Faites des rencontres : ah, l'amourat..
Publié le 21 Janvier 2010
Ce site: http://www.pointscommuns.com/ propose de faire des rencontres par affinités culturelles. Ne me dites pas ni comment, ni pourquoi... d'autant plus que je suis mal placé pour parler de ça... moi, qui suis marié à une allemande, qui n'aime pas Murat, ni Manset...
Mais soit, j'ai trouvé quelques commentaires intéressants que je vous fais partager....
L'exquis murat (écris par une personne dont le pseudo est Dehors)
catégorie : critique ou information sur l'oeuvre ou l'artiste
Alors que j’étais prête à m’enfouir sous une foultitude de tourments atroce, ou l’atroce n’est qu’une mort désiré (suicide) ou une pulsion de mort (dépression)…
Alors que je pourrissais, je découvre Murat, ce chanteur atrocement sensuel, à la voix d’une suavité exemplaire, aux rythmes chaloupés dont la voie si douce et chanterresque nous enivre…
D’abord j’étais quelques peu curieuse ayant déjà entendu une, deux trois chanson savoureuse dont l’écho m’a tout de même laissé perplexe.
En boucle pendant trois jours, une sélection de chanson d’abord énigmatique m’attirent.
Murat, dans ses textes est exquis, aussi bien avec ses mots, délivrant l’âme de l’exquisité.
Si je parle d’exquisité, c’est un peu en référence à l’extase mais encore plus.
Savoir de sorte si l’extase est plus exquise que l’exquis est extatique, enfin comme une concordance chaloupé (repetito), concordance ou correspondance résonante….
Murat n’est sans doute pas un homme de maison close comme l’était Bataille mais il est un cow boy (JEAN-LOUIS MURAT comme un cowboy à l'âme fresh ), cherchant pégase son cheval mythologique, ou l’unité se fait sans lois de limitations. Mais avec les contraintes contingentes rentrant dans la noosphère (inconscient collectif et total). Quand il dit j’ai revêtu ta chair, c’est son désir qui parait à tous les sommets. Le cow boy a ceci de particulier qu’il est farouche.
L’extase du cow boy devient donc exquise par contingence, ce n’est pas une ipséité (pouvoir de l’être seul) comme dans le rapport a un certain absolu, mais c’est une extase non ipseisante puisqu’elle rend compte d’un certain quelquonque de l’inconscient- voire même d’une noosphère, en tout cas d’un élargissement du plaisir de façon exponentielle- qui est la partie la plus diversifié et la plus mystérieuse de l’être.
Il y a donc dans l’exquis un rapport entre l’extase illimité et la tension perpétuelle entre l’ordre métaphysique. La mort des romantiques, la grande, ou alors la petite mort, celle de chaque instant qui défini l’exquis.
Si l’exquis se rapproche à la fois de l’extase et de l’ordre métaphysique c’est qu’il y a une mort comme dans les jeux surréalistes de cadavres exquis.
Ainsi j’ai revêtu ta chair devient un silence (comme chez Blanchot) et un recommencement de ce même silence qui atteint une fin, c’est la dégustation.
Comme l’épreuve de la religiosité, on retrouve des thèmes récurrents, la sensualité puis la jouissance de chaque chose autour (Murat en plein air - Dordogne ).
Le religieux prend en compte les choses récurrentes, se laisser transporter par l’adoration par exemple, mais il y d’autres récurrences qui en découlent.
On peut se laisser transporter par le spirituel ou le plaisir, mais il n’y a pas de choix à faire. Car si le spirituel peut être le plaisir et vive versa, le temps exige que l’on se détache parfois de l’un ou de l’autre pour découvrir le nécessaire (le nécessaire, le véritable néant qui en découle et dont je parlais en introduction).
L’angoisse de ce néant qui est la part morte du cadavre exquis car il y a coupure, l’angoisse est la partie coupante de la limite, comme le cadre par exemple d’où s’extirpe le fabuleux ou la fabulation.
L’exquis est donc ce qui nous traverse dans la métaphysique, aux origines des interrogations qui sortent de l’angoisse, et vers l’absolu extatique qui abreuve l’idée du summum.
Le cow boy est donc un farouche existentiel qui ne se laisse trahir par aucun moment (à débattre).
...Moi, si j'étais célibataire, avec un peu d'ipséité dans la noosphère à moi, je m'inscrirais aussi sec... !! Euh... non... peut-être pas... une thèseuse... intelligente en plus. Je me demande même si elle ne ferait pas mieux de parler d'autres choses si elle cherche un ami!
Enfin voilà... j'espère lui avoir fait un peu de publicité.
Alors que je pourrissais, je découvre Murat, ce chanteur atrocement sensuel, à la voix d’une suavité exemplaire, aux rythmes chaloupés dont la voie si douce et chanterresque nous enivre…
D’abord j’étais quelques peu curieuse ayant déjà entendu une, deux trois chanson savoureuse dont l’écho m’a tout de même laissé perplexe.
En boucle pendant trois jours, une sélection de chanson d’abord énigmatique m’attirent.
Murat, dans ses textes est exquis, aussi bien avec ses mots, délivrant l’âme de l’exquisité.
Si je parle d’exquisité, c’est un peu en référence à l’extase mais encore plus.
Savoir de sorte si l’extase est plus exquise que l’exquis est extatique, enfin comme une concordance chaloupé (repetito), concordance ou correspondance résonante….
Murat n’est sans doute pas un homme de maison close comme l’était Bataille mais il est un cow boy (JEAN-LOUIS MURAT comme un cowboy à l'âme fresh ), cherchant pégase son cheval mythologique, ou l’unité se fait sans lois de limitations. Mais avec les contraintes contingentes rentrant dans la noosphère (inconscient collectif et total). Quand il dit j’ai revêtu ta chair, c’est son désir qui parait à tous les sommets. Le cow boy a ceci de particulier qu’il est farouche.
L’extase du cow boy devient donc exquise par contingence, ce n’est pas une ipséité (pouvoir de l’être seul) comme dans le rapport a un certain absolu, mais c’est une extase non ipseisante puisqu’elle rend compte d’un certain quelquonque de l’inconscient- voire même d’une noosphère, en tout cas d’un élargissement du plaisir de façon exponentielle- qui est la partie la plus diversifié et la plus mystérieuse de l’être.
Il y a donc dans l’exquis un rapport entre l’extase illimité et la tension perpétuelle entre l’ordre métaphysique. La mort des romantiques, la grande, ou alors la petite mort, celle de chaque instant qui défini l’exquis.
Si l’exquis se rapproche à la fois de l’extase et de l’ordre métaphysique c’est qu’il y a une mort comme dans les jeux surréalistes de cadavres exquis.
Ainsi j’ai revêtu ta chair devient un silence (comme chez Blanchot) et un recommencement de ce même silence qui atteint une fin, c’est la dégustation.
Comme l’épreuve de la religiosité, on retrouve des thèmes récurrents, la sensualité puis la jouissance de chaque chose autour (Murat en plein air - Dordogne ).
Le religieux prend en compte les choses récurrentes, se laisser transporter par l’adoration par exemple, mais il y d’autres récurrences qui en découlent.
On peut se laisser transporter par le spirituel ou le plaisir, mais il n’y a pas de choix à faire. Car si le spirituel peut être le plaisir et vive versa, le temps exige que l’on se détache parfois de l’un ou de l’autre pour découvrir le nécessaire (le nécessaire, le véritable néant qui en découle et dont je parlais en introduction).
L’angoisse de ce néant qui est la part morte du cadavre exquis car il y a coupure, l’angoisse est la partie coupante de la limite, comme le cadre par exemple d’où s’extirpe le fabuleux ou la fabulation.
L’exquis est donc ce qui nous traverse dans la métaphysique, aux origines des interrogations qui sortent de l’angoisse, et vers l’absolu extatique qui abreuve l’idée du summum.
Le cow boy est donc un farouche existentiel qui ne se laisse trahir par aucun moment (à débattre).
...Moi, si j'étais célibataire, avec un peu d'ipséité dans la noosphère à moi, je m'inscrirais aussi sec... !! Euh... non... peut-être pas... une thèseuse... intelligente en plus. Je me demande même si elle ne ferait pas mieux de parler d'autres choses si elle cherche un ami!

Enfin voilà... j'espère lui avoir fait un peu de publicité.