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Publié le 5 Mai 2020

Allez, une petite pensée aux grands confinés urbains... Je leur offre un reportage... sous les acacias... J'espère que l'odeur vous parviendra. Immersion dans LE VERT!

Clichés n°48: Parfum d'acacia au bout du bout du jardinClichés n°48: Parfum d'acacia au bout du bout du jardin
Clichés n°48: Parfum d'acacia au bout du bout du jardin

 

 

 

 

 

 

Clichés n°48: Parfum d'acacia au bout du bout du jardin
Clichés n°48: Parfum d'acacia au bout du bout du jardin

 

Clichés n°48: Parfum d'acacia au bout du bout du jardinClichés n°48: Parfum d'acacia au bout du bout du jardin
Clichés n°48: Parfum d'acacia au bout du bout du jardin
Clichés n°48: Parfum d'acacia au bout du bout du jardin
Clichés n°48: Parfum d'acacia au bout du bout du jardin
Clichés n°48: Parfum d'acacia au bout du bout du jardin
Clichés n°48: Parfum d'acacia au bout du bout du jardin
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Clichés n°48: Parfum d'acacia au bout du bout du jardin
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Rédigé par Pierrot

Publié dans #montagne - rando et photos

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Publié le 5 Mai 2020

Mais bon sang, c'est ma foi vrai! On n'avait rien eu de Libé sur Baby love... a-t-il fallu tout ce temps de confinement pour que quelqu'un de là-bas se dise : je vais peut-être écouter le dernier Murat? ...Bon, c'est positif mais le coeur n'y est pas...

https://next.liberation.fr/musique/2020/05/04/murat-du-morose-au-rose-vif_1787323

publication 4/5/2020, internet

Critique
Murat, du morose au rose vif
Par Charline Lecarpentier

Avec son vingtième album, «Baby Love», l’Auvergnat goûte à un groove inattendu et décomplexé.

On n’attendait pas autant de suavité de la part de l’auteur de Suicidez-vous le peuple est mort (1981), mais bienvenue à elle ! Sur Baby Love, son vingtième album, le berger auvergnat, chef de file de la chanson française pessimiste, s’offre une tangente inespérément pleine d’espoirs et de groove. En studio avec son collaborateur Denis Clavaizolle, il s’est donné pour mot d’ordre de s’imaginer «en 1985, comme des débutants en quête d’un premier contrat discographique. Nous avons recherché la simplicité, avec des chansons au format 3’30"».

Prolifique sur le tard, Jean-Louis Murat s’est offert un battement de deux ans depuis son dernier album, Il Francese, d’italo-pop moderne mais francophone, aux textes endeuillés. L’année d’avant, le trésor expérimental déroutant Travaux sur la N89 nous préparait déjà à tous les rebondissements, partageant un passionnant terrain de fouille autant dans les circuits électroniques détournés que dans les fils de textes expérimentalement embranchés. Il y a déjà un quart de siècle, Murat racontait à Libération : «Je n’ai pas beaucoup d’estime pour ce que je fais : se regarder dans une glace en croyant parler pour les autres. En Europe, on est tous des chanteurs du XIXe, alors que Snoop vient du XXIe De plain-pied dans le XXIe, Snoop Dogg n’est plus vraiment dans les radars, et Murat, 68 ans, pourrait ne pas être resté XIXe siècle si en 2020 il ne venait pas mépriser la génération actuelle. Dans une piteuse déclaration à Paris Match, il avançait récemment, tout bougon, que d’Angèle à Beyoncé, «si elles n’avaient pas des mecs derrière, elles n’en seraient pas là». La police est suffisamment dehors pour qu’on lui emprunte sa casquette pour ce type de bassesses dont nous rabattent régulièrement les jaloux.

Jean-Louis Murat sort donc à 68 ans son premier album disco. Hyper décomplexé et référencé, Baby Love est dans sa trame romantique un album d’entre-deux amours, mais surtout une étreinte en direct de la pop culture la plus cajolante, comme l’atteste son récent coup de foudre pour Earth, Wind and Fire, cette inclination funk qu’il n’a pas toujours assumée, sur laquelle il a peut-être éternué dans d’autres interviews que nous n’avons pas lues. Le voici qui désinhibe les cuivres, s’entiche de la new wave 80’s et de ses chœurs chatoyants. Sur la Princesse of the Cool, il se glisse, avec un minimalisme moins daté, dans la jeune vague actuelle de chanson discoïde et feutrée, et chante : «Voilà le rebirth of the cool / C’en est bien fini de l’éternel retour du blues.» Calmos, l’album se termine, cinq titres plus tard, sur un hommage au maître swamp rock Tony Joe White, dans une évocation voodoo où il finit par un «P’tit gars fais gaffe à celle qui n’aime plus la guitare», qui brouille comme toujours les indices sur ses prochaines inflexions.

 

Charline Lecarpentier

Jean-Louis Murat Baby Love (Le Label [PIAS])

 

merci flo pour le scan papier: 5/05/2020 (disponible en kiosque!)

Chronique dans Libération

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #Baby Love

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Publié le 1 Mai 2020

 

1) Petite virée à l'étranger, avec UNE QUESTION à MURAT sur la RTS.

https://www.rts.ch/play/radio/merjeudredi/audio/le-merjeudredi-est-la-tribune-pour-les-artistes-emergents-a-travers-la-francophonie-?id=11248190

A partir de 38 minutes, "princess of the cool", suivi d'un petit phoner, et de "ça c'est fait"

Murat indique avoir hésité à enregistrer à "ça c'est fait", "un peu bébête", mais il indique qu'il ne s'agit pas que d'un règlement de compte à une femme, mais aussi à la société française (l'insuccès avec pearl harbor), avec le double sens déjà indiqué précédemment: je m'écrase, dans le sens du crash et du silence...   Reste à savoir si son insuccès en France n'est quand même pas un peu lié au fait qu'il ne s'écrase pas suffisamment... 

il faudra surveiller la RTS car il reste sûrement d'autres bouts d'interview à nous faire écouter.

 

2) Christine and The queens parle une nouvelle fois de Murat. La première fois, c'était pour nous dire que c'était la musique qu'écoutait ses parents... Finalement, avec l'âge, peut-être, aime-t-elle de plus en plus... ON le dirait en écoutant son propos sur FORT ALAMO:

https://www.franceinter.fr/emissions/pop-n-co/pop-n-co-30-avril-2020

'intro parfaite, façon insolente de gérer la tension entre trop et pas assez (dans la littérature), sensualité..."

et oui, selon Christine, Murat est un chanteur chic et un poète à la fois.

                                                           Le nouveau quotidien (Suisse) en  93

 
 
 
3)  Et voici des nouvelles de MARIE MOOR. 
 

                                                                        Bayon qui a réussi à mettre Marie MOOR, en couv...

 
On en parlait la semaine dernière à propos du décès de Christophe.
Elle vient de partager un titre inédit du travail avec Murat et ses acolytes (Bonnefont, Denis). Voici ce qu'elle en a dit:

Cette chanson m’est très chère. Elle vient des souvenirs de mon enfance à Provins. C’est le premier texte que Murat a mis en musique. Il me l’a chanté au téléphone. J’étais sur le petit balcon chez mon père, à Granville, le soleil se couchait sur la mer, et j’avais sa voix au creux de mon oreille. C’est un de mes plus beaux souvenirs et c’est ce soir là que j’ai écrit ´La main gauche de la nuit’ ... C’était en 1997

On termine avec une vraie actualité pour Marie MOOR:  Un texte pour Bertrand Burgalat... qu'il sort aujourd'hui... Parce que d'actualité: il est en effet question de géolocalisation et d'appli. Je me rappelle de Bertrand qui disait ne pas sortir d'album puisqu'il n'avait pas de storytelling à proposer... L'actualité lui permettra peut-être de profiter d'une vague médiatique. En tout cas, c'est réussi pour l'ancien boss de Fred Jimenez et David Forgione, bassistes de Murat.

 

L'IMPORTANT, C'est LA JOUTE EN PLUS

 
 
@Elsa_Lunghini
·
Pauvre idiot! @angele_vl C’est marrant cette impression de déjà vu! Il m’avait pourri aussi quand j’avais 16 ans...Un récidiviste! En attendant je vous embrasse  #aigreur #betise #mechancetegratuite
 
 
LA LISTE ALL THE BEST EN PLUS
 
Baptiste Vignol pour rendre hommage à John Prine convoque ses meilleurs souvenirs de concert,
 
On peut avoir vu ....  Jean-Louis Murat mettre au pas la Madeleine. On peut avoir vu tout ça. Sans jamais oublier le bonheur d'avoir vu John Prine pour de vrai.
 
 
 
LA MUSIQUE EN PLUS
 
 

Je n'avais pas pris le temps de tout écouter en détail des choix musicaux de JLM (cf l'article précédent).... C'est rattrapé.... et quels bons choix tout de même de Mr Bergheaud (je découvre le titre de Kanye West notamment).

Et en entendant le titre ci-dessous, on ne peut qu'être impatient de découvrir la version de Murat (s'il a choisi de réinterpréter ce titre)  #albumdereprisedeCelentano

https://www.deezer.com/fr/playlist/7581290702

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Rédigé par Pierrot

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