Publié le 19 Novembre 2011

 

 

Je vous fais vite fait quelques articles... sans trop de commentaires... pas le temps, avec la purée de céleri et le ménage.... et mon compte rendu de Florent Marchet qui attendra un peu...

 

 

 

1) L'ami Baptiste Vignol m'a fait part de son article sur Murat sur son excellent blog...  J'ai cru que Murat allait passer un mauvais quart d'heure aux premiers mots...  mais  Baptiste l'absout..... et oh combien...

 

A lire absolument :

 

 

Est-ce rationnel d'aimer la chanson française tout en supportant (d'après l'anglais to support) Jean-Louis Murat bien que lui la déteste?  la suite ici:

http://delafenetredenhaut.blogspot.com/

 

 

 

 

2)   L'interview de la nuit sur inter:conduite accompagnée...

 

http://www.franceinter.fr/emission-conduite-accompagnee-jean-louis-murat-accompagnee-de-laeticia-masson

 une heure avec Murat et Laetitia Masson...

 

On y apprend que Masson a filmé le tournage de "grand lièvre"... que le film est fait... mais que rien n'en est fait pour l'instant... Espérait-elle pouvoir le sortir en salle? ou une diffusion télé? ....... Dommage...  Et pourquoi pas un DVD dans la boutique de Jocelyne au moins?

 

 

 

                                           Un des livres de Baptiste Vignol... sur Renaud justement... dont on parle en ce moment...

Retrouvez l'inter-ViOUS et Murat de B. Vignol : http://www.surjeanlouismurat.com/article-inter-vious-et-murat-numero-2-baptiste-vignol-43908114.html

 

 

renaud

 

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

Repost0

Publié le 19 Novembre 2011

 

Voici un premier compte-rendu par l'ami PASCAL!

 

 

Murat, dynamite la Dynamo !

En ce troisième Jeudi de Novembre, même si une autre substance fut mise
à l'honneur, et Toulouse n'est pas en reste, pour preuve l'activité
nocturne et autre vie estudiantine intense. Dès rapprochement du centre
ville, ce fût d'une autre substance que je m’apprêtais à me délecter ce
soir-là et sans modération !
Parti à la hâte et quelques chemins de traverses plus tard, j'arrivai
enfin au lieu-dit, à la réputation d'une programmation sans faille.
Salle bondée, tiens « Vendre les prés » en substance, je suis
réellement arrivé à la bourre cette fois-ci.Tant pis pour l’apéritif!
Je reconnais Jocelyne et son stand en fond de salle, parquée non loin
du bar, fermé à l'heure où j'arrive, D'ailleurs il fut vite pris
d'assaut en guise de promontoire, d'autres avaient pu s'installer en
mezzanine pour admirer haut la scène, éclairée de mille feux. Mention
spéciale lorsque les mots prennent vie et voir cette  scène toute
entière « scellée de bleu », Murat nous embarque et surprise quand
« sortir en mer » rime avec  4 petites lumières verticales qui
s'allument soudainement, tel un Phare,pour sûr, c'était celui d'
« Alexandrie ». Set-list habituelle qui se prête à merveille dans le
décor d'enfer de cette petite salle où un crâne trône aux  pieds d'une
statue de la Sainte Vierge. L'âme rock plane ici et cela se ressent,le
public est conquis. Murat, dynamite en final la Dynamo , « Jaguar »
explosif et acclamé par tous  ses ouailles.

Pascal

 

 

Si vous avez été présents, n'hésitez pas à laisser vos commentaires!

 

 

 

En attendant l'interview dans la charente libre en intégralité:

http://www.charentelibre.fr/2011/11/18/je-suis-une-espece-en-voie-de-disparition,1065509.php

«Je suis une espèce en voie de disparition»

Jean-Louis Murat débarque
à La Nef ce soir avec son album «Grand lièvre» L'occasion
de discuter de sa poésie du terroir mais aussi de Zidane ou Noah Et ça envoie...

«Je suis Auvergnat, j\'habite là-bas donc je ne vais pas dire le contraire. Forcément, ma nature m\'inspire plus.». Photo Carole Epinette
«Je suis Auvergnat, j'habite là-bas donc je ne vais pas dire le contraire. Forcément, ma nature m'inspire plus.». Photo Carole Epinette 

Des enregistrements qui disparaissent, des joggings dans sa campagne auvergnate menacés par des chasseurs ou des champions qu'ils envoient dans les balustrades comme les «saloperies de touristes»: même dans ses interviews, Jean-Louis Murat n'est pas un chanteur comme les autres. Le verbe haut et le regard fier, le poète prolixe promène sa plume dans la plaie avec humour et autodérision. A chacun ensuite de décortiquer le premier ou le second degré d'un artiste prêt à tout, même à rater son concert jeudi à La Nef.

 

Si on vous dit que vous êtes un poète du terroir, ça vous va comme définition ?

Jean-Louis Murat. Je suis Auvergnat, j'habite là-bas donc je ne vais pas dire le contraire. Forcément, ma nature m'inspire plus. Mais je me dis pas: "Tiens, je vais chanter la terre !"

 

Pourquoi ce titre d'album «Grand Lièvre» ? Comme dirait Flaubert à propos de sa Madame Bovary, «Grand Lièvre», c'est vous ?

C'est sûrement bien moi, oui. Tout ce que je fais, c'est en pensant à moi. Je suis un monstre égoïste. Et le grand lièvre est comme moi: une espèce en voie de disparition.

 

Aucune chanson de l'album ne s'appelle comme ça: pourquoi alors l'appeler «Grand Lièvre»?

En fait, j'ai paumé la chanson. ce n'est ni la première et ni la dernière fois que ça m'arrive.

 

Comment fait-on pour «paumer» une chanson ? !

Je travaille à l'ancienne. Faire une chanson, ça me prend comme une envie de pisser. Donc je mets le titre sur la cassette et les paroles sur des feuilles volantes. Et je les ai perdues. Ecrire, c'est comme être sur un transat au milieu de la mer: je ne vais pas plonger en arrière pour la récupérer. Faut avancer.

 

Pour composer, on vous imagine dans votre ferme d'Auvergne, à la tombée de la nuit devant une cheminée face à la chaîne des volcans...

Alors là, ça me couperait la chique ! Je suis dans une petite bergerie où je ne vois pas grand-chose avec un souk pas possible. Et j'écris aux heures où mes enfants dorment.

 

Vous débarquez en Charente: à quoi peut s'attendre le public de La Nef ?

Je vais faire comme je me sens. Je peux vraiment m'envoyer si je suis bien. Mais si je suis un peu grognon, je peux aussi saloper une chanson voire tout un concert. Ce qui est bien avec mes fans depuis trente ans, c'est qu'ils sont à la fois très attentifs et très sévères. J'aime quand ils viennent m'engueuler.

 

La Charente selon le Guide du routard, c'est «un département très discret voire secret, peut-être aussi jaloux de ses richesses et de sa tranquillité»: vous allez vous sentir ici comme chez vous dans le Cantal, non ?

Oui, c'est un peu l'esprit là-bas, avec en plus les montagnes comme signes d'indication. Si on peut préserver ça pour éviter les saloperies de touristes... Je les déteste ! Quand je dois passer par La Bourboule, je fais un détour de 10 kilomètres. Quand je pense que je suis né sur cette commune, c'est une profonde injustice !

 

A l'image de la chanson «Le champion espagnol» en hommage au cycliste Federico Bahamontes sur les pentes du Tourmalet, vous aimez aussi le sport à condition qu'il offre des moments de poésie...

J'aime les champions, les exploits. Ce sont souvent des gens simples qui se dépassent.

 

Vous faites le lien entre musique et sport ?

Il y a pour moi un challenge sportif dans la musique. On me demande souvent pourquoi je fais un album chaque année. C'est mon Tour de France et le Tour, c'est tous les ans.

 

Vous devez admirer Yannick Noah alors ?

Mais ça ne va pas ! Ce n'est pas un champion, lui: il a gagné Roland-Garros chargé comme une mule en 1983, tout le monde le sait. Et puis cet été aux Francofolies, il reprend «Highway to hell» d'ACDC... Où on est là ? !

 

Zidane ce n'est pas non plus votre tasse de thé: vous avez déclaré qu'il avait «le QI d'une courge»...

J'ai toujours eu de gros problèmes avec ses mauvais gestes. C'est une petite frappe à trois francs. Platini ou Messi ne mettraient jamais un coup de boule à un adversaire, c'est pour ça aussi que je les admire.

 

Après ces émotions sportives, revenons à la poésie: quel est le dernier moment poétique que vous avez vécu ?

C'était ce matin. J'ai couru dans le brouillard chez moi. On n'y voyait pas à dix mètres et il y avait des chasseurs tout autour. Et j'ai été obligé de mettre un gilet fluo. Je me voyais, petite tache fluo, au milieu du néant et des chasseurs, c'était pas mal. Même si une chose me pendait au nez: ils allaient me tirer comme un grand lièvre.

 

Jeudi 18 novembre, 20h30 à La Nef. Abonnés 17 €, non abonnés 22 € (24 € sur place).

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

Repost0

Publié le 18 Novembre 2011

 

Après avoir vu une photo du CD sampler et avoir eu confirmation de "tous les chanteurs sont malheureux"  figurait dessus, j'ai réadressé une demande à Libé sur le mail qui avait été donné pour les abonnés....  J'avais tenté ma chance dès que j'avais eu l'information...en arguant du blog et du fait que je relayais souvent les infos de Bayon... Sur mon deuxième mail, je suis allé jusqu'à demander qu'on transfère mon mail à B....

 

Mais je n'avais pas beaucoup d'espoir... Si bien qu'en recevant une publicité pour m'abonner numériquement à Libé....  j'ai refait une tentative de négocation: un abonnement contre un  petit cadeau!!  Et ça a été accepté... en m'indiquant qu'il ne restait que quelques exemplaires....  Et je me suis précipité pour m'abonner hier matin... 

Le soir venu, je rentre chez moi, et j'ouvre ma boite aux lettres... et surprise :  Une lettre venant du journal LIBERATION...

 

LE SAMPLER  VENDRE LES PRES!!

 

Mes deux demandes se sont croisés!!  Et je me retrouve abonné.... à Libé...   J'attends de savoir si j'aurai droit à un deuxième exemplaire du coup!!

 

Enfin, soit, comme je m'y suis engagé, je reste abonné... au moins quelques mois...  (va falloir que je pense à aller lire l'édition numérique...).

 

Bon, vous savez tout...  comme d'habitude...

 

Alors?  ce sampler?   Le voila:

 

SAM_5067.JPG


 


SAM_5069.JPG

 

 

A noter donc le petit coup de main de la Région Auvergne!  D'après Didier, il n'a été imprimé qu'à une centaine d'exemplaires... Ca m'étonne un peu car à ce ce volume, ça aurait été une édition numérotée...si on reste sur ce que l'on a connu...

 

   Allez, bonne soirée, m'en vais me préparer à partir pour Florent MARCHET....   ma 4e date sur ce never ending courchevel tour....  mais je vous laisse avec deux minutes de jean-Louis MURAT sur OUI FM:

 

http://www.ouifm.fr/jean-louis-murat-vous-avez-deux-minutes-3

podcast (clic droit, enregistrez sous...).

 

 

  EDIT 23/11 : j'ai hésité un peu le dire... mais.... j'ai bien reçu un deuxième exemplaire ce jour!  Via semble-t-il un autre service... Ils n'ont pas fait de liste comme je l'avais bien pensé...   

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

Repost0

Publié le 17 Novembre 2011

 

J'ai dit et répété que nombreux étaient ceux qui avaient adoré la prestation live de Jean-Louis Murat sur cette tournée... Des fans qui le voient en concert depuis 15 ans ont jugé sa prestation comme exceptionnelle (à Lyon,Grenoble)... Pour ma part, pas d'adhésion à 100%, mais à 80...du fait de la set-liste surtout.

 

Par contre, de ci, de là... on trouve quelques critiques assez sévères..et intéressante car venant de "fans".

 

Par exemple sur le concert de Nancy :

Assez drôle (si on prend le côté satirique de la chose)...mais une sévérité peut-être guidée par le refus de Jean-Louis Murat qu'on fasse des photos en concert...

http://www.melting-actu.com/article-live-report-jean-louis-murat-l-autre-canal-88937409.html 

Par ailleurs, on peut s'interroger, non seulement sur les oreilles, mais les yeux du critique : Stéphane Reynaud serait chauve!    Et d'abord, il n'est pas gros... il est né à Thonon au pays de l'abondance, c'est tout.

 

 

Du côté des commentaires chez Parlhot, on voit également que S. Fesson n'a pas tout goûté... évoquant ZZ TOP (et "le blues rock à papa")... que Murat apprécie par ailleurs!

http://www.parlhot.com/itw-rock/jean-louis-murat-grand-lievre/#comment-329

 

 

Enfin, j'ai reçu un message privé sur FB d'une admiratrice... pas de moi, hélas... mais de Murat... qui avait sur le coeur de partager ses impressions... et n'a pas osé le faire sur le mur de Mumu... pour des raisons qu'elle évoque:

 

Par ailleurs, je suis allee au concert de paris que j'ai trouve tres médiocre à plus d'un titre. Les chansons de l'album n'etaient pas retravaillees, elles étaient livrées de facon tres brute ( mais sans le charme des choses authentiques) en pature au public. Toutes les chansons étaient rock, et passaient les unes apres les autres sans transition (on en a l'habitude). Sauf que dans ce chaos bruyant, pas de transition rime avec pas d'emotion. Aucune chanson douce ou lente n'a ete murmuree comme au bon vieux temps, le concert en est meme devenu fatigant. La reprise de bashung etait inaudible, inarticulee sous des violentes guitares. Je n'en retiens qu'un vague brouhaha. Enfin, les choeurs avec fred infantilisaient le public, et jlm m'a semble a plusieurs reprises absent de ses propres mots, absents de certaines emotions, uniquement concentre sur la musique. Ile m'a donne l'insupportable impression de "faire le job". Bref, c'est le concert le plus decevant auquel j'ai assiste... Et pourtant, j'aime immensement l'artiste. Vous avec bien fait de ne pas y aller. Bien a vous.

Ps: j'ai apercu votre profil en regardant l'actualite de murat sur fb et je me suis ainsi permis de vous ecrire. Je n'avais pas envie d'ecrire publiquement sur le mur pour ne pas casser jlm devant trop de personnes et freiner l'enthousiasme de ceux qui voudraient aller aux prochains concert. Par ailleurs, je trouve que jlm devrait etre beaucoup plus ambitieux et exigeant avec lui meme au niveau de la musique et des textes de grand lievre... Les rouges souliers est tres mal construite , le sens des paroles du refrain ne fait pas echo au sens des paroles des couplets... La musique de sans pitie pour le cheval ressemble bcp a celle de certaines chansons de 1829, et chanter le guerre ne lui va pas tres bien: le ton avec lequel il dit prions pour les disparus tous emportes n'invite pas trop à la priere... Voila, j'avais ça sur le coeur, alors autant partager avec un connaisseur!
Jlm reste pour moi (et de tres loin) le chanteur le plus passionnant en France.

 

 

Ce message m'a beaucoup intéressé et un rien émouvant venu d'une totale inconnue et ne comptant pas parmis les contacts de Surjeanlouismurat sur FB.  Le fait est qu'elle exprime des remarques assez pertinentes... même si on peut retrouver dans ces propos  une séparation assez classique : Certains fans apprécient moins le Murat blues rock et cherchent avant tout à le retrouver dans l'émotion...Je repense ainsi à Nathalie le soir du Kao qui était une de seules à avoir préféré le concert solo (vu à Bourgoin, 1ere date de la tournée Tristan).    Personnellement, avec sa guitare électrique, il me donne une grande grande émotion, comme sur Alexandrie, qu'est-ce que ça veut dire... ou sur l'intro du Jaguar.. ou même Alcaline...  dans ce déchainement et cette auto-destruction enjouée... ou quelque chose comme ça. 

 

 

rio9

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

Repost0

Publié le 17 Novembre 2011

 

Après une très bonne série d'interviews apaisées, liées aussi aux questions qui n'avaient pas pour but d'aller chercher les petites phrases.... Retrouvera-t-on demain le Murat  "porte-flingue?"

 

C'est ce qui semble s'annoncer :

 http://www.charentelibre.fr/2011/11/17/jean-louis-murat-flingue-noah-et-zidane,1065436.php

 

Murat flingue Noah et Zidane:

Jean-Louis Murat, qui sera en concert demain à la Nef, n'a pas peur de déboulonner les statues. Dans une interview à lire demain dans CL, le chanteur, qui consacre une de ses dernières chansons au champion cycliste Bahamontès, n'est pas tendre avec les deux anciens sportifs préférés des Français.

A propos de Noah: "Ce n’est pas un champion, lui: il a gagné Roland-Garros chargé comme une mule en 1983, tout le monde le sait. Et puis cet été aux Francofolies, il reprend «Highway to hell» d’ACDC... Où on est là?!".

Et sur Zidane, dont il avait déjà dit qu’il avait «le QI d’une courge»...: "J’ai toujours eu de gros problèmes avec ses mauvais gestes. C’est une petite frappe à trois francs. Platini ou Messi ne mettraient jamais un coup de boule à un adversaire, c’est pour ça aussi que je les admire."

 

La charente libre aurait pu intituler l'article : Murat félicite Platini et MEssi... au lieu de ça...  

 

 

 

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

Repost0

Publié le 17 Novembre 2011

 

 

Allez, on prend ses petites habitudes et on ouvre un  article pour vous laisser  écouler vos salves de joie et d'émotions, et votre angoulement, heureux spectacteurs du pectacle de Jean-Louis Murat de demain à ANGOULEME...

 

 

Article du jour avec interview dans SUD-OUEST pour l'annoncer:

http://www.sudouest.fr/2011/11/17/la-voix-de-murat-555415-4720.php

 

Angoulême

La voix de Murat

Le chanteur auvergnat se produira demain soir à La Nef. Sa tournée fait suite à la sortie de son dernier album, « Grand lièvre ».

 Jean-Louis Murat : « Je préfère lorsque mes chansons sont plus personnelles parce que j'ai l'impression qu'ainsi, elles s'useront moins vite. » photo dr
Jean-Louis Murat : « Je préfère lorsque mes chansons sont plus personnelles parce que j'ai l'impression qu'ainsi, elles s'useront moins vite. » photo dr
 
I

Les oreilles qui le suivent depuis les années 80 notent que sur son nouvel album, la voix de Jean-Louis Murat n'a pas pris une ride. Le même timbre, avec un accent du Sud-Ouest sur certaines voyelles. « C'est parce que le patois auvergnat n'est rien d'autre que de l'occitan », explique le chanteur qui se produira en concert demain, à La Nef (1). Rencontre avec un Auvergnat (pas) comme les autres.

« Sud Ouest ». Ce n'est pas la première fois que vous venez chanter à Angoulême ?

Jean-Louis Murat. Non. La dernière fois, c'était il y a quatre ou cinq ans et je m'en souviens très bien : j'avais mangé des huîtres juste avant le concert et j'ai été malade toute la soirée.

« Sud Ouest ». Votre dernier album s'intitule « Grand lièvre ». Pourquoi ?

Jean-Louis Murat. Pour que les gens se posent des questions, et je vois que ça marche. C'était aussi le titre d'une chanson que je n'ai finalement pas retenue sur l'album.

Pourquoi n'avez-vous pas retenu cette chanson ?

Elle s'est mal débrouillée. Il y a des chansons pas très malignes, qui loupent le bus… Des chansons un peu tocardes.

Vous avez intégré des chœurs sur ce nouvel album, fait nouveau chez vous. Pourquoi ce changement ?

J'ai toujours aimé les chœurs. Mais je me disais que c'était un truc de filles, qu'il fallait leur laisser les chœurs un peu comme on leur laisse le ménage. Quelque chose de machiste, comme ça… Alors vous voyez, c'est comme si j'épousais une cause féministe en faisant chanter des hommes en chœur. Je me suis amusé à les enregistrer assez fort, à la façon des années 70.

La plupart de vos textes laissent beaucoup de place à l'imagination. Trois chansons de ce nouvel album - « Je voudrais me perdre de vue », « Vendre les prés » et « Le Champion espagnol » - sont différentes. Presque plus accessibles ?

Ces trois textes sont assez narratifs. Mais je préfère lorsque mes chansons sont plus personnelles parce que j'ai l'impression qu'ainsi, elles s'useront moins vite. Et que du coup, moi aussi, je m'userai moins vite. Je n'aime pas être saisi.

Pouvez-vous m'expliquer ce que vous avez voulu raconter dans la chanson « Alexandrie » ?

« Alexandrie » parle de voyage. Elle fait référence à Alexandre le Grand, Cléopâtre… J'aime l'Histoire. Et puis c'est une chanson à la mémoire d'une amie qui s'est tuée à moto. À chaque fois que je la chante, je pense à elle.

Et « La Lettre de la pampa » ?

Cette chanson-là évoque l'idée d'être retiré du monde. Moi je me trouverais sûrement mieux sur la Lune, ou en tout cas ailleurs sur Terre…

Pourtant, vous vivez en Auvergne. On fait difficilement plus « terrien »…

J'ai effectivement acheté une vieille ferme en Auverge, il y a vingt ans. C'est parce que c'est là d'où je viens. Le hasard m'a fait Auvergnat.

Vous entendez-vous bien avec les Auvergnats ?

Non. Les paysans auvergnats ne s'entendent avec personne et moi non plus.

Propos recueillis par catherine methon

Jean-Louis Murat, en concert à La Nef, rue Louis-Pergaud, à Angoulême, demain, à 20 h 30.

Abonnés : 17 €. Location : 22 €. Sur place : 24 €. Tél. 05 45 25 97 00.

 

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

Repost0

Publié le 16 Novembre 2011

 

Interview réalisée avant son concert de Liège...

http://blog.lesoir.be/frontstage/2011/11/15/murat-offensif-et-jamais-resigne/

 

Encore une fois, Murat nous surprend en parlant de vanité à vouloir sortir un album par an... et évoque le souhait d'aller à l'essentiel... Etonnant, non?  La suite  (sur la fin) est également prometteuse... Une nouvelle ère?

 

 

Une question m'a surprise également :  

"Si musicalement, ce « Grand Lièvre » peut un peu nous rappeler « Le manteau de pluie », dans les textes par contre, tu as rarement été aussi compréhensible…"

 

 

Une des critiques sur l'album  était pourtant l'incompréhension autour des textes... 

 

voici la réponse:

Ça aussi, c’est beaucoup les enfants qui disaient : on comprend rien à tes chansons, papa. Ils ont 4 et 7 ans. C’est un des avantages de mûrir ou de vieillir : on simplifie les choses.

 

 

A lire sur le blog.le soir.be.....

 

 

 

LE LIEN EN PLUS:

 

La positive attitude oui...

Mais qu'est-ce que la "jean-louis murat attitude"?

 

trouvé sur twitter:

J'aime bien cette "Jean Louis Murat attitude" de BNN
(Je ne connaissais même pas ces BNN...)

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

Repost0

Publié le 15 Novembre 2011

 

 

On avait connu Pierre Andrieu assez critique dernièrement... et c'est donc  avec plaisir qu'on lit ses impressions très positives sur le concert du trianon:

 http://www.concertandco.com/ville/paris/jean-louis-murat-jp-nataf/critique-concert-1-1-40901.htm

A l'heure exacte annoncée, 20h25, Murat et son groupe (Fred Jimenez à la basse et aux chœurs, Stéphane Reynaud à la batterie et Slim Batteux à l'orgue, tous les trois à saluer pour leur prestation) montent sur les planches avec la ferme intention d'enchainer – en guise d'entrée et de plat de résistance – les titres du dernier album, le léger, intense et long en bouche Grand Lièvre... Toujours facétieux Jean-Louis, puisqu'il décide de dérouler son oeuvre la plus récente à l'envers et en omettant de jouer l'une des meilleures nouvelles compositions, Je voudrais me perdre de vue. Pas bien grave puisque le disque est globalement très bon et que les titres choisis sont joués avec foi et concentration... Seul gros hic, un son de basse bourdonnant qui couvre le reste des instruments au début du set. C'est énervant d'autant que les chansons sont superbes, que les lumières sont réellement admirables (et parfaites pour l'univers muratien) et que Monsieur Bergheaud est en forme vocale... la suite à lire sur concertand co...

 

 

A part ça, une petite annonce du concert au Botanique:

  http://www.moustique.be/culture/botanique/59294/murat-au-bota

Après son album "Le cours ordinaire des choses" enregistré en grande partie à Nashville, ville mythique de la country, Jean-Louis Murat est revenu à la campagne, dans son Auvergne adorée.

 "Vous pouvez appeler ça un retour à la terre. J’assume ce vrai cliché de l’artiste qui a besoin de retrouver ses racines pour créer." Il a donc mis son nouveau disque, "Grand lièvre", en boîte au milieu des champs. Après une prestation électrique et sans faux col à Liège voici un mois, il revient, cette fois à Bruxelles.

La prestation comprendra forcément une large représentation des balades bucolico-dépressives de "Grand lièvre" où l'artiste s'est "amusé à superposer des textes très noirs à des mélodies vachement légères", mais aussi une série d’anciens titres. "Je ne prépare pas vraiment de liste de morceaux à jouer avant un concert", nous a-t-il expliqué. "Pour l’enregistrement des disques, je me fixe de vraies journées de travail bien carrées - comme si j’allais au bureau - mais

les prestations sur scène doivent laisser place à une certaine improvisation pour gagner en spontanéité et donc en intérêt. Pour résumer: je ne sais pas encore ce que je ferai au Bota, mais je promets de bien le faire." Message reçu.

> Le 20/11. Botanique, rue Royale 236, 1210 Saint-Josse. À partir de 20 €. www.botanique.be

 

 

 Quant à la nouvelle du jour : l'écriture d'un titre pour Indochine et le petit compliment adressé à Nicola Sirkis (cf les articles précédents)... Ellle est bien relayée sur twitter par les fans d'INDOCHINE..

Au milieu de ceux-là, ce twitt:

 

:
 
Alors Dieu lui demanda de murer. Et Jean-Louis Murat.

 

  Je vous laisse y réfléchir...

 

 

 

LE LIEN EN PLUS :

 

http://www.rue89lyon.fr/2011/11/14/florent-marchet/

Mon prochain concert...  (Florent Marchet se prononce contre HADOPI... )

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

Repost0

Publié le 15 Novembre 2011

 

 

 

Un nouvel album pour le troubadour auvergnat : « Grand lièvre » a pointé ses oreilles en septembre. - 

Déjà deux ans que Jean-Louis Murat n'avait écrit un album. Oubli réparé avec Grand lièvre et une tournée pour le découvrir. Discussion avec l'artiste depuis sa maison en Auvergne.
Comment se passe la tournée ?

« Bien. J'aime être sur les routes, en concert et en tournée. Le temps d'un concert, je recharge les piles. »
Dans quel état d'esprit avez-vous écrit cet album ?

« C'était en France, en Provence, donc une ambiance particulière. Je n'étais pas aussi serein que d'habitude. L'atmosphère n'était pas détendue, je ne sais pas pourquoi. »
La légende dit que vous écrivez une chanson par jour, est-ce vrai ?

« C'est moi qui dis ça ! Et c'est vrai. Quand je suis en période de création, j'écris plusieurs chansons par jour, à la façon d'un cinéaste qui fait plusieurs prises et ne garde que les meilleures. Je suis très discipliné, je travaille tous les jours. J'aime l'idée de travailler, et j'aime beaucoup travailler. Sûrement parce que je fais ce que j'aime. »
Une des chansons de votre nouvel album s'intitule : « Qu'est-ce que ça veut dire ? » Est-ce une réflexion sur la vie ?

« C'est une phrase que l'on entend partout et c'est aussi une réflexion d'enfant. Le refrain '' Hello, hello hello '' a beaucoup amusé mes enfants lorsqu'on le chantait tous ensemble. »
Parlons un peu de vous. Petit, comment vous imaginiez-vous ?

« Je m'imaginais être plus que ce que je suis. Je ne pensais pas finir en petit chanteur provincial. Je rêvais de gagner le Tour de France, je voulais être un sportif de haut niveau. La chanson est une passion de seconde main. »
Pouvez-vous citer un endroit qui vous ressemble.

« Les endroits que j'aime sont vierges de toute civilisation, de plus en plus difficiles à trouver. Dans mon bureau, mon antre, je suis tout seul et là, je suis bien. C'est mon côté farouche, auvergnat qui ressort. Et paradoxalement sur scène, où je me sens seul. La solitude est un état qui me convient. »
Si vous deviez partir sur une île déserte, qu'emmèneriez-vous ?

« La femme que j'aime pour faire des enfants. Des manuels et du matériel de bricolage. J'aime beaucoup les outils, j'aime bricoler. Je suis fétichiste des outils, j'adore les haches, j'en ai beaucoup chez moi en Auvergne. »
Quel est votre principal trait de caractère ?

« Je suis fidèle en amitié. Je suis aussi de caractère instable, contradictoire, je change souvent d'avis et c'est difficile à vivre, pour les autres. Je suis imprévisible, et pourtant, j'aimerais être plus constant. Je suis un peu chiant parce que je ne m'aime pas. »
Quel air chantez-vous sous la douche ?

« Je ne chante pas sous la douche. Comme je suis toujours en train d'écrire, ce sont souvent les airs en création que je fredonne. Mais ce qui viendrait le plus facilement à la bouche, ce serait des chansons stupides ou des chansonnettes comme '' Sacré Charlemagne '' de Sheila. »
Avez-vous un péché mignon ?

« Oui, le chocolat ! Mais le bon. Je n'ai aucune résistance au chocolat, quand j'entame une tablette, je la finis, j'en mange à me rendre malade. J'ai fait une tentative de suicide au Ragusa, un excellent chocolat suisse. »
Avez-vous imaginé un duo. Avec qui le feriez-vous ?

« Avec Camille, sans hésitation. C'est une artiste qui a un monde intérieur très très vaste. On a déjà tenté l'expérience, et je suis prêt à recommencer quand elle veut. »
Si vous pouviez être quelqu'un d'autre ?

« Je serais une vache auvergnate, une salers bien sûr, parce que je crois que la vache est un humain qui a choisi de se taire. Je pourrais aussi être saint François d'Assise pour son respect envers toutes les créatures. »
Qu'aimeriez-vous qu'on dise de vous, quand vous ne serez plus là ?

« Il fut un bon papa. »

Jean-Louis Murat en concert au Chato'do le samedi 19 novembre, à 20 h 30.

Propos recueillis
par Anne Richoux

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

Repost0

Publié le 15 Novembre 2011

 

 

On y apprend surtout que Murat a écrit pour Patricia Kaas et INDOCHINE encore. On en est au stade des projets ! A noter également une politesse de Murat envers Nicola Sirkis... comme quoi... Autre scoop:  il travaille encore sur une BO... 

http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/15/1215645-quand-murat-fait-campagne-a-la-dynamo.html

 

 

 

 

Publié le 15/11/2011 03:48 | Propos recueillis par Jean-Marc Le Scouarnec
Quand Murat fait campagne à la Dynamo

chanson

Jean-Louis Murat écrit en ce moment pour Indochine : « Je vois le public, les refrains qu'il va reprendre. C'est agréable de s'adresser à 200 000 personnes plutôt qu'à 200 ! »./Photo Carole Epinette
Jean-Louis Murat écrit en ce moment pour Indochine : « Je vois le public, les refrains qu'il va reprendre. C'est agréable de s'adresser à 200 000 personnes plutôt qu'à 200 ! »./Photo Carole Epinette
Jean-Louis Murat écrit en ce moment pour Indochine : « Je vois le public, les refrains qu'il va reprendre. C'est agréable de s'adresser à 200 000 personnes plutôt qu'à 200 ! »./Photo Carole Epinette

La dernière fois, c'était à Odyssud, salle confortable et paisible pour chanteurs installés. Cette année, Jean-Louis Murat vient en concert à la Dynamo, sorte de petit Bikini généralement axé sur les groupes prometteurs. Dans le métier depuis des décennies, le chanteur auvergnat s'adapte à la crise, ne reniant rien de son exigence, quitte à y laisser des plumes.

C'est dur d'être chanteur aujourd'hui ?

J'ai toujours eu plus besoin de mécènes que de maison de disques ! Mais dans ce contexte délicat, il faut éviter l'amertume, la rancœur et prendre tout cela comme une leçon de vie. Le quasi-insuccès dans lequel se passe ma carrière me forge le caractère. Je suis beaucoup plus fataliste, j'arrive à mieux canaliser mes exaspérations. C'est sans doute cela la maturité.

« Grand lièvre » a été enregistré en quelques jours, « dans les conditions du live ». Et pourtant la palette musicale est très riche…

C'est le travail en amont qui compte. Et je trouve là ce que je cherche depuis pas mal de temps : la simplicité, la spontanéité. C'est l'avantage de la crise : il y a de moins en moins d'argent, on est obligé de travailler rapidement, d'agir comme au tir à l'arc, mettre dans le mille très rapidement.

Vous aimez les contraintes ?

Quand j'enregistre un disque, j'essaye toujours de définir ce que je mets sur la palette. Là j'ai décidé d'utiliser exclusivement une guitare acoustique 12 cordes et d'être accompagné par un trio basse-batterie-clavier. J'aime les paris, la contrainte peut être fructueuse.

Sur le plan des textes, l'humeur est plutôt mélancolique…

C'est très vrai sur ce disque-là. L'écriture des chansons s'est déroulée alors que j'étais dans une dépression carabinée. J'ai fini par passer mes nuits aux urgences avec les suicidés ! Je suis sorti du trou en 44 marches (44 chansons). Chaque jour, grâce à mon travail, j'allais un peu mieux. A la fin, j'ai eu l'impression de sortir et de voir la lumière.

La vie à la campagne est-elle si dure ?

Je vis au diapason des saisons et si ça ne va pas, j'attends le printemps. Vivre au milieu de la nature, dans une ferme isolée, fait partie du processus de survie même si on se prend tout : le froid, le vent, la pluie en pleine figure. J'écris des chansons dans cet univers-là, dans la sous-pente d'une petite bergerie, souvent la nuit. Il y a le ciel au-dessus de moi. Je vois passer des renards, des buses… des lièvres.

Comment vos enfants vivent-ils cela ?

Le matin, on fait le tour de la maison pour découvrir les traces d'animaux. Mes enfants n'ont que 4 et 7 ans, ça leur plaît infiniment de vivre à la campagne et pour le moment j'en profite. Je lutte contre le mythe du progrès épanouissant. La vie sans portable, sans télé, sans ordinateur, ça leur va. Ils préfèrent tellement construire une cabane à côté avec une hache et un couteau. Quand on leur a acheté une WII et une console DS, ils n'ont joué que 10 minutes puis tout est reparti dans les cartons. Entre l'écran et les bois, le choix était vite fait. Pour autant, je ne les tiens pas éloignés de la ville, j'essaye de les shooter à la réalité forte. Quand on part, c'est à Barcelone ou à New York, pas à Clermont.

L'an dernier, vous aviez écrit une chanson pour Françoise Hardy. Vous continuez ?

Oui mais pas pour elle. J'ai travaillé pour Isabelle Boulay et j'ai des projets avec Patricia Kaas, que je connais depuis ses débuts. Et j'ai proposé quelque chose à Indochine. C'est pas compliqué, pendant deux heures, j'imagine être le chanteur d'Indochine ; je vois le public, les refrains qu'il va reprendre. C'est agréable de s'adresser à 200 000 personnes plutôt qu'à 200 ! Et puis, Nicola Sirkis est la personne la plus polie du show-business. Je lui ai envoyé une chanson et il m'a répondu le lendemain. Souvent, on a aucune nouvelle pendant un an.

Et le cinéma ?

Je continue de travailler avec Laeticia Masson pour la musique de ses films. Comme acteur, j'ai pas vraiment envie. C'est un métier de fainéant idéal pour faire un hold-up. Mais il faut attendre des plombes pour dire trois phrases. On s'emmerde tellement, autant être bien payé. J'ai dit non à Michael Haneke, j'ai fait faux bond à Lars Von Trier. Je suis resté en état de nostalgie de côtoyer Kieslowski. J'avais écrit la chanson de « Rouge », j'étais parti à Varsovie. Il voulait travailler avec moi mais il est mort trop tôt. Il disait de moi : « Vous êtes un ange ».

Jean-Louis Murat en concert, jeudi 17 novembre à 20h30 à la Dynamo (rue Amélie), Toulouse. Tarif : 24€. Tél.05 62 73 44 77 (www.bleucitron.net).

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

Repost0