Murat fut je crois très fan dudit Steve McQueen (l’album, pour l’acteur je ne sais pas), à tel point qu’il était allé jusqu’à louer les services du batteur Neil Conti, qui joue sur ce chef d’œuvre de 1985. Mais Hervé avait tort aussi : parce qu’il ne m’avait pas dit alors (alors, c’était vers 2011) qu’on n’écoutait pas non plus Murat de la même façon sur les routes auvergnates un jour de printemps. Parce qu’il ne m’avait pas dit l’effet que pouvait produire au hasard Le Lien Défait avec la chaine des puys comme ligne d’horizon dans un crépuscule naissant. C’est un effet dingue. Et un effet d’autant plus dingue quand on a appris quelques heures plus tôt, au détour d’un coup de téléphone à la fin d’une réunion, sa subite disparition…

Contrairement à ce qu’a pu laisser entendre un média un peu pop mais plus forcément moderne, je ne suis donc ni Auvergnat ni un spécialiste de l’œuvre du natif de La Bourboule. À tel  point que par ma faute – mais peut-être est-ce un peu préjugé de mon importance – il y a cette rencontre qui ne se fera plus jamais entre les mélancolies bleues des Anglais de Moose et de l’Auvergnat Murat – cette mélancolie-là ne connait pas les frontières… Elle ne se fera plus parce qu’avant Le Train Bleu, j’avais raté Le Manteau De Pluie, ses accents bossa contrariés, ses bonjours à la tristesse, ses amours défuntes – je me suis rattrapé depuis, autant pour le disque que pour ses thèmes. Après toutes ces années, il y a en tout cas cette certitude : j’aime les chansons (et certaines beaucoup plus que d’autres) de cet homme-là, j’ai aimé aussi sa franchise, son obstination et sa mauvaise foi. J’aime toujours ses mots, ses vérités – qui n’étaient pas toujours bonnes à dire. Mais non. Je ne suis pas un spécialiste. Et certainement pas un spécialiste comme Pierre Andrieu peut l’être.

Pierre Andrieu est Auvergnat avant d’être journaliste  – avec toutes les qualités et les défauts que cela implique. Il a découvert Murat dans les années 1990 je crois mais je pense qu’il le connaissait déjà sans le savoir – car il connaissait le côté taiseux et revêche, il connaissait ces paysages sans lesquels l’œuvre de Murat ne serait pas exactement la même, il connaissait les passions solitaires, la brume sur la banne d’Ordanche, le soleil sur le lac de Servières… Il connaissait tout ça et il a connu les disques de Murat. Il ne les aime pas tous passionnément mais il en connait le moindre recoin. Dans Les Jours Du Jaguar, un livre écrit avec beaucoup de passion, ce n’est pas exactement cela qu’il voulait raconter. Il voulait raconter, je crois, la personnalité plurielle d’un artiste singulier. Ses passions, ses défauts, sa fidélité en amitié, ses tics, ses tocs, cette personnalité que d’aucuns ont eu l’audace de penser pouvoir cerner – mais c’était un luxe que seuls les siens, et très peu d’autres (le journaliste Bruno Bayon et la réalisatrice Laetitia Masson, au hasard), pouvaient en fait s’offrir.

Ce livre n’est pas un livre comme les autres – mais comment pouvait-il en être autrement lorsqu’il est question d’un artiste qui était exactement différent des autres ? Ce n’est pas une biographie, ce n’est pas (qu’)un beau livre – malgré la pléthore de photos assez folles qui l’illustrent. Imaginé par Pierre Andrieu, ce livre est un puzzle – partagé entre interviews de (très) proches et de collaborateurs (Laure DesbruèresMarie AudigierEric ReinhardtMatt LowJennifer CharlesHervé DeffontisMorgane ImbeaudFred Jimenez et tant d’autres), interviews de Murat lui-même (courant sur une vingtaine d’années) et textes au sujet des disques de chevets de l’auteur ou de thèmes récurrents dans la discographie pléthorique de l’Auvergnat… Un puzzle dont chaque chapitre est une pièce qui permet de donner une image, si ce n’est exacte, au moins un peu plus précise d’un homme qui avait en sainte horreur la banalité… À une semaine de sa sortie, Section26 présente en avant-première un extrait d’un des premiers chapitres du livre, concernant ce Best Of finalement posthume, et une partie de l’interview accordée par Bernard Lenoir, qui a accepté de sortir de son silence pour confier à quel point Murat a changé sa vie – professionnelle mais pas que –, confession somme toute pas banale de la part d’un homme qui a changé tant de vies…

 

PS:  Christophe est la 2e personne dans la liste des remerciements de Pierre en fin de livre... après Laure. 

 

LE LIEN EN PLUS 

Info donnée par Pierre sur son facebook: 

Promo sur les vinyles aux VOLCANS à Clermont, et le soir du 25 mai: 

 

 

Et je rappelle que Pierre sera aussi le 22 juin au fotomat pour une séance dédicace. 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #2023 après

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Publié le 9 Avril 2024

Raphaël est invité toute la  semaine pour parler chanson.. Aujourd'hui, c'est pour du  Jean-Louis Murat... avec  "sa" chanson "le charme"... Mais il oublie que c'est une chanson d'Alain Bonnefont!   On en a parlé en décembre dernier avec la version originale qui est celle d'Alain et une version live aux Vinzelles.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/music-co/13h56-music-co-de-raphael-du-mardi-09-avril-2024-5402027

Après sa version de "Si je devais manquer de toi", voici donc "un charme" très dépouillé et agréable. Le petit mot à la fin sur une vie consacrée à la poésie et à la chanson est très touchant. 

 

 

 

Raphaël plus que jamais se positionne en futur icone de la chanson pop de qualité en lieu des places de Christophe, Murat, Bashung. 

 

Le LIEN EN PLUS

Remix de Si je devais manquer de toi:

LE LIEN EN PLUS PLUS

Radio Qui Qu'en Grogne continue ses émissions sur Murat (Promenade en Chansons).
Encore quelques jours pour découvrir en podcast l'émission où on découvre un auvergnat d'adoption, musicien,  J. Thiébaut Urban qui a décidé de faire une thèse sur Jean-Louis Murat, qui sera dirigé par Stéphane Hirschi, éminent spécialiste de la chanson (il a déjà dirigé la thèse sur Manset)...  (29/03)

https://rqqg.fr/emission/promenade-en-chansons/

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #2023 après

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Publié le 4 Avril 2024

La Coopérative de Mai met à jour la liste des invités pour la soirée du samedi 23 mai.  

Pas de très grande surprise là encore mais des annonces sympathiques : 

 

-  JP NATAF, l'ami de Murat depuis le "Moujik et sa femme", et les années Virgin, celui qui s'est mis au  redbull/bourbon initié par JL...    PS :  Il est à Grenoble ce week-end avec Thomas Reverdy.   Il avait rendu hommage à Jean-Louis lors de son passage aux Vinzelles via sa chanson "mon ami d'en haut". 

 

-  ALEX BEAUPAIN :   Il pourra rendre visite à sa soeur qui a choisi l'Auvergne... Il avait chanté sur Inter du Murat cet été, et vous aviez été nombreux à l'allumer... mais j'avais aimé ! 

http://www.surjeanlouismurat.com/2023/08/alex-beaupain-chante-murat.html

Un petit compte-rendu de concert:

http://www.surjeanlouismurat.com/2016/07/alex-beaupain-au-vercors-music-festival.html

 

- Frederic LO... Proche de Denis qui avait tourné avec Daniel Darc.  

- Jeune pousse:  LAURA CAHEN. Je ne l'avais pas encore identifiée comme une fan... mais elle a joué en première partie de Jean-Louis à NANCY en 2011... Faut peut-être que j'enlève "jeune pousse"... 

-  Et on nous annonce aussi la participation de PASCALE CLARK...  On ne refera pas un rappel complet des épisodes (parfois compliqués...) avec Pascale, mais on peut se rappeler du concert BABEL avec les Delano  ou le "Comme on nous parle" de 2013. 

 

LA COOPÉRATIVE DE MAI | CLERMONT-FERRAND

Un an jour pour jour après la disparition de l’artiste, la Coopérative de Mai rendra hommage à Jean-Louis Murat, en compagnie d’un très beau plateau d’invité(e)s embrassant la musique, la littérature, le cinéma, tous les arts que le poète aimait tant. Sous la direction musicale de Denis Clavaizolle, , fidèle et historique collaborateur de Murat depuis plus de trente ans, de nombreux artistes de toutes générations ont rapidement confirmé leur présence : Alex Beaupain, Laura Cahen, Jeanne Cherhal, Morgane Imbeaud, Frédéric Lo, Florent Marchet, JP Nataf (des Innocents), Armelle Pioline, et bien entendu, les amis et représentants de la scène auvergnate, Alain Bonnefont, Jérôme Caillon, The Delano Orchestra et la toute jeune scène émergente clermontoise, comme PAR.SEK et Koum. Imaginée par Biscuit Production, dont les nombreuses collaborations avec Murat ont été les préludes à de belles aventures artistiques (Angèle, Jain, Vianney, Dionysos & -M- , Louise Attaque…), la scénographie mettra en lumière la participation d’invité(e)s de marque, la journaliste Pascale Clark, l’écrivain et dramaturge Eric Reinhardt, qui entretenait une correspondance avec l’artiste, et Laetitia Masson, réalisatrice de Falling in love again, documentaire sur l’enregistrement à Nashville de l’album Le cours ordinaire des choses, et dont les films empruntent systématiquement une chanson de Murat depuis deux décennies. Dans l’après-midi, en partenariat avec la librairie Les Volcans, une table ronde sera organisée autour de la publication de deux livres signés Franck Vergeade, rédacteur en chef musique aux Inrockuptibles, et Pierre Andrieu, journaliste et chroniqueur musical (Plugged, Rock&Folk, New Noise…). A cette occasion, Les Volcans présenteront une jolie collection de vinyles de Murat, ainsi que la belle réédition en tirage limité (500 ex numérotés) de Parfum d’acacia au jardin, le concert filmé par Don Kent en 2003. 20 h - Prévente : 30 € - Carte Coopé & tarif réduit : 26 € - Cité Jeune : 22 € - Soir : 33 € - Grande salle

 

Je n'avais pas identifié l'ami COCO MACE découvert en juin dernier dans la liste des invités mais il fait partie du groupe PAR.SEK. Et je peux vous dire qu'ils ont fait un choix de reprise audacieux !

 

 

Pour l'événement "Week-end Murat, yes sir!" 2024, je dois aussi vous annoncer du neuf... bientôt!  

https://www.helloasso.com/associations/banana-split/evenements/week-end-murat-yes-sir

 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #2023 après

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Publié le 28 Mars 2024

Bonjour,

La maison Le Boulon m'a permis de découvrir les deux ouvrages consacrés à Jean-Louis Murat, à paraître en avril.  Je n'ai pas pu tout lire encore, même si j'ai veillé fort tard, mais on peut déjà indiquer que nous recommandons.

 

- Les Jours du Jaguar de Pierre Andrieu.

Petite surprise très émouvante : Pierre a souhaité dédicacer le livre à Christophe Pie... et à Matthieu Guillaumond, notre M., peut-être en souvenir  d'une soirée d'anniversaire passée avec lui (43 ans de Pierre), mais plus sûrement pour son travail sur ce blog et sa passion pour la musique. Comme j'ai voulu dédier à Matthieu l'aventure "AuRA aime Murat",  je prends ceci aussi comme un salut à notre petite communauté à travers  celui qui en a été un des plus brillants représentants. 

Ce livre a bénéficié d'un soutien de la ville de Clermont-Ferrand et de la Coopé, ce qui a permis de réaliser un bel ouvrage si j'en crois son format numérique. Les photos sont nombreuses, souvent rares ou inédites (certaines signées Marco, le vieux copain de Jean-Louis),  et notre cher Sancy y est bien représenté par de très jolies photos en noir et blanc, parfois en grand format.

Il est de ces ouvrages qui n'exigent pas une lecture linéaire. On peut aller piocher et choisir son itinéraire.  Les interviews sont fort intéressantes et font tout l'intérêt du livre. Comme P. Foulhoux dans son livre sur le rock à Clermont, Pierre a choisi de gommer la forme de l'entretien, et ces textes se présentent comme des témoignages ou de la confidence introspective, ce qui est très agréable. J'ai aimé y découvrir des détails sur la vie de Jean-Louis au quotidien (au travail), sa façon d'élaborer ses disques et aussi des éléments moins publics, sur son anxiété, ses migraines et sa consommation de cannabis ou ses incartades par exemple.  C'est vraiment le premier cercle qui est interrogé mais la complexité du personnage apparait, sans complaisance évidente. Dommage qu'il nous manque le témoignage  de Bruno Bayon* avec lequel Pierre s'est pourtant entretenu, et qu'il remercie. Pour le reste,  la partie biographique est concentrée sur quelques pages pour laisser la place aux chroniques de disques, et deux articles thématiques, l'Auvergne dans les chansons, et la sexualité.  On reviendra plus en détail sur le livre ultérieurement.

A COMMANDER AVEC TOTEBAG OFFERT  : ici sur le site de l'éditeur

Séance de dédicaces :  aux Volcans, le 26 mai, avant la soirée Te garder près de nous et au Week-end Murat, le 22 juin.

 

*même si j'ai restitué ici une partie de son intervention aux obsèques. 

 

 

-  Antoine COUDER, Foule romaine

Bien qu'une coquille accompagne la présentation sur certains sites ("En 2003, l'album Lilith de Jean-Louis Murat sort. L'auteur montre à quel point la chanson "Foule romaine" est emblématique du parcours musical de l'artiste auvergnat." Rien à dire sur les deux phrases, mais il est bien sûr question du Moujik et sa femme dans le livre... et pas de Lilith),  nous allons vous le recommander aussi!

C'est un ouvrage très personnel (avec des souvenirs de l'auteur), plus littéraire, qui est loin de se concentrer sur Le Moujik et sa femme, avec des rapprochements qu'on pourra trouver osés (Souchon, "Le temps nous portera" jusqu'à Lana Del Rey), mais le cheminement un peu zigzaguant est agréable et stimulant tout en étant plutôt bien documenté. On y croise sur la fin Nicolas Comment.  Les lecteurs ne pourront pas en tout cas crier à l'opportunisme, Antoine transmet très bien son amour pour l’œuvre de Jean-Louis Murat qui est ancien comme il le raconte (ça me refait penser que je dois publier les mots d'Arnaud Cathrine parlant de la période Cheyenne autumn, le parallèle est intéressant)

Antoine Couder

EAN : 9782487270091
128 pages    12 euros
LE BOULON (18/04/2024)

On rappelle que Cédric Barré parlera également de cet album dans un livre (plus "clinique" et complet) à paraître en fin d'année.

 

- Et on termine cette grande librairie par des infos et la couverture du livre de F. Vergeade :

La photo est de Richard Dumas (Agence vu) qui avait été en couverture de Magic en 2014 (Une autre photo de cette séance là). C'est un peu moins consensuel, plus sombre que la photo solaire de Loriou (je vois des commentaires négatifs)... mais s'il est question de Lien défait,  et de l'œuvre, je trouve ça bien vu, surtout qu'il y a aussi un côté "artiste américain" qui lui va bien. 

 

Sur le site de l'éditeur, Voici ce qu'on nous en dit... avec quelques approximations dont n'est peut-être pas responsable  l'auteur ("suicidez-vous qui condamne à plusieurs années de silence" alors qu'il y a eu deux  disques en 82 et 84,   "tourner au cinéma avec Claire Denis"?):

Jean-Louis Murat, le lien défait

Description

« Fais de mon âme une branche / et de mon corps un talus » ; « Je hais pour toujours les familles » ; « J’ai un chagrin plus fort qu’une armée »… Qui pouvait écrire et chanter de tels textes, si littéraires, dans l’univers souvent frileux et simpliste de la pop française ? Une seule personne, une seule voix : Jean-Louis Murat.

Né en 1952, le chanteur compositeur a creusé un sillon unique, fait d’obsessions poétiques et cinéphiliques, de passion pour la musique américaine ; un trajet sinueux qui relie Neil Young à Baudelaire. Sa carrière ne ressemble en effet à aucune autre : il a commencé par un échec retentissant (avec le single Suicidez-vous le peuple est mort qui l’a condamné au silence pendant plusieurs années), est revenu comme « chanteur-jeune premier » à succès dix ans plus tard, avant de se lancer dans des albums de plus en plus risqués, de faire chanter Isabelle Huppert, de tourner au cinéma avec Claire Denis, de parfaire sa collection d’ennemis avec ses déclarations fracassantes sur les plateaux de télévision…

Provincial revendiqué, franc-tireur, expérimentateur musical, Jean-Louis Murat a laissé une trace indélébile dans la musique française grâce à la qualité de ses textes, un sens mélodique affûté et une façon de chanter qui n’appartenait qu’à lui.

Franck Vergeade, rédacteur en chef musique des Inrocks, retrace ce parcours hors de tous les sentiers battus. Ami de Murat, il trace un portrait humain et artistique d’une grande subtilité. Chaque chapitre part d’un titre phare ou d’un texte marquant pour faire revivre l’une des multiples facettes de l’artiste, analyse son style, ses partis-pris, décrypte sa biographie…

Un ouvrage intime et érudit qui, un an tout juste après le décès du chanteur, rappelle sa place à part mais essentielle dans la musique française.

Prix : 

21,00

Format : 15 x 21 cm

208 pages

Nombreuses illustrations

Parution : 16/05/2024

ISBN : 9782840499886

 

THE TRUC EN PLUS 

En tombant sur un tweet, j'ai décidé de postuler pour passer  à la radio. Je voulais "les jours du jaguar", mais on m'a fait 3 autres propositions, et j'ai choisi "foule romaine" pour parler des livres... mais je n'ai pas eu le temps..   France BLEU, émission décibels hier

https://www.francebleu.fr/emissions/decibels-l-emission/jocelyne-et-jean-claude-de-kassav-hommage-a-jacob-desvarieux-3945290

L'INFO OUILLE OUILLE EN PLUS

On n'a pas parlé du prix de la réédition du JARDIN D'ACACIA dans le précédent article... Ça sera 90 euros!

précommande sur le site officiel ou le site de Pias.

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #2023 après, #bibliographie

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Publié le 25 Mars 2024

Bon, on n'en a pas fini avec les objets de collection... mais ma foi, une réédition du PARFUM, qui n'était parfois pas compté dans la discographie, même si ce n'est qu'en vinyle, ça me plait!  ET on nous annonce même un inédit (peut-être une version acoustique... que l'on connait déjà). 

 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #2023 après

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Publié le 17 Mars 2024

Bon, ce n'est pas vraiment une surprise, tant Lætitia a utilisé les musiques de Jean-Louis notamment dans ses "Blow up" sur Arte, mais son Citoyens clandestins, avec comme souvent un casting xxl qui témoigne encore une fois de  son amour pour les comédiens est dédié à Jean-Louis.  Pour rappel, L.Masson est également annoncée sur la scène de la Coopérative de mai en Mai et aussi en interview dans le livre de Pierre Andrieu.

Un petit mot sur la série (en avant-première sur le site d'arte avant diffusion le 21/03) : A la suite du 11 septembre 2001, et alors qu’un groupe islamiste prépare un attentat chimique à Paris, elle nous fait suivre le parcours d’un agent infiltré dans le milieu jihadiste, d’un agent de la DGSE, les intrigues et manipulations des différents services secrets, un mercenaire employé par les services de l’Etat, un duo de journalistes à la recherche de la vérité, le tout dans un univers de violence, de cynisme, de manipulation et de faux-semblants. Assez peu de cascades, ni d'explosions, il est raconté  la force vitale de la poésie et de l’amour... et c'est pour cela que Laetitia arrive à con/é-voquer Jean-Louis dans cette oeuvre : 

1) Les épisodes  commencent par la voix de Laetitia citant une strophe différente très programmatique de "Réversibilité". Les muratiens feront le lien. On voit une vieille édition de poche  des fleurs de mal passer de main en main, la poésie de Baudelaire parcourt toute la série.

Au premier épisode:

 

Alerte spoiler  (un peu)!! Ceux qui veulent regarder la série, ne poursuivez pas!

 

 

2) Jean-Louis Murat apparaît encore explicitement au quatrième épisode, avec une scène d’amour jouée sur Bang bang de Muragostang, dont on voit la pochette du vinyle. Comme souvent, Laetitia choisit une version "live". Cette dernier volet est à la fois haletant et profondément mélancolique.

Ci-dessus : dans le générique finale (en plus du crédit de la chanson bang bang).

 

(Un grand Merci à Guillaume pour le signalement! et à tout ceux qui me font des messages par la même occasion! N'hésitez pas... aussi à faire un petit commentaire également)

LE LIEN EN PLUS

 Petit message d'Armelle Pioline,  inter-ViOUS ET MURATisé en 2011  ( à lire ici)

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Rédigé par Pierrot-Florence

Publié dans #2023 après, #cinéma

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Publié le 11 Mars 2024

Bon, j'avais une interview inédite à diffuser ce soir, mais en raison de l'actualité, ça va attendre demain.

 

- On a enfin le programme de la soirée COOPE.... 

Pas de grosses surprises (direction musicale de Denis, les proches), à moins que Laetitia Masson et Eric Reinhardt ne poussent la chansonnette. Mais leur participation et la mention d'une mise en scène par Biscuit Production laissent penser qu 'il y aura un travail de production (mise en scène) de la soirée, et pas une succession de chansons.

Billetterie à partir de mercredi. 

 

-  La participation de F. Vergeade à la table ronde de l'après-midi, ne semble plus d'actualité à ce stade mais on vient d'apprendre le nom de son livre:  "Le lien défait".... Décidément, on ne fait pas preuve de grande originalité, mais ce n'est qu'un titre (et moi, et mon "surjeanlouismurat" euh, je suis mal placé pour critiquer) 'est à paraitre chez SEGUIER, le 16/05/2024

 

- J'étais samedi au Ciel pour écouter La Féline... Et je suis très content de pouvoir vous la faire découvrir le 21/06 au fotomat. Et elle est ravie elle-aussi de revenir en terre clermontoise après l'excellente soirée aux Vinzelles. 

https://www.helloasso.com/associations/banana-split/evenements/week-end-murat-yes-sir

 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #2023 après

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Publié le 7 Mars 2024

Bonjour,

Avant une nouvelle interview inédite que je travaille, petit passage par ici:

1) Je suis désolé chers lecteurs hors-réseaux sociaux,  pour aller vite, j'ai posté directement sur fb le petit hommage à Jean-Louis Murat lors des césars... et je vous ai oublié! Merci à la personne qui m'a contacté pour me signaler l'oubli (j'aime les messages quand ils ne sont pas d'un marabout africain ou de Youssouf, l'auteur d'une bibliographie de Messi qui m'invite à lire son livre).

 

2) On n'arrête plus les projets "hommage", les livres...

Voici une nouvelle occasion d'entendre du Jean-Louis Murat au service d'une bonne cause: à BERNES (  https://www.facebook.com/nuitabernes  le 16/03)

Alors, il ne s'agit pas du  groupe clermontois Mustang, mais d'un tribute band de la Somme, qui semble plutôt rock. J'ai trouvé cette petite vidéo avec différents extraits:

 

LA CHANTEUSE EN PLUS

La suissesse MILA  a été "biberonnée à Jean-Louis Murat" nous dit l'Illustré.ch . Marc Aymon qui a enregistré avec Fred et Stéphane lui a mis le pied à l'étrier avec des premières parties. Puis, elle a travaillé avec Jérémy Kissling et actuellement avec Fréderick Jaillard (T. Dutronc).

 

"Milla découvre préadolescente la richesse de la langue française, la poésie de Prévert ou d’Aragon, les auteurs classiques tels que Maupassant, Rousseau, Balzac. «J’adorais ça, mais paradoxalement, au cycle, j’ai vécu l’enfer en cours de littérature. Tous ces livres que j’avais mis beaucoup de temps à dénicher, je me les étais appropriés et, soudain, toute la classe s’en emparait. Je l’ai vécu comme une forme d’intrusion dans ma part la plus intime et ça m’a révoltée."    

J'aime assez cette chanson, nettement moins plombée de pathos que certaines chanteuses à particule.

Ah, et voilà que je découvre cette reprise charmante:

 

PS: j'en profite pour rappeler que vous pouvez vous abonner ici aux articles afin de ne rien rater : case newsletter ici ou sur facebook: en vous abonnant sur la page Sur Jean-Louis Murat, blog non officiel

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #2023 après

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Publié le 29 Février 2024

 

Voici donc un premier visuel (artwork Esther Decluzet - La Coopérative de Mai | photo Frank Loriou) pour l'hommage à la coopérative de mai qui avait été annoncée par Marie Audigier, et ça sera le samedi 25 mai. La date était libre sur le planning. 

Il faudra attendre dans la semaine pour avoir des détails, ils attendent encore des confirmations semble-t-il).

J'espère que vous serez nombreux à pouvoir faire le voyage aux deux événements proposés à Clermont, le premier plus grand public (c'est -a-dire destiné à accueillir un public large et curieux) et notre événement annuel le 21 et 22 juin. Comme Yann Bergheaud,  Marie a annoncé sa présence au Week-end Murat.  Et il devrait y avoir d'autres surprises

 

 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #2023 après, #week-end Murat

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