Publié le 18 Septembre 2010

 

Pour moi, au départ, c'était le prénom scandé dans "c'est l'âme qu'on nous arrache"  dans l'album Lilith... ainsi qu'un film avec Whoopi Goldberg... que je n'ai pas vu.... sans que je fasse vraiment le rapport entre les deux.

 

C'est vrai que le texte (ci-dessous) ne permet pas de deviner une quelconque piste...  J'y voyais juste l'évocation d'une évolution du monde qui nous "arrache l'âme",  mais pourquoi donc choisir ce prénom?

 

C'est Murat qui m'a donné un élément à la fin du concert solo à Bourgoin...  : Taj Mahal... 

 

Et je suis tombé sur cette chanson:

 

 

 

 Et puis... finalement, j'ai trouvé  des centaines de version  : Cab Calloway, Bing Crosby,Bill Haley, Jerry lee Lewis, Marianne Faithful, Eric Clapton.....).   "Corrina corrina" est donc une chanson très connue aux Etats-unis.

A partir des années 30, elle n'a pas cessé d'être reprise, d'évoluer.... Au départ, on trouve une chanson  "Has Anybody Seen My Corinne" qui mettra 10 ans à prendre une forme définitive (1928).... jusqu'à ce que  Dylan (dans son 2e disque où il puisait dans le répertoire folk)  et  Taj Mahal  réécrivent des versions différentes: So Bob Dylan's version is included, even though he changed the melody and most of the lyrics. Taj Mahal's version is not included because he does not included any of the original lyrics, and Corrina is hardly even mentioned in the song

 

Tout  est contée ici: http://www.panhandlecountry.com/cc/cchome.html  et là:

http://hummingadifferenttune.blogspot.com/2009/04/roots-of-bob-dylan-corrina-corrina.html

Sur ce dernier site, on peut écouter les différentes versions originales...

 

 On pourra ainsi distinguer dans les reprises (qu'elles soient folk, rock, blues...) s'il s'agit de la chanson "traditionnelle", celle de Bob ou celle du Taj. Comme on peut le lire sur le dernier site indiqué, Dylan a en fait inclus dans sa version des vers de Robert Johnson... un pionnier du blues (pour faire un rappel de l'article précédent :   C'est une des références de Christophe et de JLM  :  «Le sommet, c'est le jazz, le blues et le rock, Robert Johnson, Bob Dylan et les Rolling Stones" disait Jean-Louis dans le Figaro).

 

Labels diffusait le texte suivant en 2003 : (extrait)

 Car si Jean-Louis Murat, presque malgré lui, poursuit une quête solitaire, c’est bien celle de faire exister un langage rock hexagonal littéraire, à l’instar de celui qui irrigue, le plus naturellement du monde, les textes des plus grands auteurs anglo-saxons. "John Lee Hooker et Rimbaud, c’est pareil, Whitman et Dylan aussi, pourquoi n’en serait-il pas de même ici ?" Car si un titre, C’est l’Ame qu’on nous arrache, invoque une certaine Corina en hommage à John Lee Hooker, c’est la prose fragile, féminine et naturaliste (opposée au "style macho" de Dylan) de Neil Young, encore lui, qui inspire Jean-Louis lorsqu’il nourrit ses textes d’un vocabulaire et de références puisés dans toutes les époques, toutes les sphères de la langue française

 

En fait, en plus de la faute d'orthographe,  il n'existe pas semble-t-il de version de la chanson par J. Lee Hooker -( !!!).

 

Il y a quelques temps, dans une émission de radio me semble-t-il Jean-Louis Murat disait (à peu près) : "j'aurais adoré avoir une petite amie qui s'appelle Corrina"... et ainsi l'appeler "corrina! corrina!".  Il s'est donc fait un grand plaisir dans cette chanson...  Plaisir que je partage un peu tous les jours... puisque j'ai appelé ma fille ainsi.... avec un seul R... pour faire original....

 

 

C'est l'âme qu'on nous arrache

 

Le mal que fait le bon

Le mal que fait le beau

Et voilà pour les amants

Tout un art du chaos

 

Corina...

C'est plus le coeur que je sache

Non, c'est l'âme

Qu'on nous arrache

 

Nous ont tué la grive

Nous ont pris le renard

Et ces cons jour et nuit

Matent les funérailles de ça

 

Corina...

C'est plus le coeur que je sache

Non, c'est l'âme

Qu'on nous arrache

 

Nous aurons pris le style

A nul autre pareil

Et nous voilà stupides

Soudain privés de nos pieds

 

Corina...

C'est plus le coeur que je sache

Non, c'est l'âme

Qu'on nous arrache

 

Fini le temps du sexe

Pour se soigner la voix

Nous ont pris l'épervier

L'ont transformé en proie

 

Corina...

C'est plus le coeur que je sache

Non, c'est l'âme

Qu'on nous arrache

 

Enflammé le bivouac

Nous ont violé la joie

Et chacun dans son enclos

Bouffe de cette merde là

 

Corina...

C'est plus le coeur que je sache

Non, c'est l'âme

Qu'on nous arrache

 

M'ont fait en jerricane

A ce que je peux en voir

Un engin de chauffage

Je peux plus supporter ça

 

Corina...

C'est plus le coeur que je sache

Non, c'est l'âme

Qu'on nous arrache





- version mashpotatoes... ou bien:

 

 

 

Muddy Waters...

 
Steppenwolf (version dylan et certains accords en plus qui me font pense à une chanson ultra-connue mais laquelle?)... ah, oui, une chanson d'ELVIS!   Suspicious Mind!!!   (je me suis creusé la tête et internet aussi!)
 
très  classiquement par les ANIMALS:
 
 Dylan live:
 
 
 

 

 jerry lee lewis:
 
Bon, ça pourrait continuer comme ça longtemps... alors... je ne vais pas vous infliger ma collection complète!! A+

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #divers- liens-autres

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Publié le 18 Septembre 2010

 

 

 

Voilà plusieurs semaines que je voyais les deux noms associés mais je pensais que le Palais des Festivals de Cannes les avait programmé au cours de la saison... mais non, ils se partagent l'affiche le 23 septembre pour la reprise automnale de la tournée de Jean-Louis. 

 

On n'a pas beaucoup vu et entendu les fans du sud s'enthousiasmer de cette nouvelle... et il reste des places!!! Pourtant,  l'affiche est belle et  les muratiens ont généralement beaucoup aimé les derniers albums de Christophe. Une occasion unique de voir quasiment les deux derniers des Mohicans du pop rock français... en une soirée... même si je ne pense pas qu'on puisse imaginer un duo improvisé au cours de la soirée...

 

J'aime toujours beaucoup cherché les connexions entre les artistes, et là,  elles ne me sautent pas aux yeux ou ne jaillissent pas de ma mémoire (pas d'amitié connue, de collaborations ou d'interviews croisés je pense)... faut dire que je ne connais pas bien l'idole des sixties (ma collection s'arrête à deux 45T d'"Aline"). Peut-être que vous m'aiderez à en trouver d'autres.

 

Je pense d'abord à ce qui les oppose :  Christophe vit la nuit urbaine en solitaire, Jean-Louis dit qu'il se lève tôt, entouré de pitiou et de sa famelhà  ... l'un est auteur, l'autre pas trop....   mais ils sauront de quoi parler dans les loges : de la musique américaine, de  Johnny Lee H. ou de très obscurs chanteurs de blues,   le son d'un vieille ampli  et le cinéma... moins surement d'Alan Vega qu'adore Christophe et encore moins de leur image passée de chanteurs pour minettes... avec laquelle Christophe a eu tant de mal... même si c'était finalement pour y revenir avec succès fous... un come back dans le coeur des filles en fleurs que ne réalisera pas sans doute Jean-Louis Murat. 

 

J'avais déjà rappelé la relation commune avec Marie MÖÖR (un album produit pour l'un, des textes pour l'autre... vous en appprendrez plus   )  mais pour le reste, je dois plonger dans l'internet...   personne ne choisirait de s'appeler "christophe" désormais car ça rend les recherches sur le net difficile!!! On tombe sur Christophe Pie et Christophe Dupouy,  et mentionner  Bevilacqua ne rime pas à grand chose... 

 

Enfin soit....

 

-   William, un blogueur avait trouvé un lien musical entre les deux sur le CODC :

J'ai pensé (sans trop savoir pourquoi) à Christophe, sur certains titres, sûrement cette capacité à construire un univers onirique en trois minutes, univers qu'on quitte à regret quand la chanson s'arrête. Certains morceaux sont sublimes. C'est vrai.

 

Les deux chanteurs ont eu leur période "machines", ont creusé la voie du synthétique,  pour finalement revenir à des instrumentations plus classiques... mais Christophe est plus perfectionniste et construit laborieusement ses architectures sonores durant des mois... ce qui n'est pas la priorité de Murat.

 

- Pour Murat, "muira" est une chanson, mais pour Christophe, c'est sa voiture préférée... une lamborghini

 

- Ensuite, on en revient toujours là: c'est leur particularisme dans la chanson française qui les rapproche...  leur univers unique... et leur voix:

 

Tous les chanteurs français "importants" ont quelque chose de particulier dans leur diction, que ce soit Gainsbourg qui a anglicisé le français, ou Bashung ou Christophe, qui ont apporté leurs singularités à la langue. Toi, tu as aussi cette particularité dans ta diction ?

Je viens de l'Auvergne profonde, donc j'ai l'accent auvergnat, cet accent un peu traînant, avec des "o" ouverts. Et puis je viens d'un milieu très populaire, j'ai été élevé par des gens qui parlaient patois. Je ne dirais pas que le français est une langue étrangère, mais j'ai été très traumatisé, au début de ma carrière lorsque je montais à Paris, par les gens qui se moquaient de mon accent auvergnat. Ca me terrifiait. J'ai toujours ressenti l'oppression de l'accent. Quand tu as un accent franc, comme celui de Toulouse ou de Marseille, les Parisiens trouvent ça adorable, mais l'accent auvergnat, ça les fait marrer. Et quand je suis sur scène, que je me laisse un peu aller, l'accent est encore plus marqué. Quand j'ai joué à Clermont-Ferrand, les musiciens m'ont dit : "C'est incroyable, on ne t'a jamais autant entendu chanter avec l'accent auvergnat". Et dans la salle, il y avait des auvergnats partout, des gens que je connaissais, et j'entendais tout le monde parler avec l'accent auvergnat… http://www.chronicart.com/webmag/article.php?id=1060

 

 

  -  Allez quelques infos sur le concert:

 

http://www.cote.azur.fr/actualites/info_spectacles-musicaux_musique-de-variete_580021.htm :

Quand "le cours ordinaire des choses" passe par Nashville.
Au début de 2009, Jean-Louis Murat sortait un album enregistré entièrement à Nashville, citadelle de la country américaine. Paradoxe, puisque de son propre aveu, ce genre musical ne lui parle guère ; évidence, car cette ville, une des capitales mondiales de la musique et vivier de talents musicaux, l'attirait depuis longtemps.
Seulement voilà, à créer les morceaux du Cours ordinaire des choses avec quelques-uns des meilleurs "studios sharks" de la planète, comment ensuite les interpréter en concert sans les dénaturer ? Rançon de la réussite, Jean-Louis Murat aura donc mis quelques mois à trouver les bons musiciens pour défendre avec bonheur des chansons qui, si elles se parent des couleurs du Sud profond, n'en restent pas moins "quintessentiellement" muratiennes.

La première partie de cette dernière phrase est plutôt discutable....

 

 

http://www.cannes.maville.com/actu/actudet_--Les-Concerts-de-septembre-font-le-grand-ecart-artistique-_loc-1514770_actu.Htm

  Le lendemain, le Grand auditorium accueille les deux bardes de la chanson française : Christophe et Jean-Louis Murat. Pour moi, c'est tout simplement ce qui se fait de mieux dans l'Hexagone

 

 

- http://www.palaisdesfestivals.com/article.php3?id_article=5504

  Il reste encore des places.

 

1re Série Orchestre
Tarif Public : 28 € - Tarif Réduit : 24 €
Tarif Abonné : 22 €

2e Série Balcon
Tarif Public : 24 € - Tarif Réduit : 20 €

Tarif -25 ans : 12€
Tarif enfant -de 10 ans : 10 €          Les jeunes de Cannes ont de la chance... hein? Ah, oui.... il n'y a pas de jeunes à Cannes...  Jean-Louis recyclera la phrase de John L. : "agitez vos bijoux"... et ne perdez pas votre dentier...

 

- http://www.pressealpesmaritimes.com/?p=6503

Jeudi 23 septembre

Jean-Louis Murat nous fait découvrir « Le cours ordinaire des choses », album enregistré à Nashville et

sorti le 21 septembre 2009. Un disque, malgré son titre, peu ordinaire et résolument à part dans l’oeuvre de

l’artiste. Depuis le 10 juin, Jean-Louis Murat est de retour sur scène avec Stéphane Reynaud à la batterie,

Fred Jimenez à la basse et Denis Clavaizolle aux claviers.

En 2008 Christophe sort un album remarqué « Aimer ce que nous sommes », réalisé avec Christophe VAN

HUFFEL (Tanger) et mixé par Paul ‘P-DUB’ WALTON (Bjork, The Cure). Promenades aux accents flamenco,

réminiscences 70, beat électro, éclectique comme jamais, Christophe signe un disque unique, pour, qui sait,

entrer dans son univers. « Légende vivante ? L’hyperactif Christophe est plus que ça : esthète romantique,

rockeur mystérieux, excentrique célébré, il a traversé cinquante ans de musiques populaires tout en restant

insaisissable. » (Musique – par Benoît Sabatier)

 

- http://www.nouvelle-vague.com/concerts_a_venir.php

La chanson française continuera à être à l’honneur le 23 septembre avec deux grandes figures que sont Jean-Louis Murat et Christophe. Jean Louis Murat qui affiche au compteur 30 années de carrière est un cas à part dans le paysage musical français. Artiste énigmatique, ancré dans ses montagnes natales du Massif central, Jean-Louis Murat a un parcours intense dont ses chansons se font l’écho. Il est un chanteur-auteur-compositeur admiré et respecté Sa musique est en perpétuelle évolution tantôt pop aux arrangements synthétiques, tantôt folk-rock à la française, tantôt plus atmosphériques avec toujours des nappes synthétiques. Parfois teintée de jazz, de soul, de rock et même de musique baroque, il propose une palette multiple dont l’originalité est toujours mise en avant. Jean Louis Murat, créateur unique qui apparaît toujours là ou on ne l’attend pas, est devenu au fil des ans un artiste culte de la chanson française. Autre figure mythique, Christophe qui, depuis le milieu des années 60, a tout traversé : le rock’n’roll, l’electro, la chanson. Après avoir été un fer de lance de la variété française et chanté des succès comme Aline, Les mots bleus ou le Dernier des Bevilacqua, il disparaît au début des années quatre vingt. Il revient en 1996 avec un album Bevilaqua annonçant un renouveau qui se confirmera en 2001 et 2008 avec les chefs d’œuvre que sont « Comme si la terre penchait » en 2001 et « Aimer ce que nous sommes » de 2008. Ces trois opus, ancrés solidement dans la modernité, confirmeront le génie de leur auteur qui s’éloigne de la variété française et fuit les balises couplets-refrain pour créer un nouvel univers musical totalement personnel dans lequel les synthétiseurs ont le premier rôle Ses apparitions scéniques sont toujours des évènements dans lesquels son sens de la poésie, du mystère et des ambiances musicales inédites font merveille.Raymond Sérini

 

LE LIEN EN PLUS:

 

Un petit clin d'oeil:

http://www.fredmagnus.com/Christophe.htm

 

 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo- 2010-aout 2011

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Publié le 15 Septembre 2010

C'est un des rares articles de la promo du CODC que je n'avais pas eu et mis en ligne... Le voilà.. Paru dans "3 couleurs", belle revue de MK2, N°76 novembre 2009.

 

Désolé pour ceux qui ont des yeux défaillants! Prenez une loupe! 

 

 

couv-3couleurs.jpg

 

 

1troiscouleurs.jpg

 

2-trois-couleurs.jpg

 

 

EDIT:  A LIRE  http://www.surjeanlouismurat.com/2015/03/des-nouvelles-de-silvain-vanot-live-report-et-interview-inedite.html

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo- 2010-aout 2011

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Publié le 15 Septembre 2010

 

Après Strasbourg, Nancy, Renaud Fely  était à Metz... mais j''apprends dans l'article qu'il y avait une avant-première à Annecy!  Grrr... Moi qui avait tenté de me faire inviter quelque part, on m'a dit qu'il n'y avait rien de prévu dans mon coin! Annecy, c'est à une heure!!!  Tant pis, je ne ferai plus la promotion de ce film pendant.... une ligne...  mais quoi dire alors? En une ligne... pas si facile... surtout que Murat ne reprend sa tournée que dans quelques jours et  qu'après tout

la ligne est passée... revenons-en à Pauline et François:

 

 

1)  un premier article là:

http://www.lasemaine.fr/2010/09/13/pauline-et-francois--les-yeux-de-renaud-fely-pour-laura-smet

 

 Sortie cinéma à Metz et Nancy
“Pauline et François” : Les yeux de Renaud Fély pour Laura Smet

Par Fernand-Joseph MEYER • Correspondant LS • 15/09/2010 à 15h49

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On n’en dira pas plus. Renaud Fély ne tarit pas d’éloges sur Laura Smet, interprète principale de son premier long-métrage qu’il présente en avant-première dans plusieurs villes. Après Strasbourg, Nancy, juste avant Lille et Annecy, Renaud Fély s’est arrêté au cinéma Caméo-Ariel de Metz dans le cadre de l’opération Ciné-Cool.

Très jeune quadragénaire, Renaud Fély travaille dans le cinéma depuis plus de 20 ans. Plein de boulots avec le statut d’intermittent du spectacle après l’INSAS, l’école de cinéma de Bruxelles. Deux courts métrages, un moyen à son actif. De l’écriture de scénario. De l’assistanat auprès de cinéastes qui n’ont pas pu ne pas l’influencer : Maurice Pialat (« Van Gogh »), Jacques Doillon, Alain Guiraudie et surtout Pascale Ferran. Avec elle, il a été à la fois repéreur et réalisateur de deuxième équipe pour « Lady Chatterley », le film-événement de 2006. La recherche de sites et de lieux a sans doute donné des idées à Renaud Fély pour « Pauline et François ». Le scénario, déjà en écriture avancée, s’est enraciné en province, côté campagne. « Je suis né à Limoges, j’ai vécu à Paris puis huit années en campagne profonde, sur le plateau de Millevaches. » Au départ, Renaud Fély a une idée en tête, faire un film avec « quelqu’un qui n’est pas de la ville ». Quand il a réussi à faire lire son scénario à Laura Smet, la rencontre qui s’ensuivit, a été « facile, foudroyante ». Elle a donné très vite son accord. Renaud Fély tourne essentiellement en Corrèze. Laura Smet a vécu son enfance dans la Creuse voisine auprès de Nathalie Baye, sa mère.
Renaud Fély est plus qu’ébloui par Laura Smet. Récemment, dans « Insoupçonnable », un film beaucoup moins abouti que « Pauline et François », l’actrice l’a démontré, d’elle émane l’aura de ces actrices dont le moindre geste, le moindre regard est un trouble sans nom. Pour Renaud Fély, Laura Smet, « c’est le mouvement perpétuel, la parole, la pensée, un déséquilibre formidable et fertile qui ne tend que vers la vie, l’incertain et le fragile ».
Le personnage de Pauline  est ainsi, comme une éponge qui recueille les aspérités, les douleurs, les contrariétés, les fulgurances d’un monde en mouvement. Tout le film tend vers cette plénitude : aller de l’avant, dépasser les atavismes d’ordre familial et les petits désordres économiques, avantager la bonté. Renaud Fély y tient : « La bonté, ça n’est pas une valeur en baisse, le film pose la question de la bonté, Pauline et François abandonnent leur méfiance pour aller vers la confiance et le respect. » Le film fonctionne ainsi. Il est nourri de cette simplicité qui compose avec toutes les complexités, les jalousies, les frustrations, les mesquineries. La déjà fameuse séquence du brame du cerf condense le propos de Renaud Fély, elle nous fait goûter ce qui trame la vie réelle, les fulgurances et ces petits moments arrachés à la durée.

 

 

2)  Sur le site toutlecine.com.... une belle critique

Par Céline Duong (15/09/2010 à 18h10) qui évoque une partition habitée de Jean-Louis Murat

http://www.toutlecine.com/cinema/l-actu-cinema/0001/00018188-critique-pauline-et-francois-de-renaud-fely.html

 

Critique - Pauline et François de Renaud Fely

Assistant réalisateur chez Pascale Ferran et lauréat des ateliers Emergence, Renaud Fely puise dans la nature corrézienne la source d'inspiration poétique de son premier film sobrement intitulé Pauline et François. Sous ce titre évoquant pudeur et délicatesse se cache une belle ode humaniste, célébrée par la partition habitée de Jean-Louis Murat.

 

Pauline et François

Famille, je vous aime

Avant Pauline, il y avait François, jeune homme issu d'une famille de paysans traînant derrière lui un lourd fardeau dont il n'arrive pas à se défaire. De cette culpabilité, ses proches s'accommodent fort bien, abusant de son caractère conciliant ou l'infantilisant, car dans cette fratrie ordinaire où l'on est couvreur de père en fils, chacun préfère pérenniser les habitudes détestables, l'irrespect de soi et des autres par impuissance ou peur du conflit.

 

Il y a un peu du drame familial classique dans Pauline et François avec cette séquence de dîner aux allures de cène où l'on se cache derrière l'ironie des propos pour asséner une vérité parfois cruelle. Le quotidien immuable de cette famille usée ne tardera pas à être bousculée par l'arrivée dans le voisinage de Pauline, dont l'âme pleine de bleus fera, de manière évidente, écho aux misères sourdes de François.

Cette rencontre inévitable est une remise en vie, initiant une nouvelle donne qui vient perturber les relations établies. L'arrivée de Pauline est une libération pour François qui s'affranchit peu à peu de son silence.

 

Pauline et François

Une ode humaniste

Si Pauline et François conte une rencontre sentimentale, son sujet véritable se concentre davantage sur la force que chacun des protagonistes en retire, comment cette histoire les affranchit. On assiste tout au long du film à la transformation de ces deux individus minés par la vie, qui vont se libérer de leurs peurs pour mieux vivre, plus pleinement, plus humainement aussi.

N'abordant pas directement la religion, le film en croise cependant les grandes thématiques sur le bien et le mal, deux contraires entre lesquels l'homme vacille, en équilibre fragile sur un fil. A la tentation, représentée par l'argent, les valeurs matérielles auxquelles l'entourage de François se soumet, ce dernier oppose sa logique de la gratuité, tend l'autre joue aux railleries dont il est victime.

Ce personnage christique, porté par la douceur et la force tranquille de Yannick Renier, fait le pari de l'espérance contre les valeurs sclérosées d'un monde soumis aux dictats de la richesse matérielle et du pouvoir d'achat.

 

Pauline et François

Voyage sensoriel

Film au thème naturaliste, Pauline et François croise le mondes des hommes, en mouvement permanent et marqué par la finitude, et celui de la nature, immuable, impérial et mystique, et en montre l'interaction conflictuelle ou fusionnelle. Différent selon chaque personnage, le rapport à la nature est tantôt hostile, tantôt vital et spirituel.

Pauline et François, eux, y puisent le ressourcement, magnifiquement illustré dans la scène du brame du cerf, mystérieuse et sauvage, où l'intensité des émotions qui les étreint les affranchit. Personnage à part entière du film, Dame nature est omniprésente, dans ces arrière-plans impressionnistes, dans ces ciels crépusculaires, dans la fraîcheur de l'aube ou les tonalités automnales des feuillages.

 

Par ces allers-retours entre la nature et les hommes qu'accompagne la musique habitée de Jean-Louis Murat, dont les morceaux gravitent autour du sentiment et du sensible, Renaud Fely nous emmène dans un voyage sensoriel et humaniste sur la nature et les hommes, racontant leurs bassesses, leurs peurs comme leur désir de dépassement.

 

Un film à la forme simple et réaliste, mais qui ne manquera pas de séduire par ce rapport de poète qu'entretient son auteur à la nature.

 

 

 

3)  Interview de 5 minutes de l'équipe du film : http://player.canalplus.fr/#/372209
On y entend rien de vraiment neuf... et pas parler de Murat.

 

 

4)  Enfin, petit info amusante:  "Haut et Court"   que je ne connaissais pas avant ce film sont aussi ceux qui vont produire le film  "Frère animal" de Marchet et Caterine... C'est Florent Marchet lui même qui interprétera celui qu'il incarne déjà sur scène depuis deux ans... et encore en 2011.  Je vous encourage d'aller voir "Frère animal" sur scène avant de le découvrir en film... J'adore les comédies musicales! J'espère qu'on y verra Florent faire des claquettes....
Sur Marchet, suivez la série "making off" sur Courchevel: http://www.longueurdondes.com/2010/09/14/10-fois-florent-marchet-n%C2%B02/

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #cinéma

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Publié le 12 Septembre 2010

 

Emmené sur youtube par "comme un guerrier",  autre grand titre de GERARD MANSET,  je me suis laissé entrainer à écouter "Matrice".    C'était un  moment approprié, et ça m'a emporté comme il y a pas loin de 20 ans... enfin, si, 20 ans... Et j'ai dansé comme un dératé... sauf que j'ai emmené dans mes tours mon petit bouchon, et qu'on a bien rigolé...  A l'époque, je mettais ça dès que j'étais seul dans la maison, poussant les enceintes à fond, et je faisais l'angus young, le Mathias Malzieu autour de la table à manger...  Oui, sur du MANSET!!!   Et naturellement tout seul, j'ai trouvé personne pour partager mon goût.

 

Ah, Matrice... A la sortie de l'album, j'ai lu un peu des articles dans TELERAMA, mais il ne me disait rien... et j'ai entendu cette voix...  Oui, cette voix, je la connaissais   je l'avais inscrit dans mon cortex (ou mon hyppocampe) sans doute à 4 ou 5 ans quand "il voyage en solitaire" était dans toutes les têtes...

J'ai eu la chance de trouver le LP d'occasion rue d'algérie à Lyon, 60 francs... et l'aventure a commencé... collectionnite compris.

 

"Matrice" .... Ca commence par quelques notes de guitare... et une prière... et des mots qui sonnent... A l'iris délétère... je ne sais toujours pas ce que ça veut dire... mais je préfère le mystère....

 

Les enfants du paradis
Sont les enfants sur terre
Alignés comme radis
Contre leur mère

Les enfants du paradis
Sont les enfants sur terre
Aux paupières arrondies
A l'iris délétère

L'iris délétère

 

C'est une intro calme, mais sous tension, d'ailleurs, la guitare s'accélère, la voix s'affirme... Puis, c'est rapidement le déchainement.... Déjà, un petit saxo perce...

 

Ils sont venus sur terre
Sans rien demander
Comme une pluie d'hiver
Sur une ville inondée

Est-ce pour nous aider
A supporter la peur du noir
Le tremblement de nos mémoires
Le choc de nos machoires ?

 

Et c'est le refrain...  J'adore la richesse de l'orchestration et le piano, la guitare et le saxo qui se croisent et se percutent... et la voix qui a dû mal à suivre les mots (Que nager dans le grand liquide
Comme un tétard aux yeux vides... )...

 

J'entends que ces guitares sont désuètes, que le saxo est ringard... mais c'est tout comme moi, faut croire...  La fin du texte est noire...  certaines rimes peut-être un peu facile... mais la partie instrumentale est d'une énergie qui m'a toujours conquise... Manset ose, comme aux plus belles heures de 2870... lacher les vannes, libérer les guitares et les claviers...  et comme on le dira dans quelques temps  sur ce blog, je pense que Murat pourrait creuser cette veine-là... comme pouvait l'esquisser le CODC d'ailleurs et comme on le voit parfois sur scène... 

 

 

Je vous ai mis le clip officiel en bas, mais le son de la vidéo ci-dessous est nettement meilleure:

 

 

 

 

 clip officiel:

 

 

MATRICE 

 

Les enfants du paradis
Sont les enfants sur terre
Alignés comme radis
Contre leur mère

Les enfants du paradis
Sont les enfants sur terre
Aux paupières arrondies
A l'iris délétère

L'iris délétère

Ils sont venus sur terre
Sans rien demander
Comme une pluie d'hiver
Sur une ville inondée

Est-ce pour nous aider
A supporter la peur du noir
Le tremblement de nos mémoires
Le choc de nos machoires ?

Renvoyez-nous d'où on vient
D'où on est né d'où on se souvient
Des perles de tendresse
Sanglots de l'ivresse

Renvoyez-nous d'où on vient
Sans le moindre mal vous le savez bien
Qu'on n'a pas vraiment grandi
Le sang nous frappe les tempes

Matrice tu m'as fait
Dans son lit défait
Matrice tu m'as fait
Mal... le mal est fait

Matrice

Renvoyez-nous d'où on vient
Par le même canal le même chemin
De l'éternelle douleur
De la vallée des pleurs

Renvoyez-nous pour notre bien
On n'en veut pas plus on demande rien
Que nager dans le grand liquide
Comme un tétard aux yeux vides

Matrice tu m'as fait
Dans un moule parfait
Matrice tu m'as fait
Mal... le mal est fait

Matrice

Matrice tout compte fait
Tu sais le monde est tout fait
Plus tu vas vers l'infini
Plus tu sais que c'est fini

Matrice tu m'as fait
Mal... le mal est fait
Plus tu vas vers l'infini
Plus tu sais que c'est fini

Matrice...
Matrice...
Matrice...
Matrice tu m'as...
(ad libitum)

 

 

LE LIEN EN PLUS:

Sur le site de OUEST FRANCE,  je lis que Linda LEMAY aurait fait 13 albums en 20 ans... et  "dans la francophonie, même un Jean-Louis Murat n'a pas fait mieux"....  Excusez-moi là de me permettre de m'autoriser de m'insurger! et de m'insurger en faux!  EEEEEH! JE M'INSURGE! Si on lui retire même le titre du plus gros "producteur" de LP de France, ça va plus... qu'est-ce qu'il va lui rester!  Et puis, dans Ouest-france,  sa prestation à Alençon avait déjà donné lieu à une brève inamicale...

 

 On ne pouvait laisser de commentaire sur le site... mais j'ai fait un message au journaliste via FB... après une vérification sur Le LIEN DEFAIT... où j'ai d'ailleurs constaté qu'il manque quand même dans la discographie  Murat en plein air, Le parfum et Mlle Personne...  j'ai compté 21 disques ou VHS... et rien en vue en 2010...2011.... Mince, Murat! Ta productivité!  Tu ne vas faire des chansons que pour Bayon!!  ; .)

 

http://www.ouest-france.fr/actu/disques_detail_-Lynda-Lemay-sort-un-13e-CD-en-20-ans-_3724-1508019_actu.Htm

 

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Rédigé par Pierrot

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Publié le 10 Septembre 2010

 

On la trouve sur le site Forces Parallèles-chroniques éclectiques   http://fp.nightfall.fr/index.php

 

 

http://fp.nightfall.fr/index.php?idchoix=2725

par Monsieur N!

 

Le voilà le 138ème album de l’auvergnat le plus méchant après Vercingétorix ! Sonnez trompettes, résonnez tambours, le roi est de retour ! Il était en croisade aux Etats-Unis. Plus judicieux serait le terme pèlerinage : Nashville ça te dit un truc jeune ignorant ? Ouais Nashville, aux USA, le pays où il avait enregistré Mustango en 1999. Un pays qui lui fait beaucoup de bien décidément.

Pour Le Cours Ordinaire Des Choses, MURAT s’est entouré de musiciens de session tout de même plus valeureux que Renan LUCE (au hasard), puisque si Edward H.BAYERS, John N.HOBBS, ou encore Dan DUGMORE ne vous disent rien, sachez qu’ils ont joué pour des gens comme Dolly PARTON, Jerry GARCIA (des GRATEFUL DEAD), LYNYRD SKYNYRD, REM, ou Al GREEN. Et puisque vous mourrez d’envie de découvrir leur bouille, que n’attendez-vous pour vite vous procurer la version CD+DVD afin de vous infliger les ¾ d’heure les plus emmerdants de votre vie ? Pour cela rien de plus simple, ouvrez vite votre coffret et extrayez-en le DVD contenant le film mi-making off mi-scenario concept franco-masturbatoire que Laetitia MASSON a eu la mauvaise idée de tourner. Elsa ZYLBERSTEIN n’y changera rien. Bref, ne dépensez pas inutilement vos brouzoufs et optez pour la version CD simple.

Le 33t contient deux titres en moins : « 16h Qu’est-ce Que Tu Fais ? » (la plus mauvaise du recueil car la plus facile) et "Ginette RAMADE" (nettement plus intéressante). La tracklist du vinyle, finalement, est la plus pertinente. Oui, achetez le vinyle plutôt. Seul « M Maudit » paraît faiblarde, trop ressemblante qu’elle est avec « Billy » sur Taormina, les deux chansons étant connectées par leurs mélodies rapides et leurs paroles répétitives. Dans les deux cas un autoportrait semblerait-il.

Si cette chronique pinaille et ergote depuis bien trop longtemps, ce n’est que pour mieux mettre en exergue l’info principale : cet album est très bon. C’est dit. Voilà une très belle alternance de blues bodybuildé et de titres plus apaisés, le tout serti dans une production de velours. Les cordes de « Falling In Love Again », Lady Of Orcival », ou « Taïga » ont le bon ton d’être plus pudiques que celles qui polluaient Moscou en 2005. Moins folk que Tristan, Le Cours Ordinaire Des Choses fascine beaucoup grâce à la pedal steel aguicheuse de Dan DUGMORE. Celle-ci ramène sans cesse vers l’album Mustango. Tout comme les refrains chantés en anglais (« Falling In Love Again », « Lady Of Orcival ») par la talentueuse Cherie OAKLEY. Qui n’est quand même pas Jennifer CHARLES, on rentre la zigounette. Complètement à l’aise dans son environnement yankee, JLM ose même la ritournelle country sur « Comme Un Cowboy A L’Ame Fresh », fais péter la mandoline et les lyrics baroques.

Les fans branchés ésotérisme remarqueront que les fins de décennies et les Etats-Unis sont plus que favorables à l’ombrageux auvergnat. 1999 était l’année de Mustango. Une référence. 2010 sera l’année d’un autre album marquant de sa discographie gargantuesque. Trop pour oser le terme référence. Mais rendez-vous en 2020 et on en reparle.

Vous trouverez sur le site 7 autres albums depuis VENUS chroniqués par Monsieur N.... et ce qui est curieux est que le CODC est son préféré depuis MURAT LIVE...

Moscou:

http://fp.nightfall.fr/index.php?idchoix=1587

Murat Live:

http://fp.nightfall.fr/index.php?idchoix=1669

Taormina:

http://fp.nightfall.fr/index.php?idchoix=1384

 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #divers- liens-autres

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Publié le 10 Septembre 2010

 

Ah,  ca smet rite la fresh actu....  Faut couper dans les news people qui polluent la toile et les excuses de Laura à Patrick, et les pardons de Patrick à Laura, etc.... Enfin soit, je vous ai fait le tri et rassemblé le plus consistant...

 

 

 

- Laura Smet et Léa Drucker sont invité chez Drucker dimanche... Je me suis précipité pour voir s'il n'y aurait pas un petit Mumu sur le plateau... mais non... C'est un spécial Sardou... avec Clavier, Didier Bourdon et les filles du Crazy... Ah, on va bien s'amuser... et merci à Papi de soutenir un peu la famille...

http://www.senego.com/people/laura-smet-rayonnante-et-tout-en-couleurs-sur-le-canape-rouge-de-michel-drucker/

 

http://people.premiere.fr/Photos-people/PHOTOS-Laura-Smet-rayonnante-et-tout-en-couleurs-sur-le-canape-rouge-de-Michel-Drucker/(gid)/2405696

 

 

- émission "culture box" sur France 3  avec interview de R. FELY:

http://www.vosflux.tv/id/france3_pauline_et_francois__le_1er_long-metrage_de_renaud_fely_1189513

Outre la féline Laura, on y évoque le brâme du cerf, mais pas le chant doux de l'ours auvergnat.

 

- Deux avant-premières dans le Limousin...

http://www.region-limousin.fr/Pauline-et-Francois

 

 

- Enfin, une interview dans le Républicain Lorrain de R. FELY :

 

La musique est signée Jean-Louis Murat. Parlez-nous de votre rencontre. « C’était une envie. J’aime beaucoup son rapport de poétisation à la nature. J’ai rencontré sa musique quand j’habitais à la campagne. Nous avons accroché tout de suite. Je n’ai senti aucune réticence chez lui. Je l’ai même trouvé plutôt enthousiaste. »

http://www.republicain-lorrain.fr/fr/region/article/3700955/L-autre-amour-dans-le-pre.html

 

 

 

 

LE LIEN EN PLUS:

 

Après Regrets...

qui va connaitre le succès et une renommée internationale en chantant avec Mylène Farmer?

C'est Line Renaud... Bonne chance à cette jeune artiste prometteuse dont la carrière promet d'être aussi longue que celle de Gregory Lemarchal... euh...    (c'est en tout cas l'occasion de retrouver le nom de Jean-Louis Murat cité) 

http://www.tetu.com/actualites/culture/line-renaud-va-sortir-un-duo-avec-mylene-farmer-17862

http://www.musicactu.com/actualite-musique/130263/mylene-farmer-surprend-ses-fans/

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Rédigé par Pierrot

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Publié le 8 Septembre 2010

 

… je vous propose pour rigoler quelques interprètes possibles pour des chansons de Jean louis… un grand n’importe quoi… que j'avais déjà mis en ligne sur le forum à un moment donné...

 

 

 

Aimer par Nine Inch nails

Soyez inexorables par les littles rabbits

Taisez vous par Bayon

Jim par Veronique et Davina

Bang bang par les Foofighters

Royal CADET par BENJAMIN Biolay



Je ne saurais dire ce qui me plait par gérard le- normand (peut-être bein que oui..peut-être bein que non)

Le cri du papillon par Cocoon

Les voyageurs perdus par Leopold Nord et vous ou par la Boussole

Call baby call par Telephone

En souvenir de Jade par Johnny

Marquis par Zazie (de son vrai nom : Isabelle de Truchis de Varennes, elle pourrait donc aussi chanter l‘amour en fuite)

 

Mousse noire par Triangle

L’au-delà par Paradis vanessa

Fort Alamo Les cow boys fringants

Nu dans la crevasse par Au frais Hugues

Cargo de Dieu par Axel Bauer

L’infidèle par DSK ou Besson



Je n ‘ai plus que toi, animal par Brigitte Bardot

Cours dire aux hommes faibles par grand corps malade

Baby carni bird ou la mésange bleue par Emilie Loizeau ou Fred Poulet ou les Eagles

Rouge est mon sommeil par Jeanne mas

Le matelot par Garon Jessy (parce que le -lot et garonne)



Je traine et je m’ennuie par Désirs-less

Colin maillard par Gilbert Montagné

Nixon par le Golden Gate

Et le désert avance par Oasis

L’almanach amoureux par Julie Ferrier (si elle est dans un bon jour) 



La fille du fossoyeur par les Dead can dance ou Sepultura

Monsieur craindrait les demoiselles par Jimmy sommerville

Gagner l’aéroport par les Avions, qui ont pris la chanson à Yannick Noah (car il ne tient pas ses promesses)

Le parfum d’acacias par Soundgarden

A bird on a poire par les Sweet apple pie (qui chante)

Verseau- Dö



Poly jean’ s par les Frères Nakache

Vu de trois quarts par Ribéri ou paul Le Guen

« Enfonce moi dans l’édifice » ou « accueille moi paysage » avec sacha distel/chantal Nobel

Le fier amant de la Terre par Paco Rabanne

Ami Amour Amant par bruno Maman

Caillou par Brisa Roché



Gengis par khan Chaka

Démariés par Gloria lasso

Pars par Brice Hortefeux featuring Besson

Inflammables par les bec Bien zen

Comme un cow boy à l’âme fresh.. Par les Kool of the Kang, par qu’ils sont « freshs, si so fresh »

Falling in love again et again et again  par Carla Bruni

Tige d’or   par Rocco Siffredi en duo avec Mireille Mathieu

Taiga par les 3 prêtres

 

et d'ici quelques mois, je vois bien

la fin du parcours Par Nicolas Sarkosy

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #divers- liens-autres

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Publié le 7 Septembre 2010

 

Christophe Pie a eu la gentillesse de m'adresser une petite archive...  Cela complétera  l'article ci-dessous consacré aux années 83/84 :

 

http://surjeanlouismurat.o ver-blog.com/article-archi ves-1983-1984-49159170.htm l

 

 

Sans doute issu de la Montagne:  suite à un concert à la Maison des Congrés en 1984. J'aime beaucoup "dont la moyenne d'âge oscille entre 23 et 24 ans" !! Un journaliste qui n'a pas dû faire carrière dans la critique musicale, même si ma foi, il ne se trompe pas: "un groupe prometteur'...  il dirait même plus : "prometteur..et plein d'avenir".  Ce n'est pas si superfétatoire d'ailleurs : l'histoire du rock est pleins de jeunes gens prometteurs...par leur talent... mais transpirant le vide et la mort...   

 

 

La-montagne-84.jpg

 

 

Et pour la peine, voici un autre article: 

 

1984--Mai--ROCK-n-76-Passions-privees-chronique--copie-1.jpg

 

 

Merci Pascal.

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Rédigé par Pierrot

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Publié le 5 Septembre 2010

L'émission ne me dit rien,  il me semble qu'après Frou-Frou, TF1 avait recruté la jolie brunette Tina... et  "un accident industriel"!...  un!    Et pourtant, ils avaient fait le maximum pour plaire à la ménagère: en invitant Jean-Louis!  Qui d'ailleurs a l'air de s'amuser beaucoup...  Mais moi, pas envie de regarder Tf1 ce soir....

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #vieilleries -archives-disques

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