Son dernier concert dans cette ville date de 2013 (connexion live)
LE LIEN EN PLUS VITE VITE VITE
La première date annoncée de cette tournée était Montpellier. Petite article sur la programmation du festival centré sur la guitare (ce qui est donc une info en soi):
Et qu'est-ce que vous voulez bien que je vous raconte sur une date à Strasbourg, à la LAITERIE, la salle de musique actuelle de la ville? Rien d'étonnant et de détonnant dans le paysage... Cela sera son 5e concert dans cette salle (vous voyez bien qu'il est un guest qu'on réinvite avec plaisir!!) et sa dernière visite était, elle, bien particulière: dans le cadre de "Strasbourg mon amour", dans une église de la ville (compte-rendu).
Alors, amis de l'est, vous qui vivez dans le froid et le gris, avec votre drôle d'accent, et bien, pour changer du marché folklorique et du vin chaud qui ouvrira ses portes, réservez votre place pour le 8 décembre :
ET félicitations à la salle pour son petit texte (ça prête à discussion mais ils ont fait un effort):
Laissant à d'autres le douloureux plaisir de voyager en solitaire, Jean Louis Murat aime les rencontres ; avec Mylène, le temps d'un flirt quasi yéyé avec la grande variété ; avec Calexico, émanation mariachiste de Giant Sand ou encore avec Madame Deshoulières pour une partition à quatre mains tendues à travers quelques siècles. Du Col de la Croix Morand aux grands espaces américains, en passant par les salons poétiques du XVIIIe siècle et quelques datcha intimes, il n'y a donc que quelques tours de roue, dévalés par notre homme qui emmène grand braquet, sans peiner, jusqu'à notre Laiterie pour présenter son nouvel album « Travaux sur la N89 ».
Mit seiner weichen Stimme und seinen poetischen Chansontexten ist der Franzose in seiner Heimat seit Jahrzehnten eine feste Größe in der Musikszene. Ob Pop, Rock oder Chanson, der Sänger und Komponist ist in allen Stilrichtungen ein vorzüglicher Meister.
LE LIEN EN PLUS
Lors de son dernier passage à la LAITERIE, c'est PIERRE SCHOTT, le bassiste de Raft, groupe rangé des bateaux gonflables depuis un bail, et désormais musicien régulièrement adoubé par BAYON notamment, qui nous avait rédigé un compte-rendu (à lire ici)! Il vient tout juste de publier son dernier album... mais est en train de parcourir les alpes en vélo (en son temps, il avait défié Murat de le suivre).
Ce dernier album "el gringo" est très réussi, avec toujours un son de guitare très particulier dans des rythmiques à la fois blues et reggae, avec des thèmes qui enchanteront les fans de Manset et de Murat.
Après quelques dates dans des grandes villes, voici une première date plus "exotique" : EYSINES en Gironde. MERCREDI 10 OCTOBRE. Cité perdue peuplée d'indigènes moustachus? Non, c'est en banlieue de Bordeaux.... disons plutôt : dans la Métropole (pour faire plaisir à Virginie qui aimait trop Paul comme on le sait) bordelaise. C'est donc des gentry habitants que Murat va rencontrer après avoir pris la N89 dégagée j'espère.
Notre petit prince a donc peut-être dit "Eysines moi un concert, et c'est non pour retourner à Cenon" (date en banlieue bordelaise en 2013). Il n'est pas retourné à Bordeaux même depuis 2006 (la zone est déclarée muratsinistrée...on voit bien le vide sur la carte des concerts du liendéfait).
La ville semble en tout cas culturellement bien avancée, avec une salle de concert, un théâtre et des activités culturelles dans le parc de la ville... et oui, on ne eysines pas sur les moyens là-bas! 22 000 habitants tout de même... La ville est bordée par La JALLE qui a créé une plaine propice à la culture maraichère, MAIS TOUT DE SUITE, sous vos applaudissements, accueillons nos candidats du jour au jeu des 1000 euros! ... oups.... Je me suis pris par Lucien Jeunesse (car France Inter, ce n'est pas seulement Murat en playlist, c'est aussi le jeu des 1000 euros).
Allez, on choisit le superbanco en réservant sa place :
Sur ce, ai-je dis suffisamment de conneries ou dois-je faire un jeu de mot avec le Juppé terrien et Murat Jupitérien ? Non, ce n'est pas nécessaire, je vous l'accorde.... désolé... mais le retour de Murat, ça me met en joie... J'attends tout de même les dates en Rhône-alpes avec fébrilité... et avec L. Wauquiez les dates en Auvergne-Rhône-Alpes.
Pour être sérieux, grosse jauge en tout cas pour Murat (mais l'agglo fait plus d'1.2 millions d'habitants):
La salle du Vigean
La salle de concert d’Eysines. Construite en 1980, elle a acquis depuis une solide réputation de salle de spectacles à la programmation de qualité.
Rénovée en 2004, sa capacité d’accueil est de 800 places assises (fauteuils sur gradins rétractables) et de 1499 places debout.
L’acoustique a été minutieusement étudiée de manière à garantir le meilleur rendu sonore lors des concerts tout en préservant le voisinage. Une boucle magnétique a été installée afin de pouvoir accueillir les personnes malentendantes.
Par ailleurs, son utilisation reste polyvalente. La salle du Vigean accompagne la vie associative, les pratiques des jeunes ainsi que les pratiques artistiques amateurs et ce en lien avec les écoles, les jeunes, les associations, les travailleurs sociaux et les habitants. Elle continuera d’accueillir des activités de loisirs, des réunions, des galas et des repas organisés par les associations.
Plusieurs nouveaux équipements rendent la salle plus conviviale : – espace bar – cuisine équipée pour traiteurs – salle de répétition de musique amplifiée.
Murat chantera-t-il "j'ai fréquenté la beauté" à Dijon le 9/11/2018? Ca serait trop tordant, trop so funny, parce qu'il dit jonc dans cette chanson... Il pourrait aussi chanter aussi "cassis mouillé" aux Dijonnais... ou "marie-jeanne" puisqu'il y est question de "déjeuner"... ou alors "le chat noir" revisité: "le chanoine Kir dans le vin, teinte le vin, teinte le vin, le chanoine kir dans le vin, passe vie en teintant le vin"... et non, Murat n'a jamais chanté le mot "moutarde"... Il a assaisonné souvent ses aliments célestes par contre avec du sel et du miel.
Est-ce que j'ai suffisamment dit de grosses conneries pour m'en arrêter là? Allez, encore une petite:
Allez, Bourguignons, lève ton derrière et surtout ne te renverse pas, et porte-toi sur internet, t'payer ta place, et sois des nôtres!, prends ta place comme les autres!"
au théâtre des Feuillants.... 6e jauge de la ville (490 places numérotés en gradin à forte pente)
Allez, sur ce, on termine en se demandant si Murat aura droit à son ban bourguignon. La tradition semble bien active:
et on termine par Thomas VDB (qui a un lien fort avec la Coopé") qui nous parle du ban:
Allez, pour rappel:
Concerts à Paris en décembre (café de la danse), Dijon en novembre, et en octobre, Nantes, Montpellier et Bruxelles et Liège. Ca se complète, ça se complète... (vous retrouverez les dates précises par vous-même sur le blog). Chettoupourlemoment.
La catégorie d'articles "Bibliographie" est consacrée aux œuvres imprimées dans lesquelles il est question de Jean-Louis Murat.
L'inter-ViOUS ET MURAT- n°21 était consacrée à Franck Courtès, photographe devenu écrivain. Il publiait un roman ("sur une partie majeure de la France") avec comme épigraphe un vers de Murat. Il s'avérait qu'il avait à deux occasions photographié le chanteur et il m'a fait l'honneur d'autoriser la publication de photos inédites. Il nous a conté cette rencontre à Orcival, puis à New-York.
Aujourd'hui, il publie son nouveau livre toujours chez Lattès, et toujours en s'appuyant sur une matière autobiographique. Cette fois-ci, de front... pour évoquer ses souvenirs et tourments de photographe. Côté souvenirs: beaucoup d'anecdotes autour de rencontres (sans que cela tourne aux Who's who et à l'anecdote druckerienne)... dont celle avec Jean-Louis Murat: Les quelques pages ne nous apprennent pas beaucoup plus que notre interview, mais on y retrouve joliment transmis l'amitié que Franck porte au chanteur. Vous pourrez lire tout ceci en fin d'article.
Franck nous parle aussi, entre autres, d'acteurs (Tom Hanks...), de politiques (Bérégovoy...), d'écrivains, de musiciens, de footballeurs (Evra qui ne connaissait pas du tout la ville de Manchester pour laquelle il jouait...), des bonnes surprises... comme des mauvaises (parfois d'un stricte point de vue des 5 minutes que le modèle accorde au photographe, mais "Je n'avais pas toujours besoin de lire un auteur pour savoir de lui l'essentiel. Souvent l'oeuvre venait après coup confirmer ce que j'avais ressenti dans l'instant partagé de la prise de vue") .
Toutefois, le cœur du livre est bien les tourments du photographe. La faute aux photos? Non.
Des tourments tels qu'il pensera souffrir de dépression. Face au travail de commandes, face aux portraiturés qui ne jouent pas le jeu, le joue trop, face à la peur du manque d'inspiration, quand l'autre s'en fout ou quand l'autre l'impressionne trop (Raymond Depardon...), et encore, face à l'effet médiatique (le festival de Cannes, ou l'écart entre l'impression laissée par un homme et les réactions que sa représentation en photo va susciter - Michel Polnareff ou Jean-Marie Le Pen), face à l'émergence du numérique, de la dictature de la photo et sa désacralisation dans le même temps, face à la crainte du procès qui empêche de poser son regard où on le souhaite, face aux impayés, ou enfin, l'impression de survoler les gens, les pays "voyagés" sans les appréhender vraiment: "je me rendis compte que j'étais allé en Amérique du Nord 24 fois en deux ans. Pourtant, je ne connaissais rien aux Etats-Unis". La dernière "humiliation", ça sera Joey Starr et un footballeur... Franck comprend qu'il est arrivé "au bout de sa passion" "comme on se rend compte [...] qu'on ne vieillira pas avec la femme de sa vie". Prises de vue, prises de tête. Débrancher la prise pour libérer non pas seulement l'esthète, mais son être dans son ensemble.
Bien sûr, il est aussi question de "l’état de grâce" quand tout se combine, et Franck arrive à lever un peu le mystère sur ce qui fait la magie d'une photo, en nous parlant de ces moments de complicité qu'il arrivait à instaurer parfois, ou en évoquant la technique autour de l'argentique (comme une contrainte libératoire, "l'envie d'en découdre", notamment avec la lumière: "le réglage de mon appareil était la première chose à laquelle je pensais en me levant" [en se précipitant à la fenêtre]). Ainsi, le lecteur aura bien souvent envie de stopper la lecture pour aller à la recherche des prises de vue qui viennent d'être évoquées.
C'est souvent sérieux, mais jamais prétentieux : Franck y reste toujours d'une grande modestie: quand il parle de ses travaux plus personnels (refusés à l'édition), ou quand il évoque, par exemple, son inculture : "je fus bientôt à même de tenir une conversation avec Philippe Sollers et Régis Debray, à condition qu'on parlât avec le premier des vins de Bordeaux et avec le second du mauvais état de ses rideaux de salle à manger", ou nous compte quelques bévues (sa rencontre avec P. Barouh dont il ne connait pas le nom: "des succès? Alors peut-être que si vous m'en chantonnez un, je le reconnaitrai").
Les dernières pages du livre sont consacrées à sa conversion vers l'écriture, qui est marquée par "l'ancrage", le "rester"(notamment dans un cadre villageois", et l'introspection... L'occasion bien-sûr de comprendre une nouvelle fois ce qui le relie à l’œuvre de Jean-Louis Murat.
"La dernière photo" est l’œuvre la moins romanesque de Franck, mais est passionnante pour les amateurs de photo, et pour ceux qui ont aimé ses précédents livres, qui dévoilaient d'autres aspects de sa vie. Franck en a-t-il fini avec cette matière très personnelle dont il s'est inspiré pour l'instant? On comprend en tout cas à la lecture que ce livre était forcement un préalable avant de pouvoir totalement passer à autre chose.
- A relire (avec d'autres photos, copyright Franck Courtès/agence Vu'):
Auteur, compositeur et interprète, Jean‐Louis Murat est un artiste complet, brillant aussi bien par la subtilité de ses textes que par ses arrangements musicaux. Avec tenacité, il a su séduire un public toujours plus large et continuellement surpris par son univers. L'Auvergnat reste fidèle à lui-même et continue d'expérimenter sans cesse de nouveaux styles (acoustique, électronique, classique, pop,…). À découvrir ou re-découvrir sur scène : les 10 et 11 décembre au Café de la Danse, Paris.
9e et 10e rendez-vous au Café de la Danse donc, après deux dates pour Mustango et 6 pour A bird on a poire (2004). 61e et 62e concerts parisiens...
Après Montpellier, la Belgique, voici donc une date à NANTES, à la bouche d'air, salle déjà plusieurs fois occupée par le passé. Cela sera le 9 octobre. Je commence à m'inquiéter car je ne serai pas dispo du 7 au 14, et ça risque d'être la période où il traversera ma région...
On peut signaler que le site internet a été mise à jour : Il signale qu'il y aura une tournée cet automne.
Pour revenir sur l'article précédent, voici un reportage sur la web radio de la coopé par PILS l'émission culturelle de F3 Clermont. La page mentionne que Murat y fera des playlists. Je compte sur vous pour surveiller ça là: http://www.lacoope.org/
Plusieurs articles évoquent jean-louis Murat notamment Quai baco,
Faut dire, voici ce que déclarait Nicolas: "Quant à Murat, j’ai mis très longtemps à l’écouter, du fait qu’il soit une sorte d’icône pour la critique lui aussi, ce qui est un peu encombrant. Et j’ai commencé à vraiment l’écouter avec Mustango, et je n’en décroche plus. Ce mec est, lui-aussi, immense" (ici interview où il dit se sentir plus près de... Bertrand Betsch)
Les premiers titres de l'album sont vraiment accrocheurs, et on apprécie forcement de retrouver de la pop soignée en français.
La coopérative de mai lance sa radio, en écoute sur son site et sur internet.
Des contributeurs participent aux choix musicaux... et forcement, Didier Veillault a fait appel à Murat...
Voici ces choix musicaux:
• MYKKI BLANCO - Loner • KENDRICK LAMAR - Good kid • JUNIOR KIMBROUGH - You better run • GIL SCOTT HERON - Lady Day and John Coltrane • ERYKAH BADU - Kiss me on my neck • EDDIE KENDRICKS - Boogie down
En écoute ci-dessous...
PS: le site internet officiel a été mise à jour: il mentionne "TOURNEE EN AUTOMNE"
Allez, puisque ces photos (prises lors de petits tours en vtt) s'y prêtent, j'ai pioché quelques vers de Murat pour les accompagner... Mai donne envie de poésie (et d'aimer) .... et puisque le soleil a disparu aujourd'hui (il a même neigé à Orcival), sans vouloir faire le rival, réchauffons nous de ces mots et photos mis bout à bout...
Il y a une petite surprise en fin d'article pour les plus jeunes d'entre-nous (ceux qui n'étaient pas là en 2009)....
Photos de mai et les mots de mai de Murat
Ame fervente Tout à ton sport De quoi veux-tu jouir Avant l'aurore
Citron volage Monde amoché De quel désir Veux-tu me faire le procès
Tu sais tu me dégoûtes Billy Tu n'es vraiment qu'un con Billy Prends garde à tes façons Billy Billy prends garde à toi
Vois je ne t'aime plus Billy Sans regret ni façon Billy Prends garde à tes façons Billy Billy prends garde à toi
Le pissenlit coquelicot Tous enfin chantonnèrent A demi-mot
Citron volage Monde amoché De quel désir Veux-tu me faire le procès
Le pissenlit coquelicot Tous enfin chantonnèrent A demi-mot
Le pissenlit coquelicot Tous enfin chantonnèrent A demi-mot
Tout est humeur et pissenlits
Dans le pays le pays d'ici
Le fromage et la fourmi
Se sont connus tout petits
Déjà dans les pissenlits
Ils se montraient leurs zizis
Le fromage et la fourmi
Hé matez sur le coeur La renoncule dorée La tendresse le physique Haut les cœurs V'là la vie
Des quasars des prairies Un vent solaire sur les hanches Puisatier galaxies Quinze milliards dans le ventre
Emotions tardives, nous sommes en mai
Emotions tardives, mois du bien aimé
Emotions tardives, pour le roi de cœur
Emotions tardives
Marche les nuits de mai
Quand les lilas
Envahissent le monde
Le corps apprivoisé
Pensée sauvages, dompte venin
Impatiente, mouron des oiseaux
Digitale, myosotis, verge d'or, épervière commune
Puis petite pluie de mai Rend tout le monde très gai Mai en bonne boue Fait bel épi en août Dans un mai fol et gracieux Tout mariage est malheureux Le beau mois d'avril Défait ce qui me plaît
joli moiS de mai
Joli, joli mois de mai...
L'amour nous rend belles,
Belles à désirer
L'amour ensorcelle quand revient le mois de mai
L'amour dit "je t'aime"
Sans fâcher les cœurs
L'amour naturel revient cueillir la fleur
Roulent sous sa langue
Les bijoux indiscrets
Et je à jure l'amour d'être toujours son sujet
Résonnent les chants
Chantent les journées
Je jure à l'amour, je jure de toujours aimer
Joli, joli mois de mai...
Courir l'aiguillon
Courir la beauté
Joie dans sa nature nous combe de qualité
Cœur reste toi même
Dans les sentiments
C'est l'instinct cruel qui fait la joie des amants
Mourir de plaisir
Sans s'en excuser
L'amour nous rend belles, l'amour est un faux danger
Paradis de joie
Sans dire ni penser
Sans plus de tourment femme fait ce qu'il te plait
Replié sur mon ordi par cause de pluie, voici quelques croquis dénichés sur l'appli Twitter. Ce n'est pas autant récent. Même pas du tout du neuf car l'archive est de 2009. Juillet, Jean-Louis y était, atrabilaire, pour la promo du Cours Ordinaire... en interview croisée avec Vanot, un dévoué poto. Mais j'en arrête là, car je dois aller aux fourneaux, et je garde mes frusques de mirliton.
Les croquis sont de David Scrima. J'avais déjà partagé l'article de la revue 3 Couleurs en 2010 ici. Des nombreux autres dessins de chanteurs et artistes sont visibles sur son site:
On peut voir ses dessins dans Télérama de temps et temps et en vrai à la Galerie Isabelle Laverny jusqu'à fin mai (Paris). David Scrima a participé en tant que guitariste chanteur à certaines soirées Livre Unplugged organisées par l'ami Pierre K.
Voici ci-dessous le dessin finalement publié dans l'article:
LE LIEN EN PLUS
Guillaume Bongiraud des DELANO ORCHESTRA, orfèvres de Babel, donne de ses nouvelles:
"Il y a tout juste un an, nous sommes partis avec Morgane Imbeaud dans 8 lieux magnifiques du Puy-De-Dôme, afin d'enregistrer mon album acoustique solo, "Murmuration". En voici le premier titre, "Nuit de sable", qui accompagne les superbes images de Morgane"[Imbeaud].
L'intégration de la vidéo ici n'est pas possible et c'est bien dommage car elle n'a été partagée que sur facebook. Voici le lien... et une petite surprise attend les muratiens.... puisque la chapelle Roche Charles est visitée. Il s'agit bien sûr du lieu où Murat y a enregistré son "plein air".
Ps: J'ai oublié de signaler que Matt Low jouait hier à Paris avec Garciaphone à l'Olympic Café.... Désolé. Désolé également: il était possible de rencontrer le réalisateur du clip "french lynx" Jean-François Spricigo le 6 mai à Paris. Quelques informations sur son travail ici.
Pour rappel: Alain Bonnefont continue de se produire régulièrement sur Clermont (prochaine date le 15 mai au caveau des anges à 19 heures).