Publié le 25 Juillet 2017

 

Montagne et musique, le pied... pour les pieds et les oreilles....  Et quand c'est possible, j'en profite (Sancy, Uriage, Vercors l'année dernière)... même si le risque est quand même de voir percer un peu de lassitude le soir venu quand on est assis sur un banc étroit, sur des graviers... et qu'on n'a pas pu se laver... (ça, c'est surtout embêtant pour sa voisine)... Mais je vous raconte ça dans mon  article du concert de J. CLERC.

Après une courte nuit mais néanmoins heureuse d'un beau spectacle vécu, Au VERCORS MUSIC FESTIVAL (VMF 2017), une grande journée m'était offerte avant de rejoindre le Palais idéal du facteur cheval... et je décidais donc de faire un peu de route pour rejoindre le Vercors Drômois et un secteur que je n'avais pas encore parcouru. 

Mon cousin avait raison:  j'en avais pour une heure et demi de route... mais avec les paysages traversés, aucun moyen de s'ennuyer. A partir d'Autrans, passé Meaudre, les gorges se succèdent: Du Méaudret, puis les plus célèbres DE LA BOURNE, avec la falaise entaillée:

 

 

Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)

Les monuments sur la résistance se succèdent... Je rejoins le "confins" de Vassieux (ci-dessus). En Vercors et monte vers Font d'Urle (petite station)... et la géographie se fait encore moins visible, les cols semblent se succéder, ça monte et ça descend... Petite pause dans un vallon frais et son torrent de mousse -ci dessus) et je finis par enfin trouver la direction du COL DE LA BATAILLE.  Beau belvédère sur le Royans, pas de traviole:

Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)

Et je me pose sur le parking flambant neuf (au retour, un gars du coin qui s'est arrêté pour se désaltérer me dit que de la petite source, c'est de l'eau du Mont-Blanc  qui jaillirait là, directement du centre de la terre... Puis me parle du lac qui se trouverait sous la montagne à gauche... Enfin soit, la source n'est pas contrôlée... ni l'eau, ni le propos). 

La zone est une réserve naturelle appartenant au Département de la Drôme. Il veille sans doute par le maintien de l'exploitation agricole à laisser cet espace "ouvert"... Et en matière d'ouverture, c'est assez impressionnant... On peut penser au paysage de la Banne d'Ordanche et du Sancy de manière assez évidente.

Au départ:

Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)

Un peu décevant en matière de fleurs, mais beaucoup de papillons... et de vesses de loup dans les prairies (oh, le beau souvenir des beignets de vesses de loup géantes mangés en Autriche).

Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)

Première rencontre:

Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)

Arrivé sur la crête rapidement... J'ai le choix de tourner à droite vers le Col de la Bataille, mais le chemin semble large et file à flanc de montagne au lien de monter au sommet (ci-dessus)... A gauche, par contre, la crête douce semble filer vers un bel horizon prometteur de paysages encore inconnus. Barre à gauche...  et de petit à petit rebond, je me retrouve au bout de l'alpage, voire du Massif...Au fond, la vallée de la Drôme. Et je décide de faire le tour complet de l'alpage dont l'itinéraire parait évident (mais je me fais confirmer par un couple de randonneurs).

Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)

La vallée de la Drôme, le Diois... Je pensais pouvoir distinguer les 3 becs (si visibles de l'A7)... mais non.

Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)

Les grandes steppes... avec les nuages qui s'y dessinent.

Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)

Le parcours commence à être long... et je me rends compte que j'ai tendance à m'éloigner du parking... et qu'une petite colline se dresse entre ma voiture et ma moi... Tant pis, un petit passage en forêt permet une petite variation dans la randonnée.

Un petit coup de ...  et ça repart

 

Sur les coups de 14/15 heures, le troupeau est en train de rejoindre lui aussi justement les bois... et l'ombre. Sont bien bruyantes les génisses.

Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)

Le refuge d'Ambel:

Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)

Mes autres virées dans le VERCORS:

- Veymont: http://www.surjeanlouismurat.com/2014/09/cliches-19-veymont-vercors-vement-beaux.html

- Moucherotte: http://www.surjeanlouismurat.com/2015/07/cliches-n-23-moucherotte-vercors.html

-la Buffe: http://www.surjeanlouismurat.com/2016/07/cliches-n-30-les-faubourgs-du-vercors-music-festival.html

 

Après avoir rejoint la voiture, je monte au Col de la Bataille (ci-dessous)... et je prends un raccourci rallongeant pour le Royans, qui devient une route minuscule, avec de l'herbe au milieu, et des chiens de ferme qui coursent ma voiture au passage...  Il me faut une heure trente pour rejoindre l'extrême nord du département... et son palais idéal...

Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)
Clichés n°36 :Les Faubourgs du Vercors Music Festival (le plateau d'ambel)

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #montagne - rando et photos

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Publié le 21 Juillet 2017

Un nouveau texte de Murat pour Matt Low

Matt Low qui débute juste son "une semaine, une chanson" en guise de 4e livraison nous propose de découvrir un texte signé Bergheaud, qu'il présente déjà comme une vieille chanson (déjà jouée en concerts). Mais il nous propose une version chantée par Kate Fletcher... et  c'est très réussi.

http://katefletchers.blogspot.fr/

Toutes les chansons inédites de Matt LOW:

 https://soundcloud.com/user-168927473

Chasseur, bourré d'attitudes
Oh aïe
Quel sale con

Lionne, privée d'habitudes
Oh aïe
Quel gadin

Cruel or
A-mystique
Sur le monde
Cruel or
Quel panique
All around

Tueur, butcher d'altitude
Oh aïe
Quel sale con

Lionne, privée d'habitudes
Oh aïe
Quel gadin

Cruel or
A-mystique
Sur le monde
Cruel or
Quel panique
All around

LE LIEN EN PLUS

Biolay et Murat, même combat?  LE TEMPS ne dément pas.

Disparaître des radars

Sinon? Eh bien, à trop l’ouvrir, à tailler un costard à qui paraît le mériter ou à sortir ses disques sans se soucier de ce qu’attend de vous le marché signifient parfois être brusquement lâché par ceux qui hier encore vous draguaient. Demandez à Jean-Louis Murat et Benjamin Biolay ce qu’ils en pensent, quels sont les risques encourus par qui affiche crûment ces temps son indépendance. Pour le premier: celui de «disparaître» des radars homologués du music business. Dans le cas du second: essuyer constamment et en pluie assauts belliqueux ou commentaires suffisants. Sauf que lui tient toujours bon, «B. B.».

https://www.letemps.ch/culture/2017/07/14/benjamin-biolay-contrepied

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Rédigé par Pierrot

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Publié le 18 Juillet 2017

Un petit petit live report... parce que je fais l'aller-retour... Après avoir été à Malibu on Saône pour le concert, i'm back in France ce jour, mais je retourne sur la west coast demain...  J'ai programmé quelques articles pour le blog... en attendant j'espère quelques belles photos à vous montrer des prochains jours. See you...

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Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017

Interviewé par Murat, Wyatt rangeait Brian Wilson aux côtés de  Roy Orbison au rayon des grands chanteurs qui l'avaient marqué ("bien que je déteste la rythmique des Beach Boys").  Aujourd'hui, c'est un peu plus difficile pour lui. A la fin du concert, j'entendais des fans dire qu'il avait un peu "balancé" ses textes sur "pet sounds"... mais pour un novice comme moi, ça passe... d'autant qu'il est bien sûr soutenu par tous les autres, et particulièrement les Jardine, père et fils, lead vocalist souvent (dans les 11 présents sur scène, seul le batteur et le bassiste ne participent aux choeurs).

Ca commence fort avec deux tubes dans un théâtre encore endormi... et ça poursuit très surfmusic...  Les choeurs finissent par me lasser un peu, mais Jardine assure bien...

 

(vous pouvez cliquer sur les photos pour avoir un diaporama grand format )

Présence ponctuelle sur scène de Mr Blondie CHAPLIN (ci-dessous)qui a été dans les Beach Boys puis remplaçant de de Mick Taylor chez les Stones. J'ai apprécié ses parties, avec un peu plus de guitare et rythm and blues (plutôt sur la fin de la première partie du concert, Pet sounds étant joué après un entracte).  Vu son allure, je me disais qu'il pouvait être de la tribu des descendants de Charlie Chaplin, mais il n'en est rien (il est sud-africain).

 

Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017

Qu'est-ce qu'en dit Murat ?  On lui en a beaucoup parlé au moment d'a bird on a poire...

 

"le monde" en 2004:

Avec ses harmonies vocales en cascade et ses mélodies, A Bird on a poire est presque un hommage à la pop des années 1960.

La musique, c'est comme le vin. Il y a de supermillésimes. L'âge d'or, c'est les années 1966-1968. Globalement, ça part en couilles après 1976-1977... La musique des années 1990, elle va faire rigoler les générations futures. Ce qu'on retiendra, ce sera que ça a été le règne de la technologie et des producteurs qui mettent leur nom plus gros que celui de l'artiste sur la pochette.

A Bird on a poire tranche assez radicalement avec le reste de votre production.

Lorsqu'elle l'a entendu, ma mère m'a dit : "Tu as enfin fait un vrai disque." C'est un disque qui rassure parce qu'il est très mélodique. Or, la mélodie, c'est le monde organisé : ç'a un côté apaisant, comme un baume qui cicatrise. Pourtant, je ne connais rien de plus triste que les Beach Boys. Leurs chansons, c'est la mort qui chantonne. Il y a plus de noirceur dans Surfin' USA que dans toute la discographie This Mortal Coil. La justification de A Bird on a poire est aussi dans le décalage. L'ambition, c'était d'additionner nos étrangetés : Fred est suisse, Jennifer est américaine et je me sens
assez peu français. On a joué de ce côté décalé, presque marginal. Aujourd'hui, les gens ont l'impression d'être ultra-branchés en écoutant quelqu'un comme Björk, alors que c'est la chanteuse
officielle de l'intelligentsia, la chanteuse préférée de Chirac et Sarkozy. On ne peut plus vivre en étant dans la marge dans ce pays, c'est ce qui me fait enrager le plus... On nous rebat sans cesse les oreilles avec les succès de formations françaises comme Air ou Phoenix à l'étranger mais j'ai vu des groupes de bal dix fois supérieurs à eux. Nile Rodgers, le guitariste du groupe Chic, a dit un jour que "comprendre la musique, c'est danser". Ce n'est pas gagné dans un pays comme le nôtre...

Et dans Foutraque à la même époque:

A propos de pop sixties, as-tu écouté la version définitive de l’album Smile de Brian Wilson, sortie récemment ?
Non, c’est une grosse différence qu’il y a entre Fred et moi : Brian Wilson, je m’en fous un peu, je suis plutôt Bee Gees, lui il est plutôt Beach Boys ! Ah, si Holland, c’est un album des Beach Boys que j’ai beaucoup écouté (même si je ne l’ai pas mis depuis un bout de temps), il n’y a pas Brian Wilson, je préfère. J’aime bien les Beach Boys sans lui parce que j’apprécie le côté Bee Gees des Beach Boys. Mais le côté trafiqué, le côté « tu ne peux même pas reprendre une chanson à la guitare », c’est pas mon truc… même si je reconnais que c’est vachement bien. Sur une île déserte, je n’emmènerais pas les Beach Boys, c’est sûr.

 

Brian Wilson, c'est Paul Mc Cartney qui en parle le mieux:

"C’est Pet sounds qui m’a dessillé les yeux. J’aime tellement ce disque… Je viens juste d’en offrir un exemplaire à chacun de mes enfants pour les éduquer à la vie. Je considère que personne n’est accompli musicalement tant qu’il n’a pas écouté cet album… On jugera peut-être exagéré de dire qu’il s’agit du classique du siècle mais, pour moi, c’est un classique absolu, insurpassable à bien des niveaux… J’ai souvent écouté Pet sounds et pleuré.”  http://www.lesinrocks.com/1996/05/29/musique/brian-wilson-un-ami-de-trente-ans-11233602/

et encore à lire: http://www.lesinrocks.com/1996/05/29/musique/brian-wilson-un-ami-de-trente-ans-11233602/

 

Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017

Au dessus,  Paul Von Mertens, saxos, harmonica (dont un truc géant que je n'arrive pas à identifier), flute traversière, clarinette et chant... On a droit aussi à un peu de trompette et de trombone à coulisse (par un des claviers), du xylophone, bois et métal. On apprécie notamment sur les deux instrumentaux  de "pet sounds"

Les autres musiciens : http://www.npr.org/2016/07/09/484983061/pet-sounds-and-the-band-that-gets-to-play-it-onstage

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Chronique d'un concert à Montreux à laquelle j'adhère... donc je ne vais pas écrire la même chose à moins bien.

En vidéo, une session complète: http://concert.arte.tv/fr/brian-wilson-la-baloise-session

Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017

C'était calme en début de concert (ce ne n'est pas tout-à-fait plein ce soir), mais lors du rappel de 4/5 chansons, la partie "fosse" qui était réservée aux invités peut être envahie par la plèbe... et  ça donne une toute autre ambiance. A la toute fin,  les musiciens partagent leur joie, font des selfies, donnent ce qu'ils peuvent aux premiers rangs (sets liste, médiators), le clavier discute encore assez longtemps accroupi avec des spectateurs... C'est peut-être rendu possible parce qu'il n'y avait pas de pluie de coussins! Ils n'ont pas été distribués!

Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017
Brian Wilson, concert à Fourvière (Lyon)  17 juillet 2017

Les deux plus belles chansons  de la soirée: des tubes un peu moins "usées" par les écoutes radiographiques, "Sloop John B" et "God only knows" (toujours selon Mac Cartney "la plus belle chanson d'amour jamais écrite"

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Rédigé par Pierrot

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Publié le 15 Juillet 2017

Julien Clerc au Palais idéal du Facteur cheval, le 12 juillet 2017

Mais pourquoi vous dites-vous? hein? Pourquoi?  Pourquoi faire baisser la moyenne d'âge de l'assistance de ce concert? (enfin... à 0/5/10 ans près)  Et surtout après 15 km de rando (cf article suivant), et 3 heures de route?

Parce que j'aime me rendre au palais  en ces beaux soirs d'été,depuis que j'ai entendu Murat en solo... il y a déjà fort longtemps... La petite fille à la guitare rose est devenue adolescente... et moi, j'ai encore pris de la brioche.....  Depuis, j'y ai vu Biolay (ce qui m'a valu ma petite minute de buzz, Biolay m'écrivant qu'il était peu probable qu'il revienne sur scène...), Florent Marchet et son expérience de science-fiction... puis Dominique A.   Des beaux spectacles, avec un son excellent et un décor bien sûr unique.

Et puis, on nous promettait un concert exclusif à deux pianos de Julien Clerc, en dehors de toute tournée française.. Et si je ne suis pas très attentif à sa carrière, il fait quand même partie de nos vies depuis toujours... Un peu de musique populaire, ça ne fait pas de mal... et Lili voulait aller danser me rappellera toujours mes soeurs.

Et encore:  Julien Clerc, c'est quand même aussi des grands auteurs:  Julien Clerc les cite "là, on fait la séquence plus David Mac Neil",  "là, c'est du Roda-Gill", "oh, là, ça me fait plaisir, c'est un texte de Maurice Vallet, qui a décidé de nous quitter"... Tant pis si ce soir, il n'a pas l'idée de reprendre les chansons écrites par Manset (dans ce lieu, ça aurait été  bien vu!) ou encore du Murat ("le verrou" - à écouter en fin d'article et "quand femme rêve")...  Et oui, Murat fait partie de la bande.... et il était même question d'un album entier... C'est ce qui a fait que j'ai lu  la bio "julien" signée  Sophie Delassein. Malgré la qualité du livre, ça m'a quand rapproché du chanteur... même si c'est une description d'un chanteur de charme, toujours anxieux de rester au sommet de la popularité.  La preuve: il a choisi Callogero pour produire son dernier album. La seule chanson nouvelle qu'il a chanté semble gage de succès (avec ses entrainants lalalala sur fond de cordes énergiques).

Et enfin, j'ai aussi envie d'évoquer le plaisir que j'ai à l'écoute de  l'album "où s'en vont les avions" (2008), album avec deux titres de Manset  dont "Frère elle n'en avait pas".

Voilà... Mais non, je ne me justifie pas, je fais ce que je veux de toute façon....

 

Julien Clerc au Palais idéal du Facteur cheval, le 12 juillet 2017
Julien Clerc au Palais idéal du Facteur cheval, le 12 juillet 2017

Au départ, j'ai un peu peur: on entend un peu sa respiration, des bruits de bouche... mais c'est le temps de chauffe...  Et après une première chanson que je ne connais pas, c'est  une succession de tubes... mais sur l'ensemble de sa carrière (et il en manque encore quelques uns.. dont "elle voulait qu'on l'appelle Venise". Je suis peut-être un peu déçu par les orchestrations : on nous promettait un concert à deux pianos, mais une boite à rythme est parfois utilisée. Je préfère les versions plus dépouillées, Julien Clerc, solo, ou accompagné par son musicien. Seule la version de Mélissa (jouée à 4 mains) me parait sortir un peu du cadre habituel. Il me manque je pense un peu de temps exclusivement musicaux, des respirations, des intros, des ponts et des  morceaux de bravoure : les titres s'enchainent... et la set liste est si imposante que je suis surpris que le concert n'est duré que deux heures.

Julien Clerc au Palais idéal du Facteur cheval, le 12 juillet 2017Julien Clerc au Palais idéal du Facteur cheval, le 12 juillet 2017

Premier moment avec un peu plus d'émotion (visible à l'image, ci-dessous), c'est la reprise d'un titre de Becaud dont Julien Clerc dit qu'il a été son parrain (son éditeur plus précisément). Le titre est précédé d'une petite anecdote et d'une petite  imitation. J'enclenche la vidéo pour monter ça à Laurent Balandras, biographe et éditeur du catalogue Becaud.  Il s'avère que J. Clerc a déjà repris ce titre à la télévision.

Très jolie chanson et l'interprétation est assez phénoménale, le plaisir se ressent, et le public apprécie. Et moi, je réécoute et réécoute...

Autre grand moment, la chanson "utile" bien sûr... qui me touche légèrement plus que les autres titres plus "chanteurs de charme oh oh oh rendez-nous nos femmes vendeurs de larmes".  Après 50 ans de carrière, Julien Clerc manque peut-être un peu de spontanéité... mais soit, il fait le job...et salue respectueusement le public après chaque chanson... Et on a quand même l'impression de visiter un espèce de monument... notamment  quand la note et le vibrato sortent... ça a tendance à surprendre par moment. 

Julien Clerc a cédé à l'interactivité... et le public a voté au début du concert pour deux chansons dans une liste de 8 titres. Il va chanter les 4 ayant eu le plus de suffrage (il va reprendre le principe dans sa tournée future). Je ne connais pas vraiment les titres et je choisis ceux qui me paraissent les moins romantiques... J'aurais mieux fait de voter blanc...

Et on a droit notamment à "souffrir pour toi n'est pas souffrir" (écrite pour France Gall en guise de maraboutage retour d'amour, assez réussi ) et "ivanovitch".

Julien Clerc au Palais idéal du Facteur cheval, le 12 juillet 2017

Au moment du rappel, je redoute "femmes je vous aime"... mais soit, j'aurais vécu ça au moins une fois... et ensuite, surprise... "hair"... mince, je n'avais pas pensé qu'il pouvait la chanter... J'adore cette chanson, et quand je l'entends (la version anglaise), je frissonne et j'ai souvent les larmes aux yeux... Alors, voilà, s'il n'y avait eu que ces deux minutes-là, je serai venu... et tant pis pour la frustration, parce que deux minutes, c'est trop court..  Allez,  je n'étais pas décidé mais je vous mets quand même la vidéo (j'ai oublié au début qu'on m'entendait).

Allez, à bientôt... LUNDI, c'est un autre monument que je visite : LA CALIFORNIE... LA CALIFORNIE... avec Brian Wilson... ça va surfer!  Assis sur un tabouret?  Peu importe!!

Julien Clerc au Palais idéal du Facteur cheval, le 12 juillet 2017
Julien Clerc au Palais idéal du Facteur cheval, le 12 juillet 2017
Julien Clerc au Palais idéal du Facteur cheval, le 12 juillet 2017
Julien Clerc au Palais idéal du Facteur cheval, le 12 juillet 2017
Julien Clerc au Palais idéal du Facteur cheval, le 12 juillet 2017

Il brille, non?

Julien Clerc au Palais idéal du Facteur cheval, le 12 juillet 2017
Julien Clerc au Palais idéal du Facteur cheval, le 12 juillet 2017
Julien Clerc au Palais idéal du Facteur cheval, le 12 juillet 2017
Julien Clerc au Palais idéal du Facteur cheval, le 12 juillet 2017
Julien Clerc au Palais idéal du Facteur cheval, le 12 juillet 2017
Julien Clerc au Palais idéal du Facteur cheval, le 12 juillet 2017

Et on s'écoute le titre signé Jean-Louis Bergheaud... Si vous êtes sages, vous aurez quelques archives rapidement sur cette collaboration.

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Rédigé par Pierrot

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Publié le 14 Juillet 2017


 

3e édition du festival... et 3e fois que j'honore de ma présence le festival du village d'Autrans-Méaudre... même si j'avoue que ça passe assez inaperçu, à ma grande surprise.

J'ai fait l'impasse sur le week-end, et j'ai choisi le dernier jour avec à l'affiche CAMILLE et Frànçois and The Atlas Mountain.

J'arrive vers 19 heures après avoir été coincé un long moment dans la vallée. La montée dans la montagne en a été que plus heureuse et "émerveillante".

Le 2e concert gratuit était en train de se dérouler sous le chapiteau (nouveauté de cette année, permettant la création d'une ambiance plus "cosy" pour les concerts "extérieurs"... Extérieur  Pour le coup, ils deviennent trop "enfermés": difficile de profiter des shows si on ne se met pas à l'intérieur (très sombre)... Et là, j 'ai plutôt envie de profiter de l'air pur.

 

Vercors Music Festival: Camille en route pour les sommets, et l'Atlas de Frànçois...
Vercors Music Festival: Camille en route pour les sommets, et l'Atlas de Frànçois...
Vercors Music Festival: Camille en route pour les sommets, et l'Atlas de Frànçois...
Vercors Music Festival: Camille en route pour les sommets, et l'Atlas de Frànçois...
Vercors Music Festival: Camille en route pour les sommets, et l'Atlas de Frànçois...
Vercors Music Festival: Camille en route pour les sommets, et l'Atlas de Frànçois...

Petit passage par l'espace VIP pour un point presse... Le message est clair : c'est un succès, objectif de fréquentation atteint (15 000),  et le festival s'installe, avec une offre qui s'élargit (camping, nouvelles animations). Je réalise que je n'avais pas compris le nouveau fonctionnement de l'année (et dans mon article précédent, j'avais donc dit une bêtise) : en fait, entre la programmation payante (20 h, et 22h), il est intercalé un artiste dans le petit chapiteau en gratuit.  Je ne suis pas forcément convaincu, bien que ça fasse tourner la buvette et  que  Jupiter & Okwess de Kinshasa ait fourni une prestation générant une magnifique ambiance.

 

Vercors Music Festival: Camille en route pour les sommets, et l'Atlas de Frànçois...

- 20 heures, Frànçois and The atlas Mountain débute devant une assistance un peu clairsemée mais les spectateurs finissent de se décider à quitter les pelouses.

Joli show, très rythmé et ensoleillé, ponctué de quelques pas de danse communs entre le bassiste- percussionniste et le chanteur-guitariste. Le public apprécie mais je ne rentre pas tout-à-fait dedans (prendre des photos durant les 3 premières chansons ne m'aide pas). J'ai pensé aux Talking heads... mais je n'aurais pas osé en parler  si je n'avais pas vu que le wiki évoque cette influence.

 

Vercors Music Festival: Camille en route pour les sommets, et l'Atlas de Frànçois...
Vercors Music Festival: Camille en route pour les sommets, et l'Atlas de Frànçois...
Vercors Music Festival: Camille en route pour les sommets, et l'Atlas de Frànçois...
Vercors Music Festival: Camille en route pour les sommets, et l'Atlas de Frànçois...
Vercors Music Festival: Camille en route pour les sommets, et l'Atlas de Frànçois...
Vercors Music Festival: Camille en route pour les sommets, et l'Atlas de Frànçois...
Vercors Music Festival: Camille en route pour les sommets, et l'Atlas de Frànçois...
Vercors Music Festival: Camille en route pour les sommets, et l'Atlas de Frànçois...
Vercors Music Festival: Camille en route pour les sommets, et l'Atlas de Frànçois...
Vercors Music Festival: Camille en route pour les sommets, et l'Atlas de Frànçois...
Vercors Music Festival: Camille en route pour les sommets, et l'Atlas de Frànçois...

 

- A 19h30, un  sms me prévient que le management de Camille n'autorise pas les photos.. sauf pour deux photographes (pendant la 4e chanson et depuis la console)... Et bien, me voilà débarrassé du reportage photo... Et je me glisse à une quinzaine de mètres de la scène et je respecte l'embargo sur les pixels. 

Et j'ai été... D'abord curieux, puis doucement un peu épaté, et finalement, franchement convaincu par le spectacle. C'est du haut-niveau, avec une mise en scène bleutée qui, sans être révolutionnaire, me permet de rentrer dans le concert, j'adore par exemple l'imagerie sixties de la diva, et de ses belles choristes sur sa droite en fond, puis on est interpelé par ce percussionniste qui reste de dos en peignoir de boxeur... Et chaque chanson propose ses petites variations. Le spectacle n'est assurément pas pour Eric Zemmour:  deux musiciens portent des robes, et Camille va jusqu'à fesser le boxeur... De quoi  faire tomber en apoplexie le polémiste... sans parler du charisme de cette maitresse femme qui s'agite dans tous les sens, relèvent sa robe très haut, et souvent dans une concentration communicative... 

Avec  7 voix, deux percussionnistes, et des claviers, également 7 "corps"  - mais sans abuser des expérimentations passées il me semble-,  Camille livre un set d'une variété qui me surprend (du rock - too drunk to fuck des Dead Kennedys à la bourrée - ci-dessous).

Camille joue donc avec les mots, les rythmes... et on aimerait peut-être des moments allant plus sur l'émotion. Les deux titres du "fil" (enregistré par Stéphane Prin, je le rappelle) pouvaient peut-être en être l'occasion:  "pale septembre", Camille se mettant au piano mais "prendre ta douleur" était totalement dans l'énergie.  Ainsi, si j'ai été estomaqué par le spectacle, et  la musique "live" produite, et que je retournerai la voir avec joie, je ne suis pas pour autant décidé à me mettre à écouter ses disques... à l'instar du "fil" qui doit se trouver quelque part chez moi, mais loin de la platine. Le lendemain, j'écoutais Lilith (avec les choeurs de Camille)... et en matière d'émotions, je comprenais qu'il n'y avait pas photos... mais je me disais qu'il était dommage de ne pas entendre ces chansons  dans l'écrin d'un show aussi chaud et précis... mais on ne peut pas tout avoir.

 

Je vous ai mis quelques vidéos... même si je n'y retrouve pas la "magie" de l'instant.

TOUTES LES DATES DE TOURNEE SUR LE SITE OFFICIEL ...

et elle passe à côté de chez moi... et surement près de chez vous...

 

©Newt Jpeg

©Newt Jpeg

LE LIEN EN PLUS

 Murat et Camille, c'est bien sûr Lilith et le Parfum d'acacia au jardin... et plus tard, la brouille avec  cette fameuse  chanson "baby carni bird":

Discussion sur la chanson sur le forum des fans de CAMILLE

Libération comparait "le fil" à DOLORES: On l'a entendue sur l'objet de reprises new wave Nouvelle vague et aux côtés de Jean-Louis Murat (sur Lilith et Parfum d'acacia au jardin). Le Fil établit d'ailleurs une possible correspondance avec Dolorès dudit Murat : deux points de vue éminents, l'un féminin, l'autre masculin, sur la rupture amoureuse.

Dans l'Express,

Sa chanson la plus fière, Baby Carni Bird, est une Melody Nelson à la Camille. "C'est une réponse à Serge Gainsbourg, à Jean-Louis Murat, à tous ceux qui se voient en Pygmalion. Dans mon texte, Baby Carni s'invente elle-même un nom, une légende. Ce n'est pas l'homme qui la fait exister."    Mince, Eric Zemmour, j'espère que tu ne me lis pas....

 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #divers- liens-autres

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Publié le 10 Juillet 2017

Le projet X27?  J'avais compté 20 en 2010 mais j'avais décidé de ne pas comptabiliser les live... Ce jour, j'ai envie de les compter... Tout ceci pour dire que j'ai eu confirmation que Jean-Louis Murat était en studio il y a peu.

Non!!  Même si vous avez eu l'information que vous attendiez, ne partez pas pour autant! Puisqu'il semble que Murat ait travaillé avec Denis Clavaizolle, on va voir que leur travail commun déjà connu est plus que jamais d'actualité...  Sans en revenir à Dominique A.

- Tenez par exemple : je vous ai  parlé de l'excellent set proposé par Alain Klingler à Grenoble, avec sa reprise des Jours du jaguar. Il joue avec deux camarades un spectacle "LE CABARET DES GARCONS D'HONNEUR", que j'ai vu le week-end dernier à Grenoble. J'ai passé un excellent moment entre rires et émotions, avec l'accompagnement piano toujours classe d'Alain. Celui-ci livre également une reprise, avec quelques adaptations de textes hilarantes, de "conne" de Brigitte Fontaine. Et c'est Murat qu'ils ont convoqué pour une belle séquence émotion en chantant à trois "LE LIEN DEFAIT". 

Il était question que la chanson soit supprimée pour les représentations qui ont lieu actuellement en Avignon pour réduire la durée du spectacle... Ils ne s'y sont pas résolus... Alors, il vous reste encore  deux semaines pour aller entendre cette belle reprise "en off".  

DU 7 au 30/07 à 19 heures au Théâtre de l'atelier florentin en AVIGNON:

 

-  Et deuxième exemple:  Le groupe PARADIS... qu'on classe dans la musique électronique. Dans une interview récente, voilà t'y pas qu'ils -enfin, un des deux)  citent "Cheyenne automne"... C'est dans les Inrocks:

"Quels sont les artistes qui vous ont convaincu de chanter en français ?

Il y a pas d’artistes en particulier. Je pense que l’on peut être autant touché par Léo Ferré que par Etienne Daho. Mais j’ai une affection particulière pour Jean-Louis Murat et son disque Cheyenne Automne. Je trouve que cet album est assez proche de ce que l’on a ambitionné de faire sur le notre
". Pierre Rousseau

C'est vrai que... la chanson ci-dessous.... ça vous fera penser surement à quelque chose:

Petit détail amusant : Il semble que Pierre Rousseau travaille chez l'éditeur (très musical) "Le mot et le reste", qui a sorti le livre de Magali Brénon, très centré sur le Sancy et Murat. Chez cet éditeur, y avait été également croisé le bassiste et auteur de Matt Low : Clément Chevrier.... Ce qui nous amène à écouter ce 2e inédit de Matt Low... un texte une nouvelle fois de Matt Low... qui n'a semble-t-il plus besoin de M.Bergheaud pour trouver des mots... et c'est toujours avec M.Imbeaud.

 

 

PS: N'oubliez pas de lire les dernières interviews du blog: SEVERIN, MANUEL ETIENNE...

LE LIEN EN PLUS QUI ETAIT PLUS QU'UN LIEN EN PLUS raté:

Je ne vous dis pas bravo! Si vous croyez que je suis infaillible...  Y'a personne pour me rattraper!

Murat était semble-t-il dans le documentaire "La Marseillaise, je t'aime moi non plus" diffusé au printemps sur France3... et actuellement sur Tv5. Il a bien sûr repris ce petit tube du dimanche pour L.Masson et son projet "the end". 

A propos de ce documentaire, Murat est en photo là:  http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/emissions/qui-sommes-nous-2/marseillaise-je-aime-moi-non-plus-1224827.html

Et dans le lien ci-dessous, une citation d'une interview: "Et selon le chanteur Jean-Louis Murat, c’est un appel à la responsabilité toujours d’actualité".

  http://www.ledevoir.com/culture/television/502823/le-jour-de-gloire-est-arrive

Du coup, on écoute un peu de musique de "the end"... et moi, je vais me préparer pour mon road trip du mid'week: Camille dans le Vercors mardi (et François and the atlas moutain) et Julien Clerc au Palais idéal du Facteur Cheval mercredi. Pour mon dernier jour de travail avant CP, je vais être frais jeudi...

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #Morituri

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