Publié le 29 Septembre 2011
le Vinyl:
Pile:
Toda la familia de los lievras... CD normal boitier plastique, CD carton édition limitée avec live à la coopé... et CD Promo "les SOULIERS ROUGES"...
Cd promo.. pas de version EDIT...
Et l'open disque permettant le téléchargement de l'inédit:
LE LIEN EN PLUS :
Je vous fais l'économie du petit buzz sur Twitter à propos de l'interview sur Marianne... Rigolo que Polydor relaye l'interview en tout cas!
- AMIS QUEBECOIS, bientôt vous pourrez faire l'achat de tout ça... et METRO vous le conseille!
http://www.journalmetro.com/monde/article/983109--les-sorties-de-disques-de-la-semaine
Jean-Louis Murat: "Grand Lièvre" (Polydor/Universal).
En 2009, Jean-Louis Murat avait enregistré "Le cours ordinaire des choses" à Nashville. Pour ce nouveau disque, il est resté en Auvergne. L'opus rassemble dix titres qui semblent avoir été enregistrés dans les conditions du direct, avec beaucoup de spontanéité. Les sonorités sont principalement rock et folk, souvent soutenues par les guitares, parfois légèrement teintées de jazz ("Haut Arverne"). L'artiste a su alléger les arrangements des chansons pour donner un peu de gaieté à des textes remarquables mais terriblement sombres comme "Vendre les prés" (soutenu par un choeur) qui dénoncent les conditions extrêmement précaires de certains agriculteurs. Le clip aussi montre sans fard cette précarité dans un environnement pourtant exceptionnel. Avec son timbre chaud, le chanteur-auteur-compositeur et interprète ne s'est jamais autant livré. "Je voudrais me perdre de vue/Dans un grand orchestre au complet/Sortir d'un sommeil profond inaccessible à la tristesse", chante-t-il sur le très poétique "Je voudrais me perdre de vue". Jean-Louis Murat propose un disque brillant qui devrait plaire aux fans de la toute première heure.
Dans la série "les sorties de la semaine": http://www.chartsinfrance.net/Christophe-Mae/news-75931.html
- la critique du TELEGRAMME:
http://www.letelegramme.com/ig/loisirs/musique/jean-louis-murat-29-09-2011-1446626.php
Deux ans après son album enregistré à Nashville, Jean-Louis Murat revient sur ses terres de «Haut Arverne» louer un animal qui lui est cher. Le «Grand lièvre» est la métaphore d'une terre perdue, thème de sa chanson «Vendre les prés», sur l'exode rural contraint. Le propos du nouvel opus est sombre, comme dans ces récits de guerre, «Sans pitié pour le cheval» (sur la boucherie de la Marne en 14-18) et «Rémi est mort ainsi» (sur les maquisards de 39-45). «Qu'est-ce que ça veut dire» traite de la mémoire perdue, «Je voudrais me perdre de vue» rêve d'une personnalité dédoublée offrant un échappatoire à la tristesse... Tout cela semble bien noir, et pourtant, l'ensemble de «Grand lièvre» (Universal) diffuse une réconfortante chaleur. Le poète à la voix intime revêt ses mots de musiques riches, complexes mais limpides, aux mélodies tournoyantes. Guitare douze-cordes et orgue sont les piliers des dix chansons folk-pop-rock-bluesy que Jean-Louis Murat parsème de choeurs légers, nouveaux et bienvenus dans son univers.
frédéric jambon
- ET pour la peine, je vous remets la chronique de Gyslain (qu'il a donc diffusé sur un autre blog):
http://www.welovewords.com/documents/jean-louis-murat-grand-lievre
LES RENDEZ-VOUS DE DEMAIN:
-Dans l'humanité, interview... sauf décision de bouclage de dernière minute
- Show Case de la FNAC : Des nombreux camarades seront là...
- Je croyais qu'était prévu DIDIER VARROD sur INTER.. mais apparemment, c'est repoussé... (D'après les infos que j'avais, l'émission était peut-être enregistrée aujourd'hui, la date de diffusion n'est pas indiquée sur le site)