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Publié le 19 Août 2012

 
 
J'apprends via FB que Jean Théfaine, dont nous avons souvent parlé ici  est mort hier.  Journaliste musicale, il a fait partie de l'aventure Chorus, dont le spécial Murat  (N°41, automne 2002) est un indispensable. Il était un grand fan de l'auvergnat... Il l'avait d'ailleurs revu récemment lors de son concert à Rennes. Il m'avait proposé de lui faire passer mes salutations. Il avait eu la gentillesse de référencer et de parler de mon blog sur le sien très rapidement après que je me sois lancé dans l'aventure "surjeanlouismurat".  Je garde surtout en mémoire le fait qu'il ait cité un  de mes propos  dans sa dernière interview de Murat sur son blog : http://www.surjeanlouismurat.com/article-belle-interview-sur-le-blog-de-jean-thephaine-90601123.html
Il a partagé son amour de la musique jusqu'au bout, notamment sur FB où il était très présent et disponible... et aussi lors d'une rencontre dans une médiathèque: http://www.sudouest.fr/2012/07/04/la-visite-de-jean-thefaine-760858-595.php
 
 
 
Son ami Michel Kemper lui rend hommage ici.
Le site de Hubert-Felix Thiefaine dont il est le biographe lui rend aussi hommage:
C’est avec tristesse que nous apprenons le décès de Jean Théfaine des suites d’une longue maladie. Nous tenons à lui rendre hommage pour le talent & la générosité dont il a fait preuve dans l’accomplissement de la biographie officielle d’Hubert Félix THIEFAINE & plus généralement dans l’exercice de son métier de journaliste. Nous pensons à sa famille à qui nous transmettons nos plus sincères condoléances.
 La bio est disponible: http://www.thiefaine.com/jours-dorage/
 
Sur twitter :
  -

RIP “Jean journaliste a et a est mort d un cancer a 60 ans." via ...  70 ans 

 Et les deux muratiens:
   -

Jean journaliste a et a est mort d un cancer a 60 ans.

Hé, les chanteurs ! Ayez une pensée pour Jean Théfaine, notre confrère qui vous a tant aimé. Une plume, un enthousiasme, une passion.

 

 

MarinaBmk cite elle Jean Théfaine: "Toutes les musiques que j'aime forment un arc-en-ciel, dont j'ai envie de partager les couleurs." Jean Théfaine

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Avec Murat, à Douharesse.
 
 
 
-  Voici une autre interview plus ancienne, dans Chorus, automne-hiver 2003-2004:
 
JEAN-LOUIS MURAT
Autoportrait instantané

Lors de notre précédente rencontre (pour sa "Chorusgraphie" 1),Jean-Louis Murat, auteur-compositeur-interprète singulier et trublion attachant de la famille chanson, venait de sortir Le Moujik et sa femme, et s’apprêtait à entamerune tournée qu’il annulera un peu plus tard pour raisons de santé.
Depuis, notre Auvergnat préféré n’a non seulement pas baissé la garde, mais il a accélérél’allure, comme en témoigne son récent album Lilith 2... Commentaires et projets.

Formidable album que ce double CD regroupant vingt-trois titres nouveaux, lui-même déclinaison d’un triple vinyle à tirage limité et somptueusement emballé, où l’ordre des chansons... n’est plus le même ! Point fixe avec le marathonien qui soupire, chevelure en pétard, l’œil allumé et le sourire carnassier : "J’aurais voulu sortir un nouvel album en mai 2004. Evidemment, ma maison ne voudra pas. Et ça me fout un peu dans la merde, car j’ai à peu près trois disques d’avance... Du coup, je commence à prendre un décalage dans le temps, je travaille sur des trucs qui ne verront le jour qu’en 2005... Entre autres choses, j’ai en tête, disons à échéance de trois ans, un projet qui devrait être très éclairant. Si j’ai le courage et si je parviens à le mener à son terme, il donnera une vue générale de tout ce que j’ai essayé de faire, depuis vingt ans..."

CHORUS : A un moment, dans le nouvel album Lilith, tu chantes : "Finies les grimaces / On sourit de se voir dans la glace..." Tu as réglé tes problèmes avec toi-même ?
JEAN-LOUIS MURAT : [rire] C’est un peu une boutade !
– On ne nous a donc pas changé notre Murat ?
– Non ! Ça correspondait à un moment. Et puis ça m’amusait de dire ça. Souvent, les gens pensent que je suis prisonnier d’un style, d’un genre, ou de je ne sais quoi. Mais je peux écrire aussi : "Allez, on sort de sa mélasse, on sourit, on est fier d’être en vie." J’ai aussi beaucoup ce côté-là... La sensation globale que je peux dégager peut être comme ci ou comme ça, ça ne m’empêche pas d’être habité par nombre de sentiments positifs ou offensifs. Je sais très bien qu’il y a toujours un moment où tu ne peux pas passer ton temps à faire la gueule. C’est une autre facette de moi, quoi. Une de plus !
– Trois pages à ton propos et la une pour la sortie de Lilith : le quotidien Libération t’a gâté...
– Je te le dis tout de suite : j’ai pas lu. Ça me perturbe trop. Lorsque Laure, ma copine, lit un article qui me concerne, elle ne m’en parle pas... Si elle tombe sur un magazine ou un journal où il y a un truc sur moi, elle déchire la page. Elle planque tout. Elle regarde, mais moi je n’ouvre pas les journaux. Vraiment, je reste étanche à ça. Pour garder un peu de fraîcheur. Et puis je pense que ce n’est pas terrible comme expérience de lire des commentaires sur soi-même... Je ne pense pas que ça soit très sain.
– Tu as tout de même lu le dossier que Chorus t’a consacré ?
– Je l’ai parcouru en diagonale... un mois et demi ou deux après. Pas sur le coup, quoi. Attention, ce n’est pas un problème de journaliste. Même si tu retranscris exactement ce que je te dis, beaucoup de choses ne seront plus là à la lecture : la présence physique, les gestes, le regard. Si tu veux, ça donne de moi une image projetée... dans laquelle je ne me reconnais pas. En général, cela me file la migraine... Je suis malade deux jours !
Dans l’interview de moi qui est parue dans Chorus, il y a toutes ces choses, par exemple, où j’apparais arrogant. Si, si. Il y a plein de passages où j’ai vraiment l’air d’un petit orgueilleux, d’un mec qui veut absolument être le meilleur... Et du coup, pour les gens qui ne m’aiment guère, je prête le flanc... Je leur file tous les arguments pour me vomir encore un peu plus. A leurs yeux, je suis forcément un prétentieux, une grande gueule, une langue de pute...
Alors, lorsque je lis ça, je n’y vois qu’un catalogue de tous mes défauts et cela m’est évidemment insupportable. Parce que je sais bien que je suis aussi autre chose, même si je n’ai pas envie de me présenter seulement avec des qualités. [haussement d’épaules] Je suis comme je suis, que veux-tu ! [soupir] Mais bon, je pense que la moitié, au moins, des lecteurs de Chorus ont dû me détester à travers ce qu’ils ont lu dans ce dossier...
– Ce dossier a généré, c’est vrai, pas mal de courrier...
– Beaucoup de gens m’en ont parlé, et notamment dans la profession. J’ai été très étonné... Même à Libé, tiens. Parce que Chorus leur sert vraiment de référence. J’ai même fait des interviews en réaction au dossier ! Récemment, TF1 m’a consacré un sujet ; eh bien la nana qui m’interrogeait avait le numéro de Chorus sous les yeux...
Pour en revenir aux insultes, j’en ai reçu pas mal aussi à domicile. Notamment à propos d’un truc que je déclarais dans l’interview : "Georges Brassens, m’en fous..." [il siffle] Ouah, tout ce que j’ai lu ou entendu !... Du style : "Pour qui vous prenez-vous, petit merdeux ?" Ce que je voulais simplement dire, c’est que nous, les chanteurs de maintenant, avons déjà tellement à lutter pour exister qu’on ne peut pas toujours être écrasé par l’ombre de nos aînés. Il faut bien qu’on respire, quoi. Sinon, on disparaît.
Je ne veux pas passer mon temps à parler de Georges Brassens et de Jacques Brel. C’est comme si eux avaient passé le leur à parler de Tino Rossi qui lui-même n’aurait pas cessé de parler de je ne sais qui avant lui. C’est étouffant, cette histoire... Ma réponse à ta question, c’était plutôt ça : "Laissez-nous vivre." Mais ça a été mal interprété. Pris, une nouvelle fois, comme de l’arrogance.
– Retour à l’album Lilith. Côté textes, tu as puisé dans ta malle aux trésors ou c’est du tout neuf ?
– Du tout neuf, à 90 %. Je me suis attaqué à l’écriture de cet album le 19 novembre 2002. Le 18, j’avais terminé d’aménager la grange où je travaille. Du lambris partout, avec des demi-arbres au plafond et vue sur les montagnes ! Maintenant, j’ai un vrai lieu où je peux ranger toutes mes grattes, faire de la musique. Plus encore que pour Le Moujik, j’ai travaillé là. Tout seul. Installé dans des conditions de concert, avec la bonne guitare : j’en ai utilisé seize sur ce disque. Après avoir tout calé soigneusement, et sans avoir fait la moindre "démo", je suis passé chez le luthier pour qu’il règle les tirants, les trucs. Une fois arrivé en studio, j’avais tout dans la tête. J’étais archi prêt. On entre cabine et on y va... C’est à ce moment seulement que j’ai réellement découvert comment sonnaient mes chansons...
– C’est vrai que, pour une fois, tu as enregistré en studio...
– A Davout... Mais l’enregistrement des rythmiques a eu lieu à St-Ouen ; là, ça a été extra. En quatre jours, tout était en boîte...
– Pourquoi cette urgence ?
– La première prise, il n’y a que ça de vrai. Tout ce qui fait le charme d’une certaine musique anglo-saxonne est là. Dans cette sorte de vigueur, de générosité, de spontanéité. Moi, j’essaie de mettre en place le même genre de processus pour saisir ce petit quelque chose... [il hésite] Déjà, à la troisième prise tu ne l’as plus. Je ne sais pas quel nom ça peut avoir... C’est comme de l’eau entre les mains, quoi. Je fais donc tout pour capter directement cet état de grâce de la première prise. J’espère que c’est encore mieux passé dans Lilith que dans Le Moujik...
Prends "On ne peut rien en dire". Il est 10 h du matin. Stéphane, le batteur, que je connais à peine, et Fred arrivent. On s’assied par terre. Je joue la chanson. Je donne le tempo avec mon métronome. Stéphane tape un peu par terre avec ses baguettes. Fred voit rapidement les accords. Pour permettre à l’ingénieur du son de faire ses réglages, on lui fait un truc d’une minute. Il dit : OK, ça roule... Je lui fais : tu prends. Et hop ! C’est la première chanson qu’on a enregistrée. Première prise, tout direct. Le chant, les guitares, tout. On a juste rajouté une voix dessus. Avec les musiciens, on s’est dit souvent depuis : c’est dingue, ce morceau on ne l’a joué qu’une fois ! Bon, ce n’est pas un exploit surhumain : il faut juste tout bien préparer avant. Ne rien laisser au hasard... [rire]
Je crois que j’ai trouvé avec Fred et Stéphane mon "power trio", comme on disait à l’époque ! Humainement, surtout. On est vraiment tous les trois sur la même longueur d’ondes.
– Lilith existe en CD, mais aussi en vinyle...
– Mon idée de départ, c’était de faire un double vinyle. Sauf que je me suis rendu compte que ne ça tenait pas sur un seul CD. De fil en aiguille, je me suis laissé déborder et c’est devenu un triple vinyle... dont le double CD est une réduction. Le vrai disque, c’est le triple vinyle, si tu veux. L’emballage a été conçu pour lui. Laure et moi, on a fait la pochette à la maison et elle est allée à Londres pour surveiller la fabrication de l’objet.
– Il y a combien d’exemplaires ?
– Très peu. Mille exemplaires. A part quelques disquaires fanatiques, les magasins n’en vendent plus. J’ai vraiment fait ça pour me faire plaisir et pour les gens qui aiment écouter les vinyles.
Propos recueillis par Jean Théfaine
1. cf. Chorus 41, 2002 - 2. Cœur Chorus 45, p. 51.
 
 
- Voici enfin, en guise de dernier hommage à sa plume, sa chronique de LILITH:
"JEAN-LOUIS MURAT
LILITH
Son Mustango (1999) au goût américain nous avait ravi ; son hommage à Madame Deshoulières (2001), en duo avec Isabelle Huppert, nous avait séduit ; l’évidence mélodique ainsi que l’urgence du Moujik et sa femme, en 2002, nous avait conquis.
Dans un métier où tout se calcule, une telle productivité est forcément suspecte... Qu’est-ce qu’il nous fait, hein, l’irascible et torrentiel Auvergnat ? Z’allez quand même pas nous faire croire que tout ça est de la pépite certifiée or ? Eh bien si, ladies and gentlemen. Tout ça, ou presque. Du tellement rare, du tellement chic, du tellement épicé, du tellement moite, du tellement tendre, du tellement rageur, du tellement inventif, du tellement peu politiquement correct que, même en cas d’éventuel trou d’air, ça vole toujours plusieurs crans au-dessus de la mêlée chansonnière.
La dernière folie en date de Murat s’appelle Lilith. Vingt-trois titres, tenez vous bien, en un double CD ! Un tsunami (regardez votre dico) musical que certains rapprochent déjà de ce double vinyle légendaire que fut jadis le Blonde on blonde de Dylan. Comme une bombe à fragmentation dont chaque écoute vous secoue un peu plus. Dès les griffures de la guitare saturée, obsédante, introduisant "Les jours du jaguar", on comprend que l’on s’embarque hors piste. Sensation confirmée lorsque tourne et chantourne "A la morte fontaine", ritournelle faussement folk.
Le reste est à l’avenant. Sinuant entre ballades douces-amères et désenchanteresses, rock tendu, rageur ("Lilith", ouvertement inspiré de cet art de l’essentiel que possédaient les Dogs ; "On ne peut rien en dire", un fascinant train fou de sept minutes).
Squatté par une armée des ombres où cohabitent John Lee Hooker, Tony Joe White, Neil Young, mais aussi Rimbaud, Casanova et Nabokov, les courtois troubadours, les princes du libertinage, Murat crache ici le meilleur de ses poisons. Semant dans son océan sonore mille ruisseaux de guitares limpides et de claviers charnels, un bouquet de chœurs féminins, un fêtu d’harmonica enrhumé ("Tant la vie demande à mourir"), la plainte nocturne d’un bugle ("Le mou du chat"), des nappes de cordes moirées (sublime "Se mettre aux anges").
Avec son nouveau lieutenant de confiance, le bassiste suisse Fred Jimenez, c’est – en un mot comme en cent – un chef-d’œuvre que l’insaisissable Murat dépose dans la corbeille de rentrée... Avis aux boosters de tubes : ce double OVNI en a plein ses soutes. Les malentendants seront dénoncés en place publique.
Jean Théfaine"
 
 
TOUTES MES CONDOLEANCES AUX PROCHES DE JEAN THEFAINE.
MERCI POUR TOUT JEAN.... Et puisqu'il faut terminer par des chansons, voici celle que Jean-Louis Murat avait mis en ligne en hommage à Anne-Marie Paquotte, autre journaliste ayant soutenu Murat à ses débuts.
 
 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

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Publié le 15 Août 2012

 

 

Bon retour à vous (Oui, je sais, vous n'êtes pas parti, vous êtes restés sagement à m'attendre devant votre écran... Je vous souhaite donc un bon retour dans le sens que je vous souhaite que mon retour vous soit agréable... Bon... ce n'est pas gagné...  si je commence comme ça... et surtout vu l'actualité aoûtienne morne plaine. Donc, je vous le dis tout de suite : pas de nouvelle du nouveau Murat, pas de confirmation du changement de maison de disque. C'est les vacances... et d'ailleurs, je vais prolonger les miennes aussi... na!

 

Bon, allez, j'ai quand même trouvé cet article posté sur la page FB de Murat concernant le concert des Sables d'olonnes... dont il semble qu'il ait fait débat... surtout via la confrontation avec l'univers de Fersen... Peut-être que Jean-Louis a d'ailleurs opté pour l'accentuer... en forcant sur la guitare électrique...  Les amateurs de Murat ont apprécié en tout cas.

 

Voici donc l'article à lire sur le blog de la Dame... amatrice depuis 20 ans et qui n'avait jamais vu un concert!

 http://charlottefaitlarticle.eklablog.com/jean-louis-murat-26-juillet-2012-un-grand-lievre-les-pattes-dans-les-s-a48132183

 Jean-Louis Murat, 26 juillet 2012, un Grand Lièvre les pattes dans les Sables d'Olonne 
 Par OlaCarlotta dans Articles le 27 Juillet 2012 à 09:19 
 Ou comment j'ai enfin rencontré mon âme soeur.... 
 Les yeux cernés juqu'au menton, je ne réalise pas vraiment ce qui s'est passé. 
 Nantes – Les Sables d'Olonne, j'ai vu Jean-Louis Murat en concert ; 20 ans que ce rendez-vous toujours manqué aurait dû avoir lieu ! 20 ans d'admiration pour celui dont les mots parlent de moi, parlent de ses milliers de jumeaux... J'aurais aimé l'entendre me parler de sa vie, je n'ai que ses chansons. Je me dis qu'il a sûrement les réponses aux questions existentielles que je me pose encore. 
 
 
J'ai marché dans ses pas, au sens propre, je suis allée en auvergne pour savoir d'où venait ce poète troubadour des temps modernes, ce romantique, ce sensible insensé, ce doux rêveur, ce dur déçu, ce tendre carapaçonné.
 
 Je suis allée à Orcival, au Col de la Croix Morand, à Murat-le-Quaire, dont il tire son patronyme et où j'ai visité le muséee de la Toinette, j'ai aussi espéré le croiser à Rochefort-Montagne, mais jamais, jamais je n'étais allée à un concert de mon idole déjantée, ce paysan-chanteur. 
 J'avais peut-être peur de confronter mes rêves à la la réalité. 
 
Alors ?
 
 Eh bien Murat est génial, Murat est entier, Murat n'est pas une star c'est un artiste... La suite: 
 http://charlottefaitlarticle.eklablog.com/jean-louis-murat-26-juillet-2012-un-grand-lievre-les-pattes-dans-les-s-a48132183 

 

 

 

LE LIEN  EN PLUS :

 

Bon, pour une fois, une petite vidéo pirate.. Alcaline à SPA...

http://charlottefaitlarticle.eklablog.com/jean-louis-murat-26-juillet-2012-un-grand-lievre-les-pattes-dans-les-s-a48132183

Il sera aisement trouvable d'autres vidéos récentes....

 

 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

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Publié le 26 Juillet 2012

 

 

 

... euh, oui, je suis toujours en vacances... Désolé... Alors, même topo : je compte sur vous pour faire le job : MERCI DE FILER AUX COMMENTAIRES ci-dessous!  Merci à vous!    Et il faut que ça soit précis : une dernière date de tournée, il faut la soigner!

 Il faudra sans doute en effet attendre le printemps 2013 pour le revoir!

 

http://www.lessablesdolonne.fr/

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

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Publié le 21 Juillet 2012

 

Bonsoir, je suis en vacances,  et je ne sais pas si j'aurai internet... alors j'ai programmé la parution de cet article afin que vous vous geriez comme des grands : A vos commentaires, liens!  Merci de vos partages!

 

 

http://www.francofolies.be/artistes/jean-louis-murat/

Dôme BNP-Paribas-Fortis! Tout un programme!     En espérant qu'il ne se crêpe pas le chignon avec Voulzy cette fois...

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

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Publié le 20 Juillet 2012

 

 

Je ne vous vous oublie pas.. Et la preuve que je continue de veiller (même tard le soir)... voici donc une information donnée au conditionnel par le journaliste de l'express Gilles MEDIONI sur twitter :

 

"JEAN-LOUIS MURAT AURAIT SIGNE CHEZ PIAS"

 

 

Les informations données par Jean-Louis Murat étaient donc exactes...  Il n'avait donc plus bel et bien de maison de disques... Le nouvel album aura donc convaincu le petit mais costaud PIAS.  Dans "l'écurie",  on trouve EIFFEL, Agnes OBEL, dEUs, Noel Gallaguer, Miossec... et Lambchop... Ils ont notamment des contrats de distribution avec beaucoup de labels indépendants (libertines, Anthony and the johnsons...) and Florent Marchet. 

 

 http://www.pias.com/fr/about/

 

 

PREVISIONS BISON FUTE:

LA ROUTE VERS UN NOUVEL ALBUM EST DEGAGEE.

 

 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

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Publié le 4 Juillet 2012

 

 

Matthieu et...  je ne parlerai plus de sa barbe car j'ai constaté que google commence à référencer ce blog à ce sujet... pas de la barbe de Matthieu, mais de la barbe en général... et je ne souhaite pas que la barbe et Murat soient associés... les raccourcis sont trop vite faits... et donc, Matthieu, et sa coiffure seillante m'a gentillement livré le numéro de "Sancy Magazine", N°10, été 2012, à la coopé... m'évitant ainsi de me presser chez un bureau de presse... ce que j'ai fait le lendemain pour l'édition de la Montagne du dimanche matin. Il me l'a même gentillement offert, c'est la première fois qu'il m'a offert quelque chose qui ne se buvait pas... C'est donc très gentil. Merci à lui.

 

 J'avais donc en effet vu qu'une entretien avec Murat y figurait... C'était même dans un coin de la  couv: "Murat et le Sancy"  , et dans l'édito ci-dessous : on nous annonce une des rares interventions médiatiques de Jean-Louis avec un "pour vous il évoque son rapport viscéral au massif"...

 

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Ah, je suis bien curieux moi... Photo d'illustration rigolote...

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Et... déception... On nous ment, on nous exploite!  Pas d'interview.... Un article à la va-vite sans même réelle plongée dans ses textes sancéens...

 

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  Bon, tournons la page... au cas où... des belles photos... mais juste un article sur Clermauvergne...

 

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 Heureusement, on ne peut pas avoir un magazine sur le Sancy sans y trouver des éléments qui nous intéressent :

 

par exemple, mais que fait ce gens?  Il ne colle pas des plumes... mais il est accroché sur la DENT DE LA RANCUNE (vallée de Chaudefour- Nu dans la crevasse)

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Il s'agit de Jean-Pierre Frachon, clermontois qui a fait sa première dent sur la rancune... avant d'aller jusqu'à sur l'Everest.

 

 

Et voici une vue originale d'ENTRE TUILIERE ET SANADOIRE.... qui m'a tout l'air d'avoir été pris à quelque pas d'où vous savez. Il s'agit d'illustrer une interview du vice-président du Conseil régional chargé de l'environnement M. BOUCHARDY. Il est marié à une bourboulienne...ça arrive à beaucoup. Encore une fois, les journalistes ne posent pas les bonnes questions : on ne saura pas s'il a vu jouer CLARA...  

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Je vous fais grace d'une photo sans intérêt de la Dordogne, ma femme joconde, mon unique au monde.

Mais voici quelques termes sur les thermes de CHOUSSY...pour terminer.

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 et quelques angelots... qui en pincent pour l'infirmière... je les comprends... Elle est sympa:

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J'apprends également que la Reine Margot était attachée à ses terres de la TOUR D'AUVERGNE, et beaucoup d'enseignes du coin (notamment à Besse, Bourboule)  font référence à ce patronyme... La chanson de Murat n'évoque  pas la reine... mais peut-être a-t-il découvert ce nom dans les rues de la bourboule... puisqu'il dit ne guère aimer Brassens?

 

 

 

 

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Un peu de pub pour ARTE... comme l'an dernier : c'est l'été, on peut regarder!

 

 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

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Publié le 1 Juillet 2012

 

Toujours pour parler des KOLOKOs... je partage avec vous quelques clichés du "bulletin officiel de l'association Sapeurs-pompiers CLERMAUVERGNE HUMANITAIRE", dont quelques exemplaires étaient à disposition l'autre soir à Clermont...

 

 

 

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Nous en sommes à 10 concerts de Murat... mais le nombre d'expéditions humanitaires réalisés est beaucoup plus importants (plus de 40)... et pas seulement en direction de KOLOKO, au Burkina (ah, je croyais que c'était au MALI)... ou en Mongolie. 

 

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le mot du président (extraits)

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Après une présentation très complète  de l'expédition vers la Mongolie qui partira au 4/07 de BESSE (budget de 40 000 euros dont 14 000 versés par les participants de l'expédition).. le bulletin rend de beaux hommages à la coopé et à son directeur, et à Murat... en reproduisant quelques articles de la presse locale (et aussi, notamment des articles parlant des lycées et collèges ayant réalisé des opérations pour aider l'association).

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On apprend également que l'association a pour projet une expédition en MAURITANIE pour Janvier 2014... On espère que le 11e Concert pour Clermauvergne permettra de les réaliser... et que la situation en Afrique subsaharienne le permettra... il ne faudrait pas en effet que nos pompiers et leur cargaison se retrouvent aux mains de l'AQMI... Amis muratiens, bloquez vos week-ends autour du 21 juin 2013 afin de battre le record du bénéfice permis par le 10e concert!

 

 

 

Association CLERMAUVERGNE:

VAUCOUX, 63610 BESSE st Anastaise

clermauvergnehumanitaire@hotmail.fr

 

 

    

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

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Publié le 1 Juillet 2012

 

 

Pas d'information à ce jour... sauf, un : "j'y étais, très bien" sur FB!  Mais j'ouvre l'article au cas où quelques frontaliers ou amis belges voulaient nous laisser quelques commentaires sur ce concert. Merci à eux.  N'ayez pas peur! Même quelques mots, je suis preneur!

 

 

En attendant, on peut découvrir la configuration de l'assistance là;

  http://www.rtl.be/loisirs/musique/festivals/739273/c-est-parti-pour-le-verdur-rock-le-festival-le-plus-ancien-de-wallonie et aussi via leur FB: https://www.facebook.com/verdur.rock

  Un public installé dans une pente (c'est véritablement un théâtre de verdure), ce qui est prometteur d'ambiance et de chaleur... en espérant qu'il n'y ait pas eu les mêmes grêlons que l'Auvergne a reçus hier en fin d'après-midi.

 

 

 

EDIT1:

Via Fb, Chris : "Superbe concert de Monsieur Murat hier dans ma ville natale. Une heure d'intensité rare et de sincérité devant un public qui était loin d'être acquis".

 Via quelques photos, j'ai constaté qui plus est que la nuit n'était pas encore tombée...forcément, c'était pour 20h30...  et ce n'est pas très favorable.... 

  

 

Edit2 :

Merci à nos amis belges pour leurs commentaires... Inés-Serendipity était-elle là avec sa caméra? 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

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Publié le 26 Juin 2012

 

Matthieu nous a encore gâté... Un texte pleins d'humour et d'émotion... comme les Koloko, concert pour CLERMAUVERGNE....    Je suis très content de vous, muratiens, dolo, anciens et novo, de vous  permettre de lire :   

 

 

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COCORICO POUR KOLOKO !!!

 

 

     J'ai eu le privilège de pouvoir assister à huit des dix concerts que Murat a donnés pour Clermauvergne - j'ai raté les deux premiers, en 2002 et 2003. Huit sur dix, il me semble que c'est une note très correcte. Converti dans les barèmes des agences de notations, si précieuses dans nos vies misérables, cela doit probablement être l'équivalent d'un AAB, ou d'un ABB+, voire d'un ABA– , enfin quelque chose comme ça. En ce dixième anniversaire, il est tentant de se livrer à l'exercice de la rétrospective. Huit Koloko, donc huit souvenirs –  parmi beaucoup d'autres –,  huit évocations subjectives forcément réarrangées par la mémoire, huit instantanés.

     Je me souviens m'être demandé qui était ce garçon grand et mince qui assurait les chœurs sur le refrain de "Plus vu de femmes". Je me souviens que je ne comprenais rien à ce refrain, à ces paroles qui s'écoulaient avec la rapidité d'une cascade – je n'avais pas encore eu l'occasion de regarder le DVD, n'ayant pas de lecteur. Je me souviens que ce choriste d'un soir glissait de temps à autres des bribes d'une chanson pour enfants, clin d'œil à la naissance de Justine. Je me souviens avoir ensuite appris qu'il s'appelait Jérôme Caillon et qu'il était le leader de Rogogine. Je me souviens que ce groupe avait mis le feu sur la place de la Victoire quelques jours plus tard, lors de la Fête de la musique (Jérôme, tu nous manques !!)
     Je me souviens de toutes ces versions alternatives proposées par Murat : "Les jours du jaguar" en piano-voix, "Ceux de Mycènes" dans une langue inconnue ressemblant vaguement à du grec ancien, "Caillou" 100% instrumentale... Je me souviens aussi du plaisir de découvrir en avant-première des titres du prochain album. Je me souviens notamment de la joie et de la surprise ressentis en entendant Murat, accompagné au piano par Fred, chanter des mots tels que "Mon pauvre ami vous bandez trop / Saurez-vous jamais ce qu'est l'amour".
     Je me souviens qu'un drôle de type s'était approché de moi à la fin d'un concert et qu'il s'était présenté comme l'animateur d'un blog sur JLM. « Alors, vous devez être le fameux Pierrot ? » Je me souviens que nous avions longuement discuté jusque tard dans la nuit et que, déjà, il était pour moi comme une seconde mère, me demandant régulièrement : « Tu n'as pas froid avec ta chemisette ? » Je me souviens du plaisir de rencontrer chaque année d'autres muratiens, des néo et des archéo, venus pour certains en voisins et pour d'autres de très loin, tous passionnés, tous riches d'une foule de souvenirs et tous unis par un lien mystérieux, mais apparemment très solide, avec le chanteur de Douharesse.
     Je me souviens d'une année où il n'y avait plus de bassiste, Fred et Jean-Louis s'étant (provisoirement) brouillés. Je me souviens que Jean-Louis et Stéphane avait ainsi joué plusieurs morceaux en formation Gengis, à la manière de The Black Keys. Je me souviens de la version époustouflante qu'ils avaient livrée de « Et le désert avance ». Je me souviens qu'à la fin du concert, un fan avait demandé à Stéphane ce que signifiaient les vers « Aux âmes tant attachées / Les fesses en jus de cerise ». Stéphane lui avait répondu qu'il demanderait à Jean-Louis. 
     Je me souviens des camions de pompiers stationnés devant la Coopé, qui nous ramène à chaque fois, mine de rien, en enfance, à cet âge où l'on se rêve en uniforme, avec un gros casque brillant sur la tête. Je me souviens m'être souvent dit, vers minuit ou une heure du matin : « Non, mais ils ne vont quand même pas conduire dans cet état ? » Je me souviens que ces dix années de Koloko ont marqué la naissance, puis l'ascension d'une vraie rock-star en puissance : l'adjudant-chef Jean-Marie Chastan.
     Je me souviens de cette fois où JLM avait repris plusieurs chansons de Neil Young. Je me souviens qu'à l'époque, je ne connaissais pas suffisamment le répertoire du Loner pour pouvoir apprécier ces reprises à leur juste valeur. Je me souviens de l'émotion éprouvée en 2011 en entendant Murat dédier « Alcaline » à Didier Veillault.
     Je me souviens que l'édition 2012 a été une apothéose, que le record de recettes a été battu, que JLM qui ne veut pourtant jamais regarder dans le rétroviseur s'est laissé aller cette fois-ci à une plongée trente ans en arrière, en reprenant la quasi-totalité de l'album Passions privées, avec ses fidèles compagnons, Christophe et Alain. Je me souviens que les frères Mickaelian, qui portent des noms de mafiosi arméniens, sont surtout de formidables musiciens. Je me souviens avoir ressenti lors de ce concert, en plus du plaisir et de l'émotion habituels, une excitation particulière. Je me souviens qu'après le concert, quelques muratiens sont allés traîner à proximité de la rue Montlosier et qu'ils ne se sont pas ennuyés.
     Je me souviens que chaque année depuis neuf ans, la vraie Fête de la musique a lieu pour moi quelques jours avant l'officielle, grâce à Murat et ses copains pompiers. Je me souviens de l'accessibilité de JLM à l'issue des concerts, de sa décontraction et de sa gentillesse – très loin de la réputation de beauf grossier et misanthrope qu'il semble parfois chercher à cultiver. Je me souviens qu'il règne à Koloko plus qu'ailleurs une atmosphère conviviale assez rare.


     Je me souviens que j'y étais et que, comme dans la chanson de Bourvil, « c'était bien. [...] C'était bien ».                                                                                                                                                                         

 

 

Merci de ne pas trop complimenter Matthieu, ça va lui monter à la tête... et il risque de décider de se raser la barbe que toutes les femmes  (à barbe) de France et de Navarre  lui envie.  

 

Je vous mettrai un article dans les prochains jours concernant les POMPIERS DE CLERMAUVERGNE...

Vous pouvez retrouver tous les détails ou à peu près des concerts KOLOKO là:

http://www.leliendefait.com/index.php?idPage=tourneeDtl&idTournee=9

 

 

 

 

 

LE COMMENTAIRE De MATTHIEU  EN PLUS :

 

Voici à l'intention des muratiens qui ont déjà eu l'opportunité de venir applaudir JLM à la Coopérative de Mai une photographie prise par Franck Boileau et parue dans La Montagne, photographie qui leur permettra de voir à quoi ressemble la grande salle de la Coopé lorsqu'elle est pleine jusqu'au sommet des gradins.

Pour voir et entendre Lou Reed, venu à Clermont-Ferrand lundi dernier.

Un vœu pour finir : qu'un jour prochain, JLM puisse se produire devant une Coopé aussi bien garnie. Inch'Allah !

  coope-rempli.jpg

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

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Publié le 26 Juin 2012

 


Allez, quelques brèves du soir:

 

- L'ami Vignol met en lumière sur son blog : Thierry Stremler, compositeur entre autres pour F. HARDY... Je vous avais informé de la sortie de son album en fin d'année... Une question concerne sa rencontre avec Murat....

 

http://delafenetredenhaut.blogspot.fr/2012/06/les-chansons-de-thierry-stremler.html

Vous êtes aussi l'un des rares chanteurs pour qui Jean-Louis Murat ait écrit une chanson, Le plus grand amour. C'était sur votre troisième disque, JE SUIS VOTRE HOMME en 2007. Comment cela s'était déroulé avec Murat?

 

L'article en dessous est une réaction à un propos de Pascale Clark... Allez, courage, plus que quelques jours à l'écouter sur Inter avant les vacances!

 

 

 

-  Il est annoncé une Emission SPECIALE sur FRANCE INTER dans l'émission "sous les étoiles exactement" avec Serge Levaillant... Un petit problème :c'est aussi une émission spéciale Jean-Louis... AUBERT...  Partage d'affiche  plus de 30 ans après celle de TELEPHONE ET CLARA?  A voir... et à entendre.

http://www.franceinter.fr/emission-sous-les-etoiles-exactement-speciale-jean-louis-murat-speciale-jean-louis-aubert

 

 

 

- l'évenement du week-end reste le grand concert de Jean-Louis Murat à NAMUR...

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20120621_00173461

 

 

- enfin, on retrouve en vidéo, ISABELLE BOULAY invitée d'Olivier NUC...  Lors de sa tournée, elle rend semble-t-il un bel hommage à Murat  avant de chanter  le titre qu'il lui a écrit pour son dernier album. Il est fait mention de Murat dans le petit texte... mais point dans l'interview... je crois!

 

http://www.lefigaro.fr/le-live/2012/06/22/03018-20120622ARTFIG00617-isabelle-boulay-biolay-a-une-vraie-autorite-naturelle.php

 

 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #actu-promo-sept 2011-août 2012

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