Publié le 2 Février 2010
Publié le 31 Janvier 2010
http://www.blacksessions.fr/bsnum.php?id=142&num=117&exp=y&rec=
Avec Avalanche, la reprise de Cohen
Jean-Louis Murat - Black session 1998 (1/3)
envoyé par five-r. - Clip, interview et concert.
Jean-Louis Murat - Black session 1998 (3/3)
envoyé par five-r. -
Apparemment, quelqu'un a pensé que vendre les cd des blacks sessions seraient rentables... bien qu'on les trouve assez facilement :
http://www.freewebs.com/blacksessions/
Mais pour 36 dollars!! C'est un peu cher!
Pour des simples bootlegs, c'est un peu cher, ils en parlaient là en 2007:
http://www.blacksessions.fr/phpBB2/viewtopic.php?t=53
Publié le 31 Janvier 2010
1) Je n'ai même pas trop suivi l'actualité, mais apparemment Georges, Georges, Georges, Frêches a encore dérappé. Encore une preuve que les français sont des veaux... à réélire des barons type Balkany- pâté pour chien- ... mais je dérape à mon tour....
En soit, pourquoi parler de ça? Parce qu'au niveau polémique, Jean-louis Murat n'est pas le dernier, et qu'un blogueur sur l'affaire Frêches l' évoque :
"Les «noirs de l’équipe de France», en surnombre à cause de la «nullité des blancs» ? Une expression maladroite de la pensée généreuse de son auteur, qui aurait voulu dire, en fait, qu’il était anormal que les « Français issus de la diversité», comme on dit pudiquement rue de Solférino, ne puissent réussir que dans la chanson ou dans le sport. Après tout, Jean-Louis Murat avait bien tenu le même discours dans le mensuel de foot de gauche So Foot sans déclencher la même avalanche de reproches… "
http://www.inversalis-productions.eu/blog/2010/01/georges-freche-ou-le-caillou-dans-la-chaussure/
Voici les propos tenus dans so foot: Vous verrez que le discours de Jean-Louis Murat est assez clair. Même s'il sait qu'il marche sur des oeux, son discours est clairement "sociologique".

l'article complet de so foot là:
2) Sur le site DUCLOCK réservoir culturel que j'ai dans mes favoris, une chonique du "cours ordinaire des choses"
Publié le 28 Janvier 2010
BAPTISTE VIGNOL
Je vous propose aujourd’hui une interview d’un grand spécialiste de la chanson française : Baptiste Vignol. Auteur de plusieurs livres sur la chanson française dont nous parlerons plus bas, éditeur à la Réunion, nous l’avons découvert ici grâce à son blog « Mais qu’est-ce qu’on nous chante ? ».

- Alors, bien que né en Tunisie, et grand globe trotter, vous n'en êtes pas moins d’origine auvergnate. On a tout de suite envie de savoir si cela a joué dans l’intérêt que vous portez à Jean- Louis Murat ?
B.VIGNOL : D'origine auvergnate, mais plus précisément de la Limagne. Depuis ma fenêtre, je vois l'antenne du Puy-de-Dôme et, par temps clair, la cathédrale de Clermont-Ferrand. Alors oui, "La neige qui tombe sur Ceyrat a dû être pluie là-bas", ça me parle! Et parfois, ça m'émeut quand je suis loin de chez moi.

- Oui, effectivement, même si Jeanne Cherhal était aussi présente une année.
P: Donc sur la dernière tournée... L'avez-vous vu à d'autres occasions? Si oui, que pensez-vous de ses prestations scéniques?
- Vous avez été programmateur pour Pascal Sevran durant 3 ans. Là, encore, il n'a jamais été question de l'inviter? Il chante pourtant comme Jean Sablon d'après Dominique A!!
B.VIGNOL : J'aurais adoré, mais mes sollicitations sont toujours restées sans réponse. Il y avait pourtant un décalage intéressant, non? J'ai réussi à faire venir de sacrés bons artistes à La Chance comme Clarika, Vincent Baguian, Rachel des Bois, Jacques Bertin, Polo, Pierre Schott, Gilles Vigneault, Marc Ogeret... Des gens intègres.
- Oui, c'est bien pour ça que je posais la question! J'avais souvenir de cette programmation.
B.VIGNOL : Par contre, je ne savais pas que Dominique A comparait Murat à Jean Sablon! Jean Sablon... Le Bing Crosby français comme on l'appelait en Amérique. C'est forcément un compliment; Dominique A connaît la chanson, à tel point qu'il s'inscrit lui-même dans la lignée de Jean Ferrat. Et puis c'est vrai que Jean Sablon était un des premiers vrais chanteurs de charme!
- Vous avez écrit un livre "Cette chanson qui emmerde le Front national" où vous parlez de "Mégret et les pédés". Bien que le champ "politique" ne soit pas complétement absent dans les textes de JLM ("giscard", "le coup de jarnac"...), c'est quand même une chanson très particulière dans sa discographie, et aussi dans "mustango" que vous avez classé comme un des meilleurs albums de sa décennie ?
B.VIGNOL : C'est vrai que c'était assez inattendu, entendre Bruno Mégret dans la bouche de Murat, mais cela ajoute à l'écho qu'on en a donné. Le Coup de Jarnac est une belle chanson, à la Renaud, que Julien Clerc a refusée je crois. Giscard ne figure sur aucun enregistrement il me semble. Dommage. Oui, Mustango est un album magnifique, indispensable à toute discothèque qui se respecte. Tout comme le live qui l'a suivi d'ailleurs. Du Murat olympique! Affûté comme un grimpeur colombien.
- Oui, même s'il ne parle plus trop de vélo en ce moment!
- En fait, le train à crémaillère le rendra impossible désormais!
Vous évoquez Renaud. Vous avez écrit un livre sur lui, et placez 3 de ses albums dans votre "best off" des années 80. Ca m'a fait penser à Manset qui dans un paris match il me semble, citait ces deux chanteurs comme ayant inventé quelque chose. Ils se sont invectivés un peu, mais c'est de la petite histoire... Quelles places ils occupent à votre avis dans l'histoire de la chanson française et votre panthéon personnel?
B.VIGNOL : Oui, ils se cherchent des poux, on dirait, s'insultent copieusement. Je cultive ce paradoxe-là: mes deux chanteurs préférés se détestent. Je ne savais pas que Manset avait fait cette déclaration. Je suis bien d'accord avec lui. Il existe des chansons de Murat que Renaud aurait pu écrire et inversement. Ils ont tous deux une écriture très académique dans le fond, très poétique. Plus Baudelairienne que Brassenssienne pour Murat, certes!
- Pour parler de la chanson, de la variété ou de la pop, qui semble être votre domaine!, on peut utiliser aussi le terme de musique populaire. Jean-Louis Murat l'a été, mais ne vend plus de disques. Parallélement, il se refuse souvent de se situer dans "la chanson française" dont il dit qu'elle n'existe pas. Qu'en pensez vous?
B.VIGNOL : Je ne comprends pas bien ce qu'il veut dire par là, mais je dois avouer que je ne le comprends pas tout le temps, ce qui ne m'empêche pas d'être porté, touché par ce qu'il chante. Murat est en marge. Sa culture, son intelligence le rendent insolent. Il s'est un peu exclu lui-même du système, non? Et il a bien fait. Bien sûr, il le paie régulièrement, en n'étant pas nominé aux Victoires de la Musique par exemple. Mais JP Nataf, qui a sans doute enregistré le plus bel album de 2009, ne l'est pas non plus. C'est un gage de qualité que de ne pas être nominé aux Victoires.
Concernant les ventes, Murat n'est hélas pas le seul à ne plus vendre ce qu'il vendait. Le marché du disque est mort. Vive la chanson! C'est très inquiétant. Et personne ne semble avoir la solution. Il faudra bien pourtant continuer à vendre de la musique, sans quoi les studios fermeront, les musiciens ne joueront plus, et il n'y aura plus de chanson. Inimaginable.
- Quel est votre album préféré de Jean-Louis Murat?
- Et vos chansons préférés?

- J'en parlais ici il y a peu: il n'y a pas encore de livre consacré à Jean-Louis Murat. Un lecteur m'a dit qu'il n'y avait pas assez d'acheteurs potentiels. En tant qu'éditeur et écrivain, qu'est-ce que vous en pensez?

Bourg-Murat!
L'arrière plan est en effet frappant.
Interview réalisée par mails du 25 au 29/01/10.
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Les principaux livres de Baptiste Vignol dont j'ai présenté les couvertures ci-dessus, sont édités aux Editions TOURNON. On peut lire leur présentation, des revues de presse et quelques pages de ces livres sur leur site:
http://editionstournon.fr/f/index.php?sp=liv&livre_id=13
http://www.editionstournon.fr/f/index.php?sp=liv&livre_id=3
http://www.editionstournon.fr/f/index.php?sp=liv&livre_id=18
Pour préparer votre voyage à la Réunion ou rêver de votre lit,
http://www.editionsduboucan.com/
La maison d'édition de M. Vignol.
Enfin, son blog où il élabore son palmarés du siècle passé, une décennie après l'autre.
http://delafenetredenhaut.blogspot.com/
et le fameux projet, un peu spécial...
www.danslesyeuxdalaindelon.com
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LE LIEN EN PLUS:
La presse en parle:
- http://www.technikart.com/archives/3354-baptiste-vignol
- http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p2214/articles/a339173.html
Merci à Baptiste Vignol pour sa disponibilité.
Publié le 28 Janvier 2010
3e fois que je vois Marchet en concert (Cluses en 2007, avant Jean-Louis Murat), Frère Animal à St-Priest… et donc, cette fois-ci, dans le cadre d’un festival à la programmation intéressante au Théâtre Ste-Marie d’en bas… Grenoble.
Le lieu est plutôt intéressant : une ancienne église classique ou baroque, dans laquelle a été monté dans la nef des gradins (avec une architecture métallique, 150 places je dirais). La scène occupe le vaste chœur, cerné de belles colonnes. Le tout mériterait un peu de travaux (moquettes scotchées, sièges un rien bringuebalants)… mais ma foi, on oublie vite. Le bar, mini, cosy, à côté, a un côté rétro et cabaret parfait.
Rideau rouge…. Et entrée ratée… car c’est une sortie… Un ampli récalcitrant l’a obligé à bricoler…et il n’a pas eu le temps de se cacher avant l’ouverture… Ca lui donne l’occasion de débuter avec un peu d’humour… et à ce niveau là, ça n’arrêtera pas de tout le concert. Très drôle, le gars. Mais un humour un peu particulier, cherchant à titiller le public traité de ploucs, puis de voleurs urbains, et j’en passe ! On ne se laisse pas vraiment prendre par ce personnage hautain, imbu et provocateur, mais le décalage avec les textes des chansons peut quand même interroger. Il faudrait qu’il reprenne « j’empire » du « Voyage du NOZ » (huez-moi!), il prendrait son pied.
Les jeunes filles seront intéressées de savoir qu’il portait moustache, renforçant son image de Berry’s farmer et son aspect féminin aussi, car on pense à Freddy Mercury forcement.
3 musiciens l’accompagnent : le fidèle batteur, un bassiste, et un excellent guitariste occupant aussi le siège du synthé et petites programmations (avec un peu de xylophone aussi). En fait, Marchet me le révèle après : ce sont des musiciens de Syd matters dont il est très fan (Florent n’a donné que leur prénom au cours du concert, mais il s’agit de Rémi Alexandre, excellent et Jean-Yves Lozac'h, au charisme d’un musicien de Cranberries... mais cela dit on ne demande pas un bassiste de faire la java !).
Après l’entrée ratée, morceau énergique pour débuter. Inédit, peut-être la chanson titre du nouvel album puisqu’on y entend le mot « courchevel ». On a du mal à entendre le texte, avec la voix pas encore chaude et l’énergie du morceau, mais la musique est excellente. Florent est à la guitare acoutisque, et y reste pour le deuxième morceau tout aussi rythmée. Il y est question d’un certain « Benjamin ». Autre inédit. Tout cela démarre sur les chapeaux de roue.
« Mon idole » arrive ensuite, avec Florent passant au piano à queue. Il se la pète avec son beau piano… mais le son de l’instrument est magnifique, et j’avoue avoir kiffé veugra ses parties de piano, notamment dans certaines parties instrumentales extra. J'ai également beaucoup aimé les choeurs des musiciens sur certains morceaux.
Cette chanson déjà jouée et découvert sur le net est là aussi bien boostée par le groupe. Fera-t-elle partie de l’album ?
Ensuite, on a droit à «mes nouveaux amis » ; puis un autre inédit « pourquoi êtes-vous si triste » (enfin, c’est la phrase qui revient dans la chanson). On retrouve le thème de l’enfance dans cette chanson car le garnement dit avoir 12 ans. C’est la première chanson où Remi se glisse au synthé.
On repart à Levallois-Perret ensuite, chanson du premier album, puis « notre jeunesse » voit florent et rémi reprendre leur guitare. A mon avis, encore un peu de travail à faire sur cette chanson… Ils n’ont répété que 4 jours, et ont donné hier un premier concert à herblay, et fait 10 heures de route pour venir (ils sont passés par où ?)…
Les musiciens vont se rafraichir, et Florent, solo, au piano, interprète une trentenaire, au prise avec une vie en dent de scie, une « histoire à l’eau de rose ». Toutes les chansons sont réellement chantées, pas de talk over, ça tombe bien, on l’attendait peut-être un peu trop là, lui auquel on a tant comparé Arnaud Fleurent-Didier. Et il faut dire qu’il chante plutôt bien et pour le public, se tournant au piano, comme un Gilbert Becaud pour attraper l’auditoire.
Encore une chanson en solo ensuite, mais cette fois-ci à la guitare, 5e inédit, « qui je suis ? dis moi qui je suis ? ». Plutôt pas mal là encore.
Entracte, qui fait l’objet de pas mal de plaisanteries de la part de Marchet (là, il nous traite d’alcooliques…).
Après 10 minutes, on repart :
Nouvel inédit ou peut-être deux (un instrumental + une chanson enchainée) : on a droit à une longue introduction avec une guitare électrique de Rémi et un piano de Florent extraordinaire, ça pulse bien. J’imagine bien cela en introduction du disque… la chanson ensuite m’évoque « gagner l’aéroport » (de Murat, que Florent avait repris avec Frère animal), mais il est plus question de « perdre l’aéroport » ou de le quitter. « l’avion est en feu » en est peut-être le titre.
Morceau nettement moins anxiogène ensuite : « Narbonne plage », Florent toujours au piano. C’est du Marchet pur sucre, l’ambiance familiale, le bonheur qui s’enfuit peut-être bien, les catastrophes en construction. France profonde, français moyens. Comme cette tapisserie à grosses fleurs très 70's devant laquelle il pose. Et ce thème des vacances souvent présent (cf "les gdes vacances" dans le premier album) : France, été 36, mais c'est en 2010, et c'est la crise...
Idem pour la chanson après, un hommage à la famille Kinder, dans lequel même l’ami ricoré, oui, celui du petit déjeuner réussi !, est convoqué. J’apprécie là les jeux variées sur la batterie (classique, percu sur batterie électro type partenaires particuliers...vous voyez, puis encore simplement les baguettes tapées horizontalement sur la caisse claire ). Sur FB, Florent rigolait qu’il mettait les amplis sur 11, blague du film « spinal tap »... Pour être réellement en adéquation avec ce film, il faudrait changer ce batteur ! Il respire le calme et la sérénité. A vrai dire, ça fait du bien…
Ensuite, on l’attendait, il est là : le yuku ! C’est sur « la charrette ». Une chanson découverte sur internet et déjà chanté en concert. Je la pensais issu du projet « frère animal ». Là, encore, une belle orchestration.
« Tous pareils » du premier album en groupe, puis un beau « Rio baril » en piano solo viennent ensuite.
Je crois que c’est là qu’intervient le premier rappel pour un « je n’ai pensé qu’à moi », du premier album. Non, c’était le deuxième rappel déjà… Florent se lâche bien, faisant ce mouvement assez caractéristique : le buste penché à la Neil Young, la jambe gauche partant en vrille… peut-être avec le but de chasser des mouches.
« Je m’en tire pas mal » pourrait peut-être être sa conclusion pour ce concert de rodage ! D’ailleurs, ce titre est semble-t-il rajouté en dernière minute, Florent se trompe sur le texte et recommence. D’ailleurs, il interprète ce titre en solo avec le batteur, comme les deux suivants : « les grandes écoles » et « la chance de ta vie ». Je prends un peu moins de plaisir du coup à cette partie plus acoustique, surtout du fait des titres qui ne sont pas mes préférés à vrai dire. Néanmoins, l’ambiance est là et la soirée se termine sur un joli succès.
Vraiment sympa de découvrir les nouveaux titres qui m’apparaissent très réussis et abordables à la première écoute. Ils ne semblent pas qu’il y ait une révolution musicale et textuelle dans l’album, mais au 3e, il s’agit plus de confirmer par le fameux, l’incontournable, oui, il est là, le voici, « l’album de la maturité », que de se révolutionner. Je retiens aussi le pied terrible à l’écoute de son piano, moi qui serait plutôt guitare (je me suis dis du coup que j’irais bien voir Sheller, en solo, cet été au Palais idéal).
Après le concert, Florent Marchet est disponible au bar pour dire un gentil mot et signer un petit mot amical.
C’est malgré tout pour une mauvaise nouvelle : l’album ne sortira pas de si tôt, mais un 4 titres viendra présenter l’album au printemps. Ah, les gens du marketing, quelle belle invention ! Mais.. Mais… Florent rajoute qu’il se mettra rapidement à écrire un nouvel album car il a retenu la leçon ! Il a encore le soutien d'une maison de disque et c'est un bel exploit. On retrouvera aussi sur sa plume grâce à quelques collaborations: Axelle Red (avec Manset!), Dominique Fidanza... après avoir travaillé avec La Pirate et Clarika.
Pierrot
Publié le 26 Janvier 2010
Jean-Louis Murat Saint-amant vs La vengeance d'une femme
envoyé par five-r. -
Cette vidéo a été supprimée de dailymotion... copyright? je ne sais pas puisque le précédent extrait est toujours là. Vous pouvez toujours me contacter.
Publié le 26 Janvier 2010
1) Dernier reportage au Sancy: belle image du guery, et ski de fond à Orcival...
2) 1990-2010 : c'est les 20 ans de "PESSADE 90".... une petite visite au village pour l'occasion:
LE LIEN EN PLUS :
http://delafenetredenhaut.blogspot.com/
Baptiste Vignol continue ses classements... et retourne dans les années 80: C'est cette fois Le manteau de Pluie qu'il met à l'honneur. Comme Gérard Manset, il apprécie Murat et Renaud.
Ca m'a fait plaisir de voir le Ferrat 80 que j'ai écouté beaucoup à l'époque, à 7/9 ans.
Si vous avez envie de poser une question à Baptiste Vignol, laissez là en commentaire. -Si je la trouve intéressante!!-, nous la lui poserions car il a accepté de nous parler de Murat dans l'interViOUS et Murat N°2
Publié le 25 Janvier 2010
Plus de message sur facebook depuis mi-décembre, site officiel (pas la hauteur!) idem... Plus de trace de Jean-Louis Murat sur internet. Et sans parler de l'arrêt des inédits... Enfin, sur le myspace, que le "cow boy en écoute" !
En fait, il y a ou il semble qu'il y a arrêt de la promo sur internet... espérons que c'est provisoire. 40 personnes qui passent ici ou sur le forum ou le lien défait...ça ne remplace pas le facebook avec ses 3/4000 membres... dont la plupart se contente de ça pour avoir des infos... Le facebook, c'est de la création d'un lien, d'une "amitié" (il faudra créer un terme pour ça...à moins qu'il existe... mais je suis pas assez geek). L'interrompre, je trouve ça dommage... d'autant plus avec la tournée qui va débuter. Cela risque de donner l'image d'un artiste qui n'était guidé que par l'idée de faire sa "promo". Il n'est même plus possible de laisser des messages là-bas sur son mur.
Autre regret: c'est de n'avoir aucun retour sur la carte blanche de Toulouse alors que cela avait fleuri pour Lyon et Paris. Aucun remerciement sur le myspace... N'y avait-il aucun muratien là-bas?
Bon, malgré tout, la promo continue... Les virées dans les fnacs sont l'occasion de rencontrer les journaux et télés locales, comme on l'a vu à Lyon et Toulouse.
LE LIEN EN PLUS:
- link
Un petit blog avec un article sur la scène auvergnate
- starzik vous propose d'envoyer une carte musicale avec "caillou" à vos amis...
Publié le 23 Janvier 2010
Merci Five-R encore et encore. Perso, j'aime bien la démarche de délivrer ces fameux inédits... autour desquels il y a tant de mystères...
C'est "hortense et Julienne", chanté au Koloko (tout le monde sait ce que c'est?) en 2003.
Montage avec des images du film de Doillon
Hortense et Julienne
A quoi bon le désir, à quoi bon la peau
Si la barque chavire aussitôt
A quoi bon les dancings, à quoi bon l'été
Si le monstre m'attire alléché
A quoi bon nous essayer à Montaigne
Jeunes Parques cruelles
Je ne vois que scoubidous, que grigris
A quoi bon la folie
Vite la milice qui monte au buron
Vite la notice, est-ce bon ?
En baume du tigre ce monde nous va
Aux confins de la peine et de la joie
Au pays d'Hortense et de Julienne
Comment vont les anciennes ?
Oh le buffle, la bouffe, tiens la rizière
Plutôt bas le moral
Publié le 23 Janvier 2010
1) J'avais donné le lien de ce blog sur le forum à l'automne quand cette personne avait posté la première partie de sa critique. La deuxième partie vient d'arriver...
la première partie était mal embarquée...
http://lingane.canalblog.com/archives/2009/10/16/15456904.html
Le lien dysfonctionne semble-t-il. Partez sur google: BLOG de Lingane sur canal blog lingane.canalblog.com...
Mais avec le temps, il semble que l'oreille se soit lové au chaud de la voix profonde de Jean-Louis. Même si l'ambiance U.S. ne convient pas à tout le monde, certains arrivent encore à s'accrocher à cette voix et aux textes.
Part 2:
http://lingane.canalblog.com/archives/2010/01/22/16618983.html
http://www.canalblog.com/cf/fe/tb/?bid=562733&pid=16618983
Un avis un peu original car détestant Taïga... alors que l'on a beaucoup lu que les deux derniers morceaux étaient des sommets.
2) La semaine au Sancy continue sur Clermont Tv, avec un peu d'histoire sur Besse et Mont Dore. Il y a une source au Mont Dore qui s'appelle la source des chanteurs. .... Assez amusant que même Clermont TV fait la faute classique en indiquant partout : Mont d'or....
Pour organiser vos vacances (ah, oui, on ne peut pas soutenir l'économie locale que par le soutien à un artiste local):
http://www.sancy.com/e-default.cfm?CFID=73034080&CFTOKEN=98212580
3)

ARCADE
3, rue Jean Maridor
76330 NOTRE DAME DE GRAVENCHON
Le vendredi 12 mars 2010 à 20:30

Jean-Louis Murat le 12 mars à l'Arcade de Notre Dame de Gravenchon.
Artiste énigmatique, ancré dans ses montagnes natales du Massif Central, Jean-Louis Murat a un parcours douloureux et troublant dont ses chansons se font l'écho plaintif et poétique. Son premier album « Suicidez-vous, le peuple est mort » situe d’emblée son répertoire dans un registre sombre et romantique, qu’il n’a de cesse de faire évoluer. Auteur, compositeur, multi instrumentiste à la créativité fertile, Jean-Louis Murat sort près d’un album par an, ce qui donne l’occasion de grandes tournées longuement préparées, aucune ne ressemblant à la précédente.