Dominique Laboubée des DOGS... bio à paraître
Publié le 29 Août 2012
J’ai branché ma guitare en 76 et j’ai vécu pleinement tout le mouvement musical de cette époque. On jouait dans les festivals (avec Clara, ndlr) et j’ai connu la vraie vie de groupe des années 70 en France. Je me souviens très bien que les Dogs avaient la classe, c’était un modèle. J’étais content de rendre hommage à Dominique Laboubée (avec la chanson Gel et rosée sur Lilith, ndlr) parce que c’est un personnage qui a amené quelque chose de supérieur. Dans la manière de se comporter de Bashung, il a un peu de lui. Il a posé un genre, une espèce de dandysme viril, quelque chose de cochranien. Il avait un sens de la beauté et de l’esthétique qui d’un seul coup donnait une dimension artistique à la chose. J’étais très triste de la fin de tout ça. http://www.flux4.eu/Rencontre/jean-louis-murat-poetiquement-incorrect.html
- Le morceau est dédié à Dominique LABOUBEE, le chanteur des « Dogs », récemment décédé. C’est une personne qui t’a marquée ?
C’était un mec bien qui était dans le rock. C’était quelqu’un de vachement important en fait. Il m’a toujours plu. Je connaissais sa nana, j’ai adapté une de ses chansons. « Gel et Rosée », ça ressemble un peu à ce qu’on essayait de faire avec mon 1er groupe « CLARA ». Ses amis et sa famille sont bien contents qu’on pense à lui. Sa fin est tellement triste, ça m’a marqué. Dans le rock Français, il est plus important que Johnny HALLYDAY, c’est ce que je voulais dire.
Reportage nostalgique mais néanmoins électrique sur les DOGS: