Chronique de St-Malo par laMagixbox
Publié le 31 Janvier 2015
Un peu plus de détails à apprendre: l'affluence un peu light avant les concerts sold out qui viennent, la guitare utilisée (qui a changé), les vannes...
A lire:
http://lamagicbox.com/magazine/?p=3450
EXTRAIT:
Le cheveux ébouriffé, les rides de plus en plus profondes, tenue découtractée Jeans et T-shirt, Murat arrive sur la scène, sans le Delano Orchestra mais en compagnie de 3 autres musiciens. Il y a son fidèle batteur, Stéphane Reynaud, accompagné d’une de ses batteries Gretsch de collection. Chris Thomas à la basse Fender et à la contre-basse, a déjà travaillé avec des pointures, comme Daniel Lanois, Macy Gray ou Ray Lamontagne. Et Gaël Rakotondrabe aux claviers (premier prix à Montreux au concours de piano jazz). Ce dernier joue avec Cocorosie que l’on a vu dans cette même salle en 2013, ainsi qu’avec Anthony & The Johnsons.
C’est donc une ambiance teintée de Jazz dans laquelle Murat a prévu de nous plonger ce soir. Pour seul décor sur la scène, 4 miroirs rectangulaires en fond de scène sur lesquels 4 projecteurs motorisés diffusent une atmosphère feutrée, qui alterne le bleu et le violet. Le groupe, nouvellement formé, est arrivé depuis 5 jours à Saint Malo pour préparer son concert et sa tournée qui va suivre. La Nouvelle Vague sert un peu de test ce soir. Jean-Louis, caché derrière son pupitre, sur lequel les pages renferment les paroles de ses chansons, tient dans ses mains une guitare Epiphone, toute simple, noire et blanche, qu’il conservera de bout en bout du concert. La premiere chanson qui ouvre le concert est extraite logiquement de Babel, il s’agit Chant Soviet. Les trompettes répétitives sur le disque sont remplacées par les claviers de Gaël, qui prennent des couleurs d’orgue Hammond. La voix de Murat est fuyante, ratant à plusieurs reprise le micro, rendant les paroles parfois inaudibles. la suite: http://lamagicbox.com/magazine/?p=3450